Aragorn, vile créature ! C'est horriblement difficile !
Après cinq essais à me mordre les doigts et m'arracher les cheveux, je parviens au combat final qui me retire exactement ce qui me restait de vie. Mais si j'avais pris la peine de remonter chercher le chandelier* aurais-je tenu suffisamment longtemps ? C'est diabolique. Tout est diabolique, je n'ose pas aller au grenier parce que fouiller prend beaucoup de temps, mais aller chercher de la lavande en bas est à peu près inutile, souvent même un piège. Traverser la salle commune est particulièrement éreintant ! Et à un autre essai, l'amulette qui tombe en panne, diantre... Je doute que l'on puisse atteindre les 30 points de vie, hein ?
Sinon, j'aime bien. Le code couleur est ingénieux, ça c'est vrai ! Et tiens, je n'ai même pas encore essayé le massacre général.
Alors, voilà, j'ai recommencé, fort de mes essais d'hier. Code : jaune. Je suis ma voie vaille que vaille et finalement, victoire. Mais quelque chose me chiffonne, dis-moi que c'est bon car je crois qu'il y a une petite erreur (peut-être de ma part cela dit) : si on a attaqué le vampire aubergiste dans le cellier, qu'on a le code combat, puis que l'on retourne dans le cellier, on se trouve pris dans une boucle (§§ 19-38-22-87-85-etc.). Quoi qu'il en soit je me suis arrangé pour récupérer un peu de vie et poursuivre mon chemin à coups répétés de candélabre et de croc de boucher. Pauv' colonel Moutarde ! Mais je ne sais pas si l'affaire aurait été viable selon cette tactique avec un autre vampire ? Peut-être à condition qu'il se rencontre dans le cellier, autrement ce n'est pas tenable, tant d'aller-retour ? En tout cas je salue ce bijou d'architecture.
L'écriture est bonne, peu de fautes. En revanche, l'ambiance m'a laissé un peu... froid. Je trouve qu'il y a discordance entre le fait que le bruit de la tempête puisse couvrir celui des combats et l'ambiance de la première partie où l'on discute tranquillement au rez de chaussée, ou même avec Radek dans l'escalier. Aussi les descriptions du bois pourri d'humidité, tout à fait plausibles, semblent indiquer que l'auberge est terriblement inconfortable, comme les meubles défoncés. La cuisine est sordide... LA BIÈRE EST FADE ! Pourtant ça ne transparaît pas chez le héros (qui a un peu de fièvre, j'avoue) ni chez les autres personnages. J'aurais eu volontiers le sentiment que le toit était prêt à s'effondrer et qu'un vent de folie aurait balayé ce huis-clos, mais non. Alors c'est dommage, mais ça reste personnel au vu des autres critiques.
--------------
*À ce propos, je ne crois pas que l'argent "rouille".
Après cinq essais à me mordre les doigts et m'arracher les cheveux, je parviens au combat final qui me retire exactement ce qui me restait de vie. Mais si j'avais pris la peine de remonter chercher le chandelier* aurais-je tenu suffisamment longtemps ? C'est diabolique. Tout est diabolique, je n'ose pas aller au grenier parce que fouiller prend beaucoup de temps, mais aller chercher de la lavande en bas est à peu près inutile, souvent même un piège. Traverser la salle commune est particulièrement éreintant ! Et à un autre essai, l'amulette qui tombe en panne, diantre... Je doute que l'on puisse atteindre les 30 points de vie, hein ?
Sinon, j'aime bien. Le code couleur est ingénieux, ça c'est vrai ! Et tiens, je n'ai même pas encore essayé le massacre général.
Alors, voilà, j'ai recommencé, fort de mes essais d'hier. Code : jaune. Je suis ma voie vaille que vaille et finalement, victoire. Mais quelque chose me chiffonne, dis-moi que c'est bon car je crois qu'il y a une petite erreur (peut-être de ma part cela dit) : si on a attaqué le vampire aubergiste dans le cellier, qu'on a le code combat, puis que l'on retourne dans le cellier, on se trouve pris dans une boucle (§§ 19-38-22-87-85-etc.). Quoi qu'il en soit je me suis arrangé pour récupérer un peu de vie et poursuivre mon chemin à coups répétés de candélabre et de croc de boucher. Pauv' colonel Moutarde ! Mais je ne sais pas si l'affaire aurait été viable selon cette tactique avec un autre vampire ? Peut-être à condition qu'il se rencontre dans le cellier, autrement ce n'est pas tenable, tant d'aller-retour ? En tout cas je salue ce bijou d'architecture.
L'écriture est bonne, peu de fautes. En revanche, l'ambiance m'a laissé un peu... froid. Je trouve qu'il y a discordance entre le fait que le bruit de la tempête puisse couvrir celui des combats et l'ambiance de la première partie où l'on discute tranquillement au rez de chaussée, ou même avec Radek dans l'escalier. Aussi les descriptions du bois pourri d'humidité, tout à fait plausibles, semblent indiquer que l'auberge est terriblement inconfortable, comme les meubles défoncés. La cuisine est sordide... LA BIÈRE EST FADE ! Pourtant ça ne transparaît pas chez le héros (qui a un peu de fièvre, j'avoue) ni chez les autres personnages. J'aurais eu volontiers le sentiment que le toit était prêt à s'effondrer et qu'un vent de folie aurait balayé ce huis-clos, mais non. Alors c'est dommage, mais ça reste personnel au vu des autres critiques.
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*À ce propos, je ne crois pas que l'argent "rouille".