17/12/2012, 01:04
Incarner une fourmi ? Quelle bonne idée !
J’ai toujours rêvé de jouer un personnage miniature (j’avais eu un avant-goût avec Namin le gnome qui m’avait rappelé mon enfance et les Minipouss) et ici la fourmi me fait irrésistiblement penser à « Chérie j’ai rétrécie les gosses ». Pas pour le côté comédie familiale mais pour le côté « avoir une vue d’en bas sur le monde des grands ».
Les règles sont explicites, pas compliquées et le fait de pouvoir choisir un « type » de fourmi offre un avantage lors d’une relecture.
La description du monde « myrmicéen » est fait avec une sensibilité ressentie : pas documentaire, pas informatif anonyme, un vrai travail pour s’approprier « leur » monde à été fait. Du moins c’est ce que je ressens.
Chaque couloir de la fourmilière est décrit avec raffinement, on se sent chez nous, immédiatement. Le choix des mots et la longueur des phrases sont choisis avec précision, un exemple parmi tand d’autres qui j’ai beaucoup apprécié :
Une question m’est souvent venue à l’esprit : j’ai perdais des niveaux de faim assez régulièrement mais je n’en ai jamais regagné. Dans les règles tu précises que l’animal suivra son instinct et mangera dès qu’il en aura l’occasion. J’ai donc pris la liberté de me servir dans les gains de mes explorations (notamment
pour remonter mes niveaux de faim. J’ai compté un niveau de faim en plus par unité de bouffe en moins.
J’étais au niveau famélique et vitalité défaillante…
L’utilisation de la troisième personne ne m’a pas dérangé plus que ça. Le fait de diriger une fourmi au lieu de l’incarner y est peut être pour quelque chose, j’aurais peut être eu un peu de mal à « incarner » un insecte (ou pas) mais cette liberté prise par rapport au « vous » traditionnel passe très bien.
Première tentative :
J’ai joué une première fois en incarnant une artilleuse.
Au niveau options du départ j’ai choisi :
J’ai combattu un félin roux, qui n’a pas vraiment aimé mes jets d’acide (attends, j’ai de la famille sur LV426 moi !) et je dois avouer que je me suis pris au jeu du David à mandibules contre Goliath à griffes.
Les passages comme la traversée du cours d’eau sont très représentatifs du monde « tout petit » dans lequel évoluent les fourmis et nous fait bien prendre conscience qu’un rien pour nous, humains, est une montagne pour ces petits insectes. Très poétique comme vision des choses, très raffiné.
NB :Tiens ça m’a filé envie de lire les bouquins de Werber ça !
Je me suis fait tuer
.
Je n’ai pas toujours bien saisi ce que tu voulais décrire vu par les yeux des fourmis, et surtout ressenti en terme d’odeurs :
Deuxième tentative :
J’ai joué une… Artilleuse ! Oui j’insiste !
Options choisies :
Je change de destination et très vite je comprends mieux dans quelle époque et quel univers j’évolue. Bien vu Alendir, la surprise était d’autant plus grande lorsque j’ai compris où je posais mes pattes…
J’avais noté les chemins empruntés précédemment donc je change mes routes à chaque occasion. Je me fais à nouveau cintrer dans
Troisième tentative :
Je régénère au paragraphe précédent et je change d’optique. Quelques paragraphes plus loin re-mort
Quatrième tentative :
Je visite les derniers lieux qui m’étaient inconnus et je retourne vers
J’obtiens enfin la fin que je voulais, celle
Au final ton avh est une tuerie !
Poétique, mystérieuse, élégante et cruelle.
Et que dire de ta conclusion ? Juste magnifique et parfaitement adaptée à ce que je pense aujourd’hui…
Vraiment merci pour ce fabuleux moment.
J’ai toujours rêvé de jouer un personnage miniature (j’avais eu un avant-goût avec Namin le gnome qui m’avait rappelé mon enfance et les Minipouss) et ici la fourmi me fait irrésistiblement penser à « Chérie j’ai rétrécie les gosses ». Pas pour le côté comédie familiale mais pour le côté « avoir une vue d’en bas sur le monde des grands ».
Les règles sont explicites, pas compliquées et le fait de pouvoir choisir un « type » de fourmi offre un avantage lors d’une relecture.
La description du monde « myrmicéen » est fait avec une sensibilité ressentie : pas documentaire, pas informatif anonyme, un vrai travail pour s’approprier « leur » monde à été fait. Du moins c’est ce que je ressens.
Chaque couloir de la fourmilière est décrit avec raffinement, on se sent chez nous, immédiatement. Le choix des mots et la longueur des phrases sont choisis avec précision, un exemple parmi tand d’autres qui j’ai beaucoup apprécié :
J’étais au niveau famélique et vitalité défaillante…
L’utilisation de la troisième personne ne m’a pas dérangé plus que ça. Le fait de diriger une fourmi au lieu de l’incarner y est peut être pour quelque chose, j’aurais peut être eu un peu de mal à « incarner » un insecte (ou pas) mais cette liberté prise par rapport au « vous » traditionnel passe très bien.
Première tentative :
J’ai joué une première fois en incarnant une artilleuse.
Au niveau options du départ j’ai choisi :
Les passages comme la traversée du cours d’eau sont très représentatifs du monde « tout petit » dans lequel évoluent les fourmis et nous fait bien prendre conscience qu’un rien pour nous, humains, est une montagne pour ces petits insectes. Très poétique comme vision des choses, très raffiné.
NB :Tiens ça m’a filé envie de lire les bouquins de Werber ça !
Je me suis fait tuer
Je n’ai pas toujours bien saisi ce que tu voulais décrire vu par les yeux des fourmis, et surtout ressenti en terme d’odeurs :
J’ai joué une… Artilleuse ! Oui j’insiste !
Options choisies :
J’avais noté les chemins empruntés précédemment donc je change mes routes à chaque occasion. Je me fais à nouveau cintrer dans
Je régénère au paragraphe précédent et je change d’optique. Quelques paragraphes plus loin re-mort
Je visite les derniers lieux qui m’étaient inconnus et je retourne vers
Au final ton avh est une tuerie !
Poétique, mystérieuse, élégante et cruelle.
Et que dire de ta conclusion ? Juste magnifique et parfaitement adaptée à ce que je pense aujourd’hui…
Vraiment merci pour ce fabuleux moment.
lorsque chantent les cigales, sois sûr d'avoir des glaçons au congel... Proverbe provençal amateur de pastaga