02/11/2012, 19:49
(Modification du message : 02/11/2012, 20:37 par sunkmanitu.)
Je viens d'échouer lamentablement dans ma quête de sauver mon monde ruiné, chaotique et apocalyptique...
Ce foutu démon m'a crevé et malgré la résurrection dont m'a doté mon pote Gandalf, je ne possédais pas le sésame électronique qui m'aurait permis d'accéder au sommet de l'Empire du Mal.
Malgré mon échec, cette avh est plutôt une réussite. Une vraie réussite même mais il manque un poil d’assaisonnement, à mon goût... Pourquoi ? et bien je vais tout t'expliquer cher Syphil !
L'idée est très bonne ! J'ai aimé le ton de ton aventure (entre post apo et dérision, entre humour absurde et dramatique). Quelque part je retrouve ce qui m'avais séduit dans "l'hospital de la mort", et en soi c'est plutôt une bonne nouvelle pour moi, ton style est constant et ta signature est identifiable. L'idée de mélanger la Science-Fiction et le Med-fan est carrément géniale. J'ai toujours aimé les univers crées à base de fusion, ici tu y parviens, je suis passé "imaginairement" d'un univers à la Matrix ou Fortress à un classique LOTR. Sans forcer la main tu nous fait basculer d'un monde à l'autre et on finit par éprouver le même malaise que le héros que l'on incarne. La première rencontre avec Aldugard m'a fait penser à Merlin (décidément tous les vieux à barbe blanche ayant un peu d'humour me font penser à lui en ce moment !) et la référence, avouée ou non, est bien emmenée. Certaines descritpions valent le coup comme les déchets que les hommes sont devenus, les tyrans qui nous gouvernent et l'ambiance générale malsaine, vicieuse et poisseuse qui se dégage de notre ville, par extension de toute la planète... Cette image d'humanité grise, pluvieuse, soumise peut faire penser à de la SF romantique. J'accroche grave à ce genre d'ambiance (mon coté pessimiste ?). Les créatures rencontrés ici ou là-bas, sont toutes dégueulasses, et c'est tant mieux, moins de remords à leur défoncer la tête (ou les têtes pour les multicéphales !).
Pour conclure cette introduction au feedback, j'ai donc apprécié ton avh, comme un bon film de Space Fantasy, limite cyberpunk.
J'ai maintenant des questions et des commentaires :
- Au § 114,
- Au § 60,
- Pour l'utilisation de la force intérieure, c'est plutôt bien choisi et bien équilibré. Ça fait mal au méchant ! J'aurais du faire simple comme toi pour le "KI" de samuraï ! Efficace et ultra simple !
- la blagounette du §114 m'a fait rire et je l'ai trouvée sympa, glissée entre deux lignes sérieuses. Ton style quoi !
-Au § 325 : Tout s'écroule pour moi.
Pourquoi utiliser un détournement de nom politique pour figurer le boss ultime ?
Je referais cette aventure dans quelques temps, histoire de trouver cette foutue clé et histoire d'aller défoncer ce satané boss final. Mais au jour d'aujourd'hui, j'ai plus qu'un aperçu de la qualité de ton livre. J'aime et je vais immédiatement reporter mes annotations sur ma grille de notations perso pour le yaz.
Merci pour cette aventure glauque et originale, pour une deuxième avh (si je ne me trompes pas ?), c'est plutôt bien maîtrisé et tu risques de faire mal dans très peu de temps... À mon goût en tout cas
Ce foutu démon m'a crevé et malgré la résurrection dont m'a doté mon pote Gandalf, je ne possédais pas le sésame électronique qui m'aurait permis d'accéder au sommet de l'Empire du Mal.
Malgré mon échec, cette avh est plutôt une réussite. Une vraie réussite même mais il manque un poil d’assaisonnement, à mon goût... Pourquoi ? et bien je vais tout t'expliquer cher Syphil !
L'idée est très bonne ! J'ai aimé le ton de ton aventure (entre post apo et dérision, entre humour absurde et dramatique). Quelque part je retrouve ce qui m'avais séduit dans "l'hospital de la mort", et en soi c'est plutôt une bonne nouvelle pour moi, ton style est constant et ta signature est identifiable. L'idée de mélanger la Science-Fiction et le Med-fan est carrément géniale. J'ai toujours aimé les univers crées à base de fusion, ici tu y parviens, je suis passé "imaginairement" d'un univers à la Matrix ou Fortress à un classique LOTR. Sans forcer la main tu nous fait basculer d'un monde à l'autre et on finit par éprouver le même malaise que le héros que l'on incarne. La première rencontre avec Aldugard m'a fait penser à Merlin (décidément tous les vieux à barbe blanche ayant un peu d'humour me font penser à lui en ce moment !) et la référence, avouée ou non, est bien emmenée. Certaines descritpions valent le coup comme les déchets que les hommes sont devenus, les tyrans qui nous gouvernent et l'ambiance générale malsaine, vicieuse et poisseuse qui se dégage de notre ville, par extension de toute la planète... Cette image d'humanité grise, pluvieuse, soumise peut faire penser à de la SF romantique. J'accroche grave à ce genre d'ambiance (mon coté pessimiste ?). Les créatures rencontrés ici ou là-bas, sont toutes dégueulasses, et c'est tant mieux, moins de remords à leur défoncer la tête (ou les têtes pour les multicéphales !).
Pour conclure cette introduction au feedback, j'ai donc apprécié ton avh, comme un bon film de Space Fantasy, limite cyberpunk.
J'ai maintenant des questions et des commentaires :
- Au § 114,
- la blagounette du §114 m'a fait rire et je l'ai trouvée sympa, glissée entre deux lignes sérieuses. Ton style quoi !
-Au § 325 : Tout s'écroule pour moi.
Pourquoi utiliser un détournement de nom politique pour figurer le boss ultime ?
Je referais cette aventure dans quelques temps, histoire de trouver cette foutue clé et histoire d'aller défoncer ce satané boss final. Mais au jour d'aujourd'hui, j'ai plus qu'un aperçu de la qualité de ton livre. J'aime et je vais immédiatement reporter mes annotations sur ma grille de notations perso pour le yaz.
Merci pour cette aventure glauque et originale, pour une deuxième avh (si je ne me trompes pas ?), c'est plutôt bien maîtrisé et tu risques de faire mal dans très peu de temps... À mon goût en tout cas
lorsque chantent les cigales, sois sûr d'avoir des glaçons au congel... Proverbe provençal amateur de pastaga