31/12/2006, 04:34
Comme le dit Meneldur, CHO est à peine un roman interactif. En fait, je le qualifierais presque de "roman alternatif" : un roman pour lequel l'auteur avait des idées tellement diverses qu'il ne pouvait les concilier qu'en offrant au lecteur plusieurs possibilités.
Le côté contemplatif ne m'a pas dérangé du tout, mais j'ai trouvé que la partie consacrée aux flashbacks était trop volumineuse et trop dense (c'est en fin de compte tout le coeur de l'aventure). Le héros passe plus de temps dans le passé que dans le présent, ce qui ne devrait pas être le cas (même si le but est de générer un sentiment de mélancolie). Le choix final arrive assez brutalement. Il aurait peut-être été intéressant de le présenter plus tôt et de laisser ensuite le héros y réfléchir.
J'ai remarqué un certain nombre de fautes mais, contrairement à Meneldur, elles ne m'ont pas terriblement gêné. Une relecture suffirait pour l'essentiel.
Le style est sans doute trop verbeux. Il est normal qu'il le soit un peu (pour mettre en valeur l'atmosphère contemplative), mais certains passages traînent franchement en longueur.
La fin exceptée, il y a très peu de véritables choix à faire. Beaucoup d'alternatives dépendent essentiellement de nos traits et plusieurs autres n'ont en fin de compte aucune véritable importance.
Le côté contemplatif ne m'a pas dérangé du tout, mais j'ai trouvé que la partie consacrée aux flashbacks était trop volumineuse et trop dense (c'est en fin de compte tout le coeur de l'aventure). Le héros passe plus de temps dans le passé que dans le présent, ce qui ne devrait pas être le cas (même si le but est de générer un sentiment de mélancolie). Le choix final arrive assez brutalement. Il aurait peut-être été intéressant de le présenter plus tôt et de laisser ensuite le héros y réfléchir.
J'ai remarqué un certain nombre de fautes mais, contrairement à Meneldur, elles ne m'ont pas terriblement gêné. Une relecture suffirait pour l'essentiel.
Le style est sans doute trop verbeux. Il est normal qu'il le soit un peu (pour mettre en valeur l'atmosphère contemplative), mais certains passages traînent franchement en longueur.
La fin exceptée, il y a très peu de véritables choix à faire. Beaucoup d'alternatives dépendent essentiellement de nos traits et plusieurs autres n'ont en fin de compte aucune véritable importance.