06/01/2011, 12:14
(06/01/2011, 08:29)Thierry Dicule a écrit :Thierry Dicule, ton raisonnement est valable logiquement :Sunkmanitou a écrit :au niveau écart entre les avh, le fossé entre les mieux notées et les moins bien notées ne risque-t-il pas de se creuser davantage et donc "tuer" psychologiquement un auteur ?
Absolument pas, puisque ces scores ne veulent rien dire quant au niveau des AVH entre elles (seule la position dans le classement a de l'intérêt).
Il est possible en théorie que la dernière AVH classée avec 0 points aux Yaz 2018 soit meilleure que le Yaz d'Or 2019.
Mais psychologiquement, c'est une tout autre histoire :
Le fait d'arriver dernier est dur à encaisser, on ne peut pas le rationnaliser car c'est humain. (ex : le dernier d'une classe de surdoué l'a quand même mauvaise)
Comme l'a dit Sunk, le 54321 est plus dur psychologiquement pour le bas de tableau que ne l'est le 4321. Pourquoi :
Prenons le cas très extrême : un seul point à répartir par personne !
Il apparaît que c'est le moins dur psychologiquement puisque face au 2 ou 3 meilleurs , les perdants se diront que la concurrence était trop forte face à ces 2 ou 3 là, ils se vexeront moins de ne pas avoir reçu de points vu le nombre très faible de point à répartir.
Je dirais que, plus on a de points à distribuer, plus on affine le résultat du bas de tableau, plus on risque de faire des déçus.
Je serais donc plutôt en faveur d'un classement encore plus direct :
par exemple un 321, qui concentre les choix sur les 3 meilleurs sans fioriture.