04/12/2010, 22:02
(Modification du message : 04/12/2010, 22:03 par ashimbabbar.)
rien n'interdirait d'écrire un roman où le héros, après avoir triomphé d'innombrables périls, s'écrase au fond d'un précipice comme un gros niais en laissant à son humble sidekick à finir le travail… d'autant que les méchants croiraient n'avoir plus rien à craindre… et alors le sidekick triompherait du grand méchant in extremis et on partirait sur la suite de ses aventures…
" Ashimbabbar m'a donné une dague et une épée et m'a dit
: Transperces-en ton corps; elles furent forgées pour toi."
Poème d'Enheduanna
: Transperces-en ton corps; elles furent forgées pour toi."
Poème d'Enheduanna