02/03/2010, 04:22
Félicitations aux vainqueurs des Yaz.
Merci aux juges pour l'organisation qui fait qu'on a les résultats si tôt, et à tous ceux qui ont donné des points à Nils Jacket 2.
Je regrette d'ailleurs le faible nombre de feedbacks me parlant du texte, des péripéties, des dialogues, des personnages, de l'ambiance, de ma vision de Genève, etc. C'était surtout ça que j'attendais de la participation aux Yaz : des feedbacks rapides. En fait, c'est l'inverse qui se produit ; j'aurais mieux fait de la proposer en mars, j'aurais eu + de commentaires, peut-être.
La difficulté de trouver le coupable / la vérité dans Nils Jacket fait partie intégrante du principe du livre. C'est au lecteur de trouver l'astuce. Ce que je peux améliorer, ce sont les chemins alternatifs pour trouver les indices (je pensais l'avoir fait dans le 2), et réduire la difficulté à l'astuce de l'énigme. Ma structure en tiroirs est faite pour que le lecteur "débloque" des passages importants, sans fausse piste rédhibitoire. Ce que je peux améliorer, donc, c'est la gestion des objets que tu avais condamnée à juste titre dans Nils Jacket 1. Je suis en train de bosser là-dessus, justement, dans ma version 2.0 de ce 1er tome.
Mais je ne pourrais pas diminuer la difficulté de l'astuce pour trouver le coupable, sinon l'AVH n'a pas lieu d'être. Autant écrire un roman. C'est créer cette astuce, en utilisant les propriétés des LDVELH (inexploitées par les autres romans policiers) qui constituent le plaisir à concevoir ces livres (et à les lire quand je suis lecteur).
Merci aux juges pour l'organisation qui fait qu'on a les résultats si tôt, et à tous ceux qui ont donné des points à Nils Jacket 2.
(01/03/2010, 18:40)Oiseau a écrit : En ce qui me concerne, la critique est tout à fait valide. Mais JFM nous livre bel et bien de la fraîcheur et de la nouveauté -- il n'y a que deux enquêtes policières parmi les 150+ AVH disponibles en français. Ce qui tue vraiment les AVH de JFM, ce qui les empêche de gagner, c'est leur difficulté monstrueusement exagérée. Si le premier Nils Jacket avait été finissable en un nombre raisonnable de tentatives (disons 10 ou moins), il serait presque assurément monté sur le podium cette année-là. La frustration des lecteurs pourrit grandement le souvenir qu'ils gardent d'une AVH après l'avoir finie.
Je regrette d'ailleurs le faible nombre de feedbacks me parlant du texte, des péripéties, des dialogues, des personnages, de l'ambiance, de ma vision de Genève, etc. C'était surtout ça que j'attendais de la participation aux Yaz : des feedbacks rapides. En fait, c'est l'inverse qui se produit ; j'aurais mieux fait de la proposer en mars, j'aurais eu + de commentaires, peut-être.
La difficulté de trouver le coupable / la vérité dans Nils Jacket fait partie intégrante du principe du livre. C'est au lecteur de trouver l'astuce. Ce que je peux améliorer, ce sont les chemins alternatifs pour trouver les indices (je pensais l'avoir fait dans le 2), et réduire la difficulté à l'astuce de l'énigme. Ma structure en tiroirs est faite pour que le lecteur "débloque" des passages importants, sans fausse piste rédhibitoire. Ce que je peux améliorer, donc, c'est la gestion des objets que tu avais condamnée à juste titre dans Nils Jacket 1. Je suis en train de bosser là-dessus, justement, dans ma version 2.0 de ce 1er tome.
Mais je ne pourrais pas diminuer la difficulté de l'astuce pour trouver le coupable, sinon l'AVH n'a pas lieu d'être. Autant écrire un roman. C'est créer cette astuce, en utilisant les propriétés des LDVELH (inexploitées par les autres romans policiers) qui constituent le plaisir à concevoir ces livres (et à les lire quand je suis lecteur).