[m-yaz 2025] Le projet Mercury
#16
(29/04/2025, 18:18)Lady V a écrit : Ah ! AVH de 50 paragraphes oblige...

Disons que s'ils avaient habité tous les trois dans le même village ou la même région, cela m'aurait moins choqué (même si on aurait perdu le côté minimaliste et huit clos).

Et aussi peut être aussi que quelques phrases pour expliquer davantage le monde dans lequel on a atterri n'aurait pas été de trop. Peut-être au paragraphe 46 où plusieurs années se sont écoulées. On peut imaginer que le personnage (même s'il est concentré sur la fabrication du Vortex et obsédé par retrouver sa famille) - et donc le lecteur - trouve le moyen d'en apprendre un peu plus sur ce nouveau monde, via les conversations qu'il a eu avec Marco, les voisins, les habitants du village, la TV ou la radio...

Citation :Objection votre honneur ! Seulement 4 codes et pas forcément dans un ordre défini... Les codes ne sont pas perdus lorsqu'on utilise le Vortex ! Je n'ai peut-être pas été assez explicite sur ça. Je rajouterai une ligne dans les règles.

J'en compte 5 (avec le code Chance) : Chance, Pot, Odeur, Gentil Président, Lueur...
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#17
(30/04/2025, 11:05)grattepapier a écrit : J'en compte 5 (avec le code Chance) : Chance, Pot, Odeur, Gentil Président, Lueur...

Oups ! Tu sais mieux compter que moi... Bravo, lecteur ! Hou, auteur !
Par contre, il y a un intrus dans ces cinq-là   Rolleyes LOL

Citation :Disons que s'ils avaient habité tous les trois dans le même village ou la même région, cela m'aurait moins choqué (même si on aurait perdu le côté minimaliste et huis clos).

Allez, un petit côté La Vie mode d'emploi...
[+] 1 personne remercie Lady V pour ce message !
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#18
(30/04/2025, 15:34)Lady V a écrit : Allez, un petit côté La Vie mode d'emploi...

Oh, la référence ! (lointains souvenirs du collège/lycée...) Mais c'est vrai, y a un peu de ça !
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#19
Tiens, ça me donne une idée pour un thème de mini-yaz : lipogramme Twisted Lool
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#20
Je seconde. Pas de débats à savoir si le thème est respecté ou pas.
CTRL+F : La foutue lettre, elle est là ou elle est pas là !!
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#21
Juste pour dire que j'ai téléchargé l'AVH et fait une partie qui s'est...mal terminé. Pour le moment, j'aime beaucoup. J'ai très clairement envie d'y rejouer et je donnerai un avis digne de ce nom après plusieurs essais. J'aime beaucoup l'ambiance et le mystère.
Joue actuellement à : Advanced Choose Cthulhu : survivre à R'lyeh.
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#22
Bonne chance Fifine ! Hâte de voir ton retour.
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#23
les codes/mots clés fonctionnent à chaque fois qu'on les rencontre ou
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?

par exemple,
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de même,
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#24
Très bonne remarque PetitPeyre !
D'habitude les codes que je mets ne sont utilisés qu'une seule fois car il n'y a pas de retour(s)... ce qui n'est pas le cas dans cette AVH !
Alors, oui, les codes ne fonctionnent que pour les mots écrits en gras.
Je viens d'ajouter ce point de règle sur la dernière version mise en ligne.
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#25
Voilà, AVH terminée après quatre tentatives.

J'ai beaucoup aimé cette AVH, je n'ai eprouvé aucune lassitude dans mes nombreuses tentatives alors que je peux vite décrocher. D'abords, j'aime bien l'ambiance mystérieuse. Que s'est-il passé ? Pourquoi le monde a-t-il évolué ainsi ? Qui sont les personnages présents ? Pourquoi sont-ils là ? C'est un véritable plaisir de rassembler les pièces du puzzle. Bref, j'ai adoré même si je reste un peu sur ma faim car j'ai encore quelques questions sans réponse définie (je les mettrai en spoiler en espérant que LadyV me réponde).
J'ai aussi apprécié que cette AVH soit à fond dans le thème, ce qui est un exercice très difficile. Nous sentons ici que ce vortex est au centre de tout mais il reste auréolé de pas mal de mystère. Bravo l'autrice.

J'ai déjà parlé de l'ambiance sur ce futur incompréhensible, remplit de mystère mais j'ai aussi aimé les trois personnages principaux autre que le héros, surtout "Rebecca" et le musicien. S'il est assez facile de deviner qui est Rebecca, je me suis posée pas mal de question sur pourquoi elle était là et ce qui lui était arrivé précisément. C'est un personnage pour lequel j'ai eu beaucoup d'empathie, ce qui est rare dans une mini AVH, souvent trop courte pour que j'ai le temps de vraiment m'attacher aux personnages. J'ai aussi apprécié le musicien, il m'a fait de la peine alors que nous ne savons presque rien de lui. Bon, pour le troisième résident, ce n'est pas pareil mais l'autrice avait laissé pas mal d'indices sur lui et je me suis quand même fait avoir...

L'AVH est un OTP où le bon choix n'est pas toujours le plus évident. Habituellement, je n'aime pas ce type d'aventure intéractive que je trouve trop frustrante. Cependant, pour une mini AVh ça passe crème vu que les tentatives ne durent pas longtemps et donc l'échec est peu punitif. Je voulais tellement en découvrir plus sur cet univers que le temps de jeu m'a paru court. Pour moi, plus que de la terminer, mon objectif avec cette AVH était d'en découvrir toujours plus.

Il va être vraiment très difficile de départager les candidats, j'ai déjà du mal à avoir une préférence pour les trois avh déjà présentée tant le niveau est bon.

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#26
Merci pour ton retour, Fifine !
Je réponds à tes questions par MP dès que j'ai le temps !
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#27
Voici une AVH de bonne tenue qui se démaque par un style affûté et une réussite certaine à planter une ambiance tout en inscrivant la narration dans un cadre débordant du récit ; ce qui dynamise le rythme en faisant évoluer les ambiances et la petite routine de lecture dans laquelle on s'installe assez vite.

Il n'y a pas grand chose à dire sur la forme.
Je regrette un peu la présentation des dialogues (sans guillemets), mais c'est devenu une norme actuellement. Je trouve que parfois cela brouille l'alternance récit/dialogue, mais c'est personnel.
Non, le seul point sur lequel on pourrait revenir, c'est l'utilisation des virgules concomitamment des pseudo-phrases très courtes, juxtaposées sans rien ou parfois avec une simple virgule. Je t'ai fait quelques remarques dans le PDF (que je peux t'envoyer en MP si tu le désires). Cette syntaxe syncopée, assez moderne, mériterait soit d'être plus systématisée (disparition progressive de la ponctuation non absolument essentielle) ou toilettée à l'aide de points-virgules qui joueraient ici leur plein rôle.
Enfin, d'une manière générale, j'aurais peut-être apprécié une police un peu plus marquante (est-ce Colibri que tu utilises ?) pour mieux typer l'histoire. Mais elle est très lisible sur écran et c'est ce que l'on demande.

Quasiment rien à dire sur le style, excellent.
Tu as une très belle plume, claire, lisible, avec sa mélodie propre. Je n'ai fait, de mémoire, que quelques remarques. Pour que tout le monde puisse commenter si le cœur vous en dit, je les redonne ici, en y incluant les autres erreurs ou suggestions que j'ai pu mentionner. J'ai volontairement omis les micro détails.
Pour rappel, je ne suis pas correcteur. J'ai essayé de le faire correctement en prenant en compte ton style ; je ne prétends pas avoir raison :

§ 1 – Inverser « tout et plus rien ». « Plus rien » suppose la particule adverbiale « ne ». Cela génère une dissonance de lecture. C'est peut-être voulu (pour se mettre à la place de Théodore) mais comme c'est le seul indice, j'ai du mal à y adhérer.
« Et soudain », supprimer le « et ».

§ 3 – Après « pantois ». Je ne sais pas. Tout est correct, bien sûr, mais les mots, le rythme, ne parviennent pas à insuffler l'intensité de la surprise qui devrait, je pense, être la nôtre. C'est assez plat je trouve.
Accent sur le « À ». Toujours, même avec les capitales (mauvaise habitude des imprimeurs/éditeurs).
Pas vraiment une répétition, mais les deux « fenêtres éclairées » sont assez proches.
« Le palier est obscur, vous tâtonnez le mur à votre droite puis à votre gauche à la recherche d’un interrupteur.  » Un peu lourd, non ? de droite, de gauche à la recherche...

§ 4 – Peut-être, au choix : « sur la rivière où... » ; « sur la rivière : la faune ... » Pour un effet de répétition (il se passe la même chose) et d'intensité, je suggère deux points.
Et « la faune aquatique y est tout aussi ». Je rajouterais le « y ».

§ 9 – « Tu avais disparu » : c'est peu être un peu trop succinct, voire capillotracté : oups, tu as glissé, pas de chance. Au vu du format du récit, j'avoue que j'en attendais ici un peu plus.

§ 12 – « et vous pétrifiez » : vous vous.
« loin de l’apaiser exergue son délire » : impropre, me semble-t-il (en tous les cas, cela sonne bizarre). Peut-être : attise, ravive, exacerbe (je pense que c'est celui que tu voulais mettre, non).

§ 20 – 2e paragraphe : ne serait-ce pas « intéressé » ? C'est vous le COD, non ? Mais je ne connais pas toutes les exceptions à la règle ; je fais peut-être erreur.
J'aurais mis n'égaie : aucun ne vient, aucun n'arrive, aucun n'égaie (absence dû au phénomène de liaison ?). Même partie : Inverser : « âme quelconque » pour renforcer l'indéterminisme.

§ 22 – Mettre un accent circonflexe à traîne. On peut ne pas mettre d'accent circonflexe sur trainer, mais il faut alors que tout le texte suive la réforme de l'orthographe (et j'ai déjà vu quelques circonflexes). Au choix.

§ 25 – « faire des grosses bêtises » : préférer de grosses.
Phrase suivante, j'aurais mis l'accent sur le temps : de mettre à temps les gens à l'abri ; surtout que ce complément dépend de mettre.

§ 26 – « bordel » : mot qui tranche avec le reste du texte. Bazar ?

§ 32 – Les titres et les capitales, c'est toujours un vrai bazar. L'idée est d'éviter d'en mettre à tous les mots et d'essayer de suivre une règle générale : toujours au substantif principal, à l'adjectif placé devant et pas à celui suivant le nom. Ainsi, au choix : Laboratoire de physique moléculaire ou laboratoire de Physique moléculaire. Mais bon, ici, l'à-peu près règne. Tu fais évidemment comme tu veux.
« le chatoiement d'un après-midi ». Ici, je mettrais une après-midi. Peu de gens font la différence. C'est celle qui existe entre un matin et une matinée. Cette analyse est personnelle.
Dans le même paragraphe, « la joie pure » si c'est bien la pureté cristalline de la joie qui est évoquée. Sinon cela renvoie davantage à une vraie joie. Le sens n'est pas le même (dénotation de l'adjectif postposé).

§ 37 – Au § 41 : bouche entr'ouverte. Choisir un des deux.

§ 39 – J'aurais personnifié ce moment : pour se crever les yeux. Sans pour autant l'appliquer au personnage (le personnaliser).

§ 42 – « Le sourire de cette jeune femme » : j'ai du mal à croire qu'elle soit jeune si je l'ai prise un temps pour ma femme en considérant mon âge et le temps qui s'est écoulé. De cette jeune femme entre deux âges peut-être ?

§ 45 – « à la Prévert : neufs sacs » : neuf ?

§ 46 – « Marco vous avez demandé » : vous avait demandé, ou mieux, vous demanda.
Deux lignes plus loin : confus. Du passé vers le futur se retrouvant dans ce présent (ou quelque chose du genre).

Encore une fois, je ne suis également qu'un amateur. Ce que je mentionne ci-dessus ne sont que des suggestions ; je me trompe bien souvent.


Comme beaucoup l'on souligné, ta prose insuffle une belle ambiance à l'ensemble de l'histoire et nous permet de nous installer dans ce personnage, comme dans les décors qu'il traverse. On sent comme une volonté de peindre un tableau, un gris monochrome que des tâches de couleurs surgissant des personnages, des lieux explorés, viendraient tempérer le temps d'un moment, le temps de cette vie qui fuit alors que la trame du sablier a été déchirée. J'ai particulièrement apprécié cette petite tension entre urgence et lenteur du temps qui passe et qui confère à l'ensemble une saveur particulière, tout comme le dynamisme instauré par l'alternance présent/futur, bien réalisée.

Ces mêmes remarques s'appliquent aux personnages. Comme ils sont assez peu nombreux, leur caractérisation en est d'autant plus importante. Rebecca est très bien. Notre collègue aussi, même si une touche légère d'explication de son geste eut été la bienvenue (jalousie, argent, gloire, puissance...). J'aurais bien aimé également que l'alcoolique soit plus développé (je ne suis pas certain que l'on puisse décider qu'il s'agisse de Marco ou de Jack, puisque la mémoire est altérée), en douce amertume de l'échec de la révolte ; tout comme cette femme que nous rencontrons en début de partie et que – plusieurs années dans le village obligent – nous allons forcément recroiser par la suite. D'ailleurs, l'absence d'interactions avec les gens du village est ce qui me gêne le plus. Si le clair-obscur qui baigne l'aventure profite d'un petit nombre de personnages, elle eut pu à elle seule métonymiser les villageois. La relation dans le présent avec notre fille m'a beaucoup touché – c'est très bien fait ; ce qui me fait regretter d'autant celle avec notre femme, qui passe un peu à la trappe, alors qu'elle en est le cœur de la conclusion.


Bien sûr, en soi, le scénario n'est pas original et les écueils habituels des histoires de voyage dans le temps ne sont pas évités. Mais tel n'est pas le propos.
C'est bien ici le traitement d'un sujet connu qui fait la force de l'histoire avec cette vision personnelle sur l'angle permettant de la développer. Lors de ma lecture, j'ai apprécié la place laissée au lecteur pour tenter de construire le monde présenté, ce qu'il voit, ce qu'il suppose. Les sous-entendus sont dans l'ensemble intéressants et laissent l'histoire se poursuivre une fois la lecture achevée. Qu'est-ce qui a bien pu se passer, pourquoi une poussière grise, un monde délavé... ?
Le seul reproche que je ferai, c'est sur l'espacement temporel de 117 ans qui ne coïncide pas avec l'âge des autres personnages. Ou Marco nous ment (c'est ce que j'ai choisi de croire), ou il se trompe, ou d'autres phénomènes inconnues sont en jeu (parce que tout le monde n'a pas dû emprunter le Vortex). Là encore, de petites touches légères, voire une note d'incompréhension pour montrer que la problématique est bien prise en compte, auraient pu suffire.

L'ensemble est donc très bon, mais aurait peut-être pu être davantage resserré ; c'est un choix, un équilibre à réaliser entre ambiance et événements.
Je te renvoie – si jamais tu ne la connaissais pas – à l'excellentissime Kintsugi de MerlinPinPin qui joue sur cette boucle temporelle avec un brio rarement égalé, où, sans sacrifier à l'atmosphère, il nous plonge dans un cycle redoutable d'actions, de rebondissements et de choix cornéliens.


La mécanique du jeu est le seul point faible de cette aventure. Pour rappel, nous jouons / lisons à un livre-jeu. Nous jouquinons. Le jeu est tout aussi important que la lecture. De par leur nature en sections, les AVH sont d'essence ludique. Mais réduire la partie ludique à des choix (conduisant à des codes – ce qui est explicité dès la première section), sans aucun autre élément pour relancer le jeu (et seulement trois codes à trouver), pénalise évidemment une AVH, selon moi. Ce n'est pas rédhibitoire en soit, mais c'est faire volontairement l'impasse sur l'une des caractéristiques essentielles de ce genre de littérature. Je ne dis pas qu'il ne faut pas essayer de nouveaux concepts de jeu, bien au contraire – mais que l'aspect minimaliste ne sert pas forcément, automatiquement, l'ambiance.
C'est ainsi que le jeu n'aura que peu de variables, ne permettra que quelques relectures et s'épuisera rapidement. J'ai n'ai eu besoin que d'une relecture pour trouver la bonne solution, et les sections non jouées ne m'ont rien apportées de neuf ou de surprenant. Si la touche verte de la forêt participe bien de l'ambiance, elle sape l'ergodicité où finalement nos choix ne sont pas opératoires. Et des choix impactants n'interdisent nullement l'atmosphère. Au final, nous nous retrouvons avec un bel objet peut-être – probablement – un peu trop linéaire ; ce qui est de mon point de vue son seul vrai défaut.


Je relève finalement une belle plume qui fait l'effort de respecter la forme, tout comme une histoire qui nous plonge réellement au sein du thème de ce mini Yaz, le Vortex.


Pour conclure.
Si des efforts sont à réaliser en terme de jeu et de non-linéarité, la profondeur du récit et des personnages qui transparaît à la lecture, ainsi que l'ambiance générale, subtilement rythmée, tout en dégradé pictural et impressionnisme émotionnel qui s'en dégage font de cette AVH une très belle réussite dont je recommande la lecture.

Merci à toi Lady V
Goburlicheur de chrastymèles
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#28
Merci pour ta superbe critique.
C’est ce qui me plaît tant dans ce forum : le retour des gens qui prennent le temps de lire/de relire/d’analyser et toujours avec bienveillance (j’occulte volontairement les quelques fausses notes entendues par-ci par-là).
Alors, oui, je veux bien le PDF avec tes remarques !

Je regrette un peu la présentation des dialogues (sans guillemets)
Je ne sais plus quand je suis passée dans mes textes aux dialogues avec tirets. Je me sens plus à l'aise avec cette forme. Un petit côté "théâtre", peut-être dû au fait que je joue les scènes dans ma tête avant de les écrire ?

j'aurais peut-être apprécié une police un peu plus marquante (est-ce Colibri que tu utilises ?)
Même si Colibri est plus poétique, c'est du Calibri... LOL

Le seul reproche que je ferai, c'est sur l'espacement temporel de 117 ans qui ne coïncide pas avec l'âge des autres personnages. Ou Marco nous ment (c'est ce que j'ai choisi de croire), ou il se trompe, ou d'autres phénomènes inconnues sont en jeu (parce que tout le monde n'a pas dû emprunter le Vortex).
En effet, tout le monde n'a pas emprunté le Vortex. La femme rencontrée au début par exemple.
Le Vortex n'est pas calibré. Les nœuds ont cependant une certaine constance, totale ou partielle. On peut donc être télétransporté dans le même endroit mais pas à la même époque. D'où les 117 ans. Mais ta version va très bien aussi car comme tu l'as souligné, un de mes objectifs était la place laissée au lecteur pour tenter de construire le monde présenté, ce qu'il voit, ce qu'il suppose.

La mécanique du jeu est le seul point faible de cette aventure.  D'ailleurs, l'absence d'interactions avec les gens du village est ce qui me gêne le plus.
Deux remarques qui reviennent dans les commentaires. Deux points à creuser...

Eh bien, maintenant, il ne me reste plus qu'à lire Kintsugi  !
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#29
Ah, ah, bien vu, Calibri... Je te fais un MP.
Goburlicheur de chrastymèles
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