[m-yaz 2024] L'Androïde d'Albert le Grand
#1
Citation :Au cœur du XIIIe siècle, un théologien et alchimiste émérite, connu aujourd'hui sous le nom d'Albert le Grand, aurait, dit-on, terminé la création d'une androïde capable de se mouvoir et de parler comme le font les humains. Incarnez cette invention intelligente, et accompagnez-là dans sa découverte du monde et de sa complexité.



Une histoire sans aléatoire.
Fiche de personnage simple avec règles simples, reposant sur des caractéristiques numériques et des capacités spéciales, plus utilisation de pièces/jetons et de mots-clés.
Sept fins proposées, dont une peut être considérée comme une victoire.

Le PDF dispose de liens cliquables.

L'aventure est disponible ici :
http://litteraction.fr/livre-jeu/l-andro...t-le-grand

Merci pour l'orga !
Je vais enfin pouvoir tester les autres propositions (probablement en stream si j'arrive à trouver du temps pour me remettre à twitch)

Pfiou, je vais me reposer. a+ Smile
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#2
Merci Feldo, participation bien enregistrée. Au plaisir de découvrir ton aventure !
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#3
On m'a fait remonter deux petites coquilles.

Si je ne change pas la structure et le gameplay du jeu, c'est ok d'uploader à ce stade une version qui corrige des erreurs d'orthographe/conjugaison et peut-être juste quelques formulations de phrases un peu lourdes ?
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#4
(20/06/2024, 17:30)Feldo a écrit : On m'a fait remonter deux petites coquilles.

Si je ne change pas la structure et le gameplay du jeu, c'est ok d'uploader à ce stade une version qui corrige des erreurs d'orthographe/conjugaison et peut-être juste quelques formulations de phrases un peu lourdes ?

Oui, bien sûr !

Tu peux toujours laisser aussi le fichier d'origine comme version témoin.
[+] 1 personne remercie MerlinPinPin pour ce message !
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#5
Merci. En effet, j'ai laissé l'ancienne aussi. Nouvelle version en ligne !
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#6
Mmm... Je suis gêné car je vais donner un avis mitigé sur une oeuvre foncièrement bonne et travaillée avec talent. D'autant plus que j'ai ressenti un peu la même chose pour la précédente aventure de Feldo avec le vampire, ça me navre un peu.

Objectivement, c'est une AVH de grande qualité. La façon d'écrire est impeccable, particulièrement ciselée pour nous transporter dans ce Moyen-Age. Le parler des personnages m'a plu avec leurs expressions surannées. Le scénario est original, mêlant steampunk, religion et histoire (avec même la possibilité de discuter avec Saint Thomas d'Aquin).
Certains passages brillent par leur pertinence avec des références bibliques et philosophiques qui apportent une dimension supérieure au récit. Enfin, la mécanique du jeu est cette fois encore très intéressante avec ce système de deniers et de caractéristiques pré-définies à ajuster.

Pour ma part, j'ai échoué la première fois avec pourtant pas mal de deniers en rab. Je pense avoir atteint la meilleure fin à la lecture suivante (St Jacques de Compostelle...) et là, je n'étais plus qu'à 1 denier et pile 3 points d'ire, donc juste juste.

Pourtant, malgré tous ces points positifs, je n'ai pas été extrêmement emballé. Je pense que ça vient de la distanciation avec le personnage interprété. Un peu comme pour le Vampire où je trouvais dommage d'être une sorte de lointain spectateur sans m'inquiéter réellement des enjeux, j'ai eu du mal à m'investir dans cette androïde à l'intellect supérieur, mais aux émotions (légitimement) très ternes. Le fait que les décisions soient surtout dictées par nos points de valeur plutôt que par la réflexion sur les "bons" ou "mauvais" choix ne m'a pas non plus aidé à m'immerger à fond dans l'histoire.

Mais tout ceci est purement subjectif. Cela vient de mon rapport à ce que j'attends d'une AVH, ou ce que j'y préfère. J'ai une faiblesse pour l'émotion et un manque de courage pour la réflexion quand je lis.
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#7
Merci pour ton retour, je comprends ton ressenti, puisque moi-même en écrivant je le ressentais un peu Smile J'aime bien profiter cependant du Mini-Yaz pour expérimenter d'autres "voix" (un peu comme je le fais aussi sur des "game jams" limitées à 500 mots ou 3000 mots). Sur une aventure plus longue, je pencherais généralement vers une narration plus classique et un personnage moins marqué, ou alors plus consensuel/habituel.

Pour ce qui est des points de valeur qui dictent par défaut les choix, c'était surtout une implémentation technique du thème Engrenage, mais au final je crois (ça peut manquer de tests) qu'avec le nombre de Deniers disponible, en général on peut quand même "tordre" le destin assez souvent pour briser un peu (beaucoup ? à confirmer, je n'ai pas testé toutes les combinaisons de signe/métal) la fatalité Big Grin
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#8
J'aime bien de création de personnage, qui raconte une jolie histoire autour de ce qui, mécaniquement, pourrait se résumer en quelques phrases : « Vous commencez avec 3 points à répartir à votre convenance parmi les quatre éléments, ainsi que sept jetons. Vous pouvez soit ajouter 1 point à l'élément de votre choix, sans toutefois dépasser 3, ou gagner 3 jetons supplémentaires. » Juste, le système de déesse tutélaire est probablement de trop pour une aventure aussi courte.

Et là, je vais caser mon lieu commun favori : « l'aventure est à l'étroit dans ses 50 49 sections ».

Ainsi, elle propose énormément de choix à trois, quatre, cinq options. Ce qui est vachement cool dans l'absolu. Mais qui, sur aussi peu de sections et sans structure roublarde, fait qu'on arrive très vite à l'une des fins, sans avoir eu le temps de s'imprégner de l'histoire et des personnages. Avec pour conséquence que le lecteur est peu impliqué émotionnellement et intellectuellement dans le débat final.

J'ai aussi apprécié le système de règles, avec cette gestion de ressources assez fine tout en restant simple. Cependant, j'ai là aussi l'impression que l'aventure est coincée par son format. Elle n'a actuellement qu'une véritable bonne fin, celle du 46, qui m'a, instinctivement (j'ai pas compté, à prendre avec des pincettes), parue plutôt orientée Terre (mâtinée d'Eau peut-être), et le nombre de jetons dont on dispose au départ calculé pour qu'elle soit accessible même avec une valeur de départ faible dans cet élément. Avec pour corolaire qu'on nage dans les jetons si on a misé sur un gynoïde de boue (Terre+Eau).

Ce serait un faux problème s'il y avait plus d'alternatives « complètes », dédiées à d'autres combinaisons d'éléments, donnant la possibilité d'accéder à une fin riche dans tous les cas même avec moins de jetons. Le 10 par exemple aborde une thématique avec du potentiel, coupé court par une fin abrupte faute de place.

Bref, je classe cet avh' dans la catégorie des mini-Yaz' prototypes. Ça développe des idées et des mécaniques intéressantes en modèle réduit pour valider divers concepts ; mais l'envergue des ailes est trop faible pour lui permettre de réellement prendre son envol.
[+] 1 personne remercie Skarn pour ce message !
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#9
Merci pour ton retour !

J'hésite un peu, je ne suis pas sûr d'en faire une version qui proposerait une plus grande longueur, ça se base sur une petite anecdote légendaire à laquelle je voulais donner vie, mais je ne suis pas certain de trouver l'envie de passer des mois dessus (j'y ai songé, avec un passage du XIIIe siècle au XXIIIe, mais bon Big Grin ). Bien sûr, tout peut être étiré mais cela partirait facilement vers un autre concept. En tout cas, oui, il est clair que tous les persos de départ n'ont pas du tout les mêmes probabilités d'arriver à la fin la plus heureuse ! C'est "l'engrenage" qui est à l’œuvre, du moins si on laisse couler les tests qui se présentent naturellement à nous, mais normalement en usant des jetons, avec pas mal de profils on peut quand même accéder à la plupart des fins (dont 4 sont en fait presque cachées sous un chemin rare, et dont l'une est assez différente du reste Big Grin ).

Que faire de 50 sections ? C'est une bonne question ! ça va vite et il faut faire un choix entre largeur ou profondeur. Il est vrai que j'ai tendance à privilégier une certaine largeur, ce qui donne du "rapide à jouer" (les sections n'étant pas particulièrement longues à lire) qui serait à refaire quelques fois.

Je note en tout cas ces remarques pour une éventuelle V2, qui ne serait pas beaucoup plus longue, et sur laquelle il faudrait que je décide de m'éloigner ou pas de l'application du thème pour éventuellement en faire un jeu plus équilibré (tout le principe pourrait en souffrir, à voir).

PS : pour les déesses, leur effet est certes assez léger, mais c'était pour placer un clin d’œil de plus à l'histoire originelle, Albert le Grand ayant, suivant certaines versions, façonné son Androïde d'après Minerve Smile
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#10
Cette AVH possède un certain nombre de points communs avec la précédente ("Traité sur un Vampyr...") du même auteur : une idée très originale comme point de départ, un même goût pour les bizarreries historiques, et pour les gameplays originaux, et une maîtrise certaine de la forme :  belles gravures et style littéraire parfait.

J'ai aimé :
- l'originalité de l'histoire (une histoire d’androïde mais qui ne soit pas steampunk), qui colle parfaitement au thème du concours
- la création des caractéristiques du personnage qui colle parfaitement à l'astrologie, à l'alchimie, aux Antiques
- la grande qualité du style, et on sent que l'auteur aime ses personnages.
- la façon dont s'exprime les personnages. C'est pétri de références culturelles et religieuses. On sent que l'auteur maitrise son sujet et à cœur de nous le partager.
- sept fins différentes. Sur 49 paragraphes, c'est top.

J'ai moins aimé :
- le minimaliste de l'intrigue... trop minimaliste : quasiment pas d'action physique, un seul lieu (une cellule de deux pièces), seulement trois personnages et une intrigue basée presque exclusivement  sur les dialogues. On est presque dans une pièce de Racine avec "unité de temps, unité de lieu, unité d'action".
- le gameplay, en ce sens qu'il contraint le lecteur dans ses choix, ce que je déteste. C'est très personnel et c'est sans doute lié au fait que je préfère la lecture au jeu, la narration à la gestion. J'ai envie de faire un choix "émotionnel" (càd, qui me semble le plus pertinent par rapport à mon ressenti), et non un choix "rationnel" (càd, qui me semble le plus stratégique par rapport aux ressources dont je dispose). J'avais eu le même ressenti avec le gameplay du "Traité sur le vampyr..." où là aussi le lecteur n'était pas complétement libre de ces choix.

En résumé, encore une AVH de grande qualité de la part de Feldo !
[+] 1 personne remercie grattepapier pour ce message !
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#11
Que voilà une histoire inattendue, jouer l’éveil d’une automate et tenter de survivre à cet éveil. Je ne reviendrai pas sur ce qui a été dit et je vais simplement tenter, à mon niveau, d’approfondir deux ou trois éléments.

La première idée qui surgit spontanément à l’esprit à la lecture de L’Androïde d’Albert le Grand, c’est le mythe de Prométhée, suivi de l’un de ses corollaires les plus célèbres, la créature de Frankenstein.
Pourtant, assez rapidement, Feldo s’éloigne de ces figures d'un créateur démiurge pour s’en aller lorgner du côté des robots d’Isaac Asimov, en ce sens qu’il n’y a pas de raison pour qu’une de nos inventions se retourne contre nous (dans la Préface à Les Robots) – même si un paragraphe de cette AVH me contredit.
Mais de fait, ce n’est pas là non plus la vraie problématique qui se fait jour au fur et à mesure de la lecture, mais plutôt celle relative à une vaste question philosophique : comment définir la vie ? Parmi les références que l’on pourrait convoquer, il m’en vient une, frappante de parallélisme, celle provenant de la série Star Trek Nouvelle Génération, saison 2, épisode 9, « The Measure Of A Man », où l’androïde Data doit, via un procès, non pas déterminer qu’il est intelligent, mais bel et bien qu’il est une créature vivante. La juge responsable de ce procès se permet de soliloquer de la sorte : « Data a-t-il une âme ? Je l'ignore, mais je dois lui laisser une chance d'approfondir et répondre à cette question par lui-même. ». Et de s’interroger sur ce qu’est la vie, sur le droit des uns à dominer les autres, à les envahir, à faire d’eux des esclaves car ils n’auraient pas d’âme… Et c’est ici cette même problématique qui est questionnée, sous forme non d’un tribunal, mais d’un dialogue – qui a toutes les apparence du procès – et, contexte oblige, portant sur le religieux et la foi, loin en amont de ce que sera plus tard le débat entre Data et ses détracteurs.
Bref, du lourd, et ça, c’est un bonheur à lire, loin des gobelins dans leurs donjons.

Dans la forme, il y aurait bien quelques remarques à faire ici ou là, mais en regard de la haute tenu de ce manuscrit ^^, ce serait du chipotage.
Trois observations tout de même.
1/ Les règles sont peut-être expliquées de manière inutilement compliquée (cf. Skarn)  ;
2/ Au paragraphe 32, la fin du texte n’est pas clair : « Si ton parchemin personnel, pour 3 Eau, tu peux en appeler aux principes stoïciens. Rends-toi au 30. » ;
3/ Enfin, peut-être essayer d’éviter de mettre une série de choix à cheval sur deux pages. Comme c’est un pdf, on s’arrête naturellement en bas de page et on ne pense pas à aller lire la suivante. C’est ainsi que pour le paragraphe 1, je me suis arrêté au bas de la page 9. Comme il y avait déjà deux choix, je n’ai pas pensé que d’autres pouvaient se trouver page suivante et je ne les ai donc pas lus. Je ne les ai finalement repérés que parce que je fais un décompte des paragraphes lus.

J’ai trouvé notre Antoine le Grand assez timoré, surtout face à son disciple, comme un enfant pris la main dans le sac, alors qu’il s’agit d’un génie absolu. J’en comprends l’utilité puisqu’il ne faut pas que le débat passe de Thomas et nous à Thomas et Albert. Mais j’ai eu peine à m’imaginer un tel homme pusillanime.

Le thème est très bien respecté, sur tous les niveaux, et au vu de la difficulté qu’il engendre, c’est à saluer.
C’est aussi là où je ne rejoins pas forcément mes camarades du forum. Car contrairement à tout ce que l’on veut imaginer ou dire, la lecture interactive n’est jamais libre, mais toujours contrainte. Un auteur peut parvenir à donner une impression de liberté. Mais à partir du moment où les options sont restreintes, le choix est forcément contraint.
Comme je me suis amusé à interpréter telle ou telle androïde, je me suis servi du système qui, grosso modo nous permet de répartir 3/4 points où l’on veut. Il est là notre choix. On peut dès lors avoir une androïde dans l’action ou la réflexion, ce que rend compte nos valeurs, comme dans tout jeu de rôle où si je veux jouer une intellectuelle, je vais privilégier telle caractéristique, et telle autre si je la veux impétueuse. Cela me rappelle un peu le jeu de rôle Simulacres avec ses 4 Composantes : Corps, Instinct, Cœur et Esprit. Si je mets beaucoup en Corps et Instinct, ce sera soit une tête brûlée, soit un individu à la spiritualité particulière. Les jetons de fortune (deniers) ne sont justement rien d’autres que des adaptateurs permettant, pour une fois, d’interpréter son personnage autrement. Ici, je dirais donc que ce qu’il faudrait peut-être envisager, si l’on veut donner la main au joueur, c’est de le laisser libre de gérer ses points au départ … ce que les règles suggèrent d’ailleurs.
Les déesses gréco-latines rajoutent encore plus de liberté d’interprétation et si elles sont ici anecdotiques, gageons qu’elles ne le seront plus sur un jeu plus étoffé.
Seul bémol, ces fameux deniers qui, je trouve, s’intègrent mal dans le récit de la création de notre personnage. Mais sur une histoire de 49 paragraphes, ils font très bien ce pour quoi Feldo les a proposés.

Au final, j’ai vraiment beaucoup aimé et je regrette qu’une telle histoire n’ai pas l’envergure nécessaire pour déployer toutes ses possibilités tant en terme de questionnement que de gestion opératoire des composantes (les règles).
Goburlicheur de chrastymèles
[+] 1 personne remercie Astre*Solitaire pour ce message !
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#12
J'ai une question à @Feldo : peut atteindre la "bonne" fin (le 46) avec moins de 3 points d'ire ? J'ai eu l'impression qu'au minimum, on récolte 3 fois 1 point d'ire, donc qu'on arrive au 49 avec au minimum 3 points d'ire. Je me trompe ? dancs ce cas, quel est le chemin permettant de récolter moins de 3 points ?
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#13
Merci pour vos retours grattepapier et Astre*Solitaire.
Je prends bonne note de tout ça pour une probable v2.

Au passage, juste pour parler des explication de règles, j'ai bien conscience que pour des vétérans ça peut sembler trop détaillé, mais j'ai préféré écrire de telle sorte qu'une personne ne connaissant que les romans puisse à peu près s'en sortir. Je pense que plus tard je rajouterai un encart en début de règles en mode "Si vous connaissez déjà les LDVELH..." qui expliquera tout ça plus vite.
Ah, et concernant "la" fin qui va plus vers la révolte, je l'ai cachée un peu comme une blague, je ne sais pas trop si je vais la garder. Ou si je le fais, elle mériterait peut-être de profiter de quelques sections de plus comme le suggérait aussi Skarn (même si j'ai calé quand même de petits signes annonciateurs en début d'histoire, ça reste très léger).

Et pour répondre à grattepapier sur le chemin énervant le moins Thomas, je spoile :
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#14
Le texte est très beau et c'est une aventure vraiment originale. Les discussions réthoriques/philosofiques/religieuses sont très bien construites, de l'excellent travail à ce niveau. Pour ma part, j'ai trouvé la présentation des règes adéquate. Le concept fait qu'on peut parfois avoir l'impression de marcher dans des ornières, quoique j'ai joué avec bois & fécondité, donc j'avais tellement de deniers que je pouvais choisir à peu près n'importe quoi.

Pour moi le grand défaut - je l'ai ressenti souvent dans les aventures très modernes, à l'opposé des classiques du genre - est l'absence du but réel au départ. Outre ne pas fâcher ce bon moine Thomas... Donc j'ai eu l'impression d'errer un peu à travers les sections, sans trop être motivé par les choix proposés.
[+] 1 personne remercie Flam pour ce message !
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