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S'il était homme du rang on lui a probablement plutôt appris à utiliser un fusil militaire qu'un pistolet, réservé aux officiers. Et vu son profil il n'a pas fait d'école d'officier. En France, sous-officier sans ancienneté reste une possibilité...
Va pour un service de 2 ans en 1894 et quelques semaines d'action au début de la guerre, alors.
Mr. Shadow
Doux mon cœur, fermes mes intentions -mantra psi
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Heuh, c'est un jeu historique, là ? Y'a des trucs fantastique ou magique dans ce monde ?
Pour s'y retrouver, on est en quelle année ? Faudrait qu'on ait aussi l'âge des persos, non ? Ma PJ, par exemple, elle aurait la trentaine ? Toujours célibataire ??
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(04/05/2014, 11:45)Lyzi Shadow a écrit : (03/05/2014, 23:47)VIC a écrit : Citations d'Alex Le Fou :
- "Sur le Baron Rouge, je ne dirais qu'un mot : Kaputt !"
C'est pas son dernier mot à lui, surtout ? En effet !
Je te passe du background par MP.
On peut le mettre en spoiler ici si tu veux, histoire que tout le monde le lise, hé hé !
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04/05/2014, 15:18
(Modification du message : 04/05/2014, 15:41 par Lyzi Shadow.)
C'est en effet le principe, avec moi, de communiquer les infos secrètes par spoiler plutôt qu'en MP.
Ça peut attendre la version définitive de ton histo, cela dit...
(04/05/2014, 14:53)Caïthness a écrit : Heuh, c'est un jeu historique, là ? Y'a des trucs fantastique ou magique dans ce monde ?
Pour s'y retrouver, on est en quelle année ? Faudrait qu'on ait aussi l'âge des persos, non ? Ma PJ, par exemple, elle aurait la trentaine ? Toujours célibataire ??
C'est pas historique, c'est une uchronie.
Le principe est simple "considérez que tout est pareil que notre monde, sauf quand c'est indiqué le contraire".
Il y a du surnaturel et de la sf.
Dans l'univers d'Indiana Jones, par exemple, la magie de l'Arche d'alliance, du Graal, ou des pierres de Sankara existe.
Dans Nadia, en 1889, il y a un sous-marin nucléaire et Jean invente un avion à réaction. Il y a même un mécha basé sur la technologie des boîtes à musique inventé par un mécanicien automobile...
Pour l'âge des persos, j'ai rien mis dans les fiches (à part une description vague genre "vieux" ou "jeune") justement pour vous laisser le choix.
Je voyais Alex comme un fringant jeune homme et au final il a apparemment 36 ans.
Je crois l'avoir déjà écrit quelque part mais on est en 1934. J'ajoute que c'est le printemps.
Vos Atouts impliquent que vous êtes des gens expérimentés. Miss Lantagnac a Grand Voyageur, ça signifie qu'elle a passé plusieurs années à voyager dans de nombreux pays, au point d'avoir appris de nouvelles langues et s'être familiarisée avec leur culture et leurs usages. Donc soit elle a la trentaine et a commencé vers 18-20 ans, soit elle est plus jeune mais elle a commencé vers 14-15 ans...
Je t'avais donné le choix entre être veuve ou héritière, tu as choisi héritière. Donc je dirai qu'elle est toujours célibataire. Les gens qui s'occupent de gérer sa fortune doivent lui mettre la pression pour qu'elle se marie et assure la succession.
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Ok, ça marche. Je me suis décidé pour un BG en forme de Chronologie, ce sera synthétique et ça intégrera les infos que tu as déjà données. J'espère le finir pour la fin de la semaine.
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(04/05/2014, 15:18)Lyzi Shadow a écrit : C'est en effet le principe, avec moi, de communiquer les infos secrètes par spoiler plutôt qu'en MP.
Ça peut attendre la version définitive de ton histo, cela dit...
OK. Dans ce cas, autant mettre ça ici, en spoiler, pour ceux qui veulent lire...
Background d'Alex le Fou :
Montrer le contenu
SpoilerAlex était un très jeune pilote pendant la Grande Guerre. En 1916, après avoir abattu 2 avions allemands, il est lui-même descendu en flammes par le Diable Rouge (ou Baron Rouge) en personne. Deux hommes le sauvent de la carcasse en feu , mais les trois hommes se sont faits capturés peu après par l'ennemi.
Le Diable Rouge aurait du être la nemesis "parfaite" d'Alex : c'est en effet lui qui abat son avion, et qui indirectement conduit à la capture des trois hommes. En détention, on a le temps de ruminer. Alex culpabilise d'avoir été abattu en vol, ce qui a conduit par ricochet à la fin prématurée de l'un de ses sauveurs. D'une certaine manière, il se sent une part de responsabilité dans la mort de son ami et co-détenu.
Parallèlement, il ne peut qu'être admiratif devant le pilotage du Baron Rouge, et il le respecte pour ses prouesses.
Alex aurait donc pu développer un "complexe d'Oedipe" avec le Diable Rouge, souhaitant personnellement prendre sa revanche à la loyale face à lui, en en faisant une affaire personnelle. Alex s'était déjà distingué en étant le plus jeune pilote en 14-18 (Alex avait seulement 15 ou 16 ans, ayant menti sur son âge pour pouvoir voler).
Alex a finalement été frustré de sa revanche en apprenant que le Diable Rouge avait été abattu par une mitrailleuse, au sol.
La relation avec le Diable Rouge est donc très ambivalente, mélange d'admiration, respect, rancoeur personnelle, et finalement frustration.
Paradoxalement, le fait d'avoir été abattu par le Baron et de s'en être sorti miraculeusement, fait d'Alex un cas à part dans l'aviation militaire.
Alex en a eu sans doute un peu marre de devoir sans arrêt raconter cette histoire aux autres pilotes (-"Raconte nous comment ton avion a été abattu par le Diable Rouge ? Tu l'as touché avant ?" etc ...), surtout qu'il n'a eu pas le meilleur rôle. Certains rechignent à le croire et le prennent pour un affabulateur, le traitant de fou. D'autres pensent que c'est à ce moment qu'Alex reçut le surnom d'Alex le Fou.
Alex décidera donc quelques années plus tard d'arrêter sa carrière militaire, d'autant qu'il redoute que la supercherie sur son âge soit un jour découverte (on ne rigole pas avec les faux papiers).
Alex a ensuite participé à différents projets en testant des avions pour différents industriels français. Sa spécialité étant les looping et le pilotage à risque, certains pensent que c'est là qu'il a gagné le surnom d'Alex le Fou : il n'avait pas son pareil pour pousser sans arrêt les limites des différents appareils.
C'est auprès des industriels qu'il a rencontré Bobo, et qu'il en fait son mécanicien personnel. Une amitié indéfectible les unit après toutes ses années, surtout après cet épisode particulier :
En 1927, Alex, avec son avion spécial préparé par Bobo, devait concourir, avec des chances raisonnables de succès , pour remporter le prix offert de 25 000 dollars par l'homme d'affaires américain d'origine française Raymond Orteig, pour la première traversée de l'Atlantique en vol direct.
Bobo fut accusé été accusé à tort par un pilote concurrent et jaloux d'Alex, d'avoir saboté son avion, avec une sombre affaire de faux témoignage.
Alex n'en cru rien et menaça de tout plaquer pour défendre l'honneur de son ami, qui est alors licencié. Alex renonce donc au dernier moment de décoller et de participer au concours, par solidarité avec Bobo, qui lui voue un culte depuis. Quelques mois plus tard, Charles Lindbergh traverse avec succès l'Atlantique à bord du Spirit of St. Louis et met fin au concours.
C'est à l'instant où Alex a claqué la porte au tout dernier moment à la mythique traversée, au prestige, et à la prime, que certains pensent qu'il a gagné le surnom d'Alex le Fou.
D'autres prétendent qu'il aurait gagné ce surnom après avoir perdu sa fortune au jeu, voire même, son petit avion personnel, dans un bouge d'Afrique du Nord. Cette histoire est à moitié vraie. Ce qui est sûr, c'est qu'il y a joué très gros et a perdu.
Certains ont même répandu la rumeur qu'il avait du s'acquitter d'un ou deux services obscurs pour récupérer son avion...
L'Aéropostale est fondée fin mars 1927 par Pierre-Georges Latécoère, et c'est vers lui qu'Alex se tourne après l'épisode manqué de la traversée de l'Atlantique. Il rencontre d'autres pilotes comme Mermoz, Saint-Exupéry et Guillaumet, et effectue quelques vols pionniers avec eux (les avions volaient souvent à deux au cas où l'un d'entre eux tombe en panne). En réalité, il sert surtout de pilote intérimaire, les remplaçant au pied levé lorsque l'un d'entre eux est malade, kidnappé par les Maures contre rançon, perdu, voire pire ...
Ceci explique qu'il ne soit pas connu auprès du grand public :
Alex préfère rester dans l'ombre, surtout depuis son histoire avec le Baron Rouge.
Ajoutons que certains pensent que c'est en voulant tenter de nouvelles destinations improbables pour l'Aéropostale, qu'Alex aurait gagné son surnom.
En juin 1930, Guillaumet s’écrase avec son Potez en traversant les Andes. Saint Ex téléphone à Alex pour qu'ils aillent le rechercher ensemble. Mais Saint Ex à du courrier à livrer, et la devise de l'Aéropostale est "Le courrier avant tout". Alex reprend donc le courrier de Saint Ex pour que celui-ci puisse partir rechercher son ami.
Après avoir fait quelques autres vols pour l'Aéropostale, et méditant sur les différentes tragédies aériennes qui ont frappé ses amis, Alex décide alors de laisser "sa place aux plus jeunes" et de travailler en indépendant, toujours avec son ami Bobo.
Quant à la petite phrase de P.G. Latécoère au sujet de l'Aéropostale :
J'ai refait tous mes calculs
Notre idée est irréalisable
Il ne nous reste qu'une chose à faire
La réaliser.
... certains disent qu'il se serait en fait inspiré des folies d'Alex. Quant à savoir si c'est là qu'il a gagné son surnom, c'est une autre histoire ...
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En parlant des voyages, ça me fait penser aux langues parlées.
Considérons 3 niveaux de maîtrise :
Rudiments, Conversation courante, Maîtrise parfaite.
Plus le niveau "natif", à part, avec un niveau plus ou moins soutenu selon votre éducation.
De base, vous avez le français en "natif". Et par facilité je vous fait cadeau d'anglais à "courant" pour tout le monde.
Vaste Érudition donne le grec et le latin à "maîtrise", plus une langue supplémentaire (étrangère ou ancienne) à "maîtrise".
Don des Langues donne 2 langues étrangères supplémentaires mais aucun des pré-tirés n'avait cet Atout.
Grand Voyageur donne 2 langues étrangères supplémentaires à "maîtrise", et le niveau "rudimentaire" dans de nombreuses autres.
(Nombre exact à préciser selon les voyages et l'utilité et la rareté des langages...)
Une langue supplémentaire maîtrisée peut être échangée contre 2 rudimentaires.
Mr. Shadow
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Roland Auguste de Rivière est né le 25 novembre 1874. Il est issu d’une famille parisienne aisée, bien que roturière malgré la particule de son nom. Doux de tempérament et curieux d’esprit, il entreprend des études de sciences qui seront interrompues de 1894 à 1896 par le service militaire. Après cette parenthèse de deux ans, il retourne à l’université, obtient son diplôme et y demeure comme enseignant, spécialisé dans les sciences naturelles et, en particulier, la zoologie.
Il voue une passion pour le jeu d’échecs et est un membre assidu d’un certain nombre de cercles de la capitale au cours des ans. Au fil de ses nombreuses parties, il se lie d’amitié avec l’un de ses partenaires réguliers, un dénommé Lantagnac, souvent accompagné de sa petite fille, Primerose.
Lorsque la guerre éclate, le professeur Rivière est mobilisé dans l’armée de réserve. Le tour que prennent les combats voit son unité contrainte de monter au front. Blessé à la jambe à cette occasion, il retourne à la vie civile après quelques semaines de conflit et doit désormais marcher en s’appuyant sur une canne pour compenser une légère claudication, séquelle de sa blessure. Son camarade Lantagnac, hélas, meurt avant la signature de l’armistice. Il garde cependant le contact avec sa fille, avec laquelle il entretient une correspondance épistolaire régulière. Il lit notamment ses descriptions de la faune et de la flore des nombreux pays qu’elle traverse avec le plus grand intérêt.
Peu de temps après la guerre, à l’occasion d’une visite au cimetière pour s’y recueillir sur la tombe de son ami, il fait la rencontre de deux camarades d’icelui : Alexandre Cartier, pilote pendant la Grande Guerre, et le docteur Paul Martin, un médecin, militaire également. Les trois hommes finissent par se lier d’amitié et se voient régulièrement mais, les années passant et les obligations de chacun devenant de plus en plus prenantes, les rapports se distandent.
À l’université, il cotoie régulièrement un jeune et brillant étudiant nommé Augustin Dupré, que le hasard fait partager le logis du docteur Martin.
Vers le milieu des années 20, il prend sous son aile un jeune homme nommé Ferdinand Lambert, mauvais garçon tout juste sorti de prison suite à un cambriolage. Ce dernier n’a plus quitté le service du professeur depuis, sans doute reconnaissant de lui avoir offert cette seconde chance, et une étroite complicité s’est installée entre les deux hommes.
Aujourd’hui, le professeur est âgé de 59 ans. Il continue de donner des cours à l’université, dont il est un des membres les plus anciens et les plus respectés. Toujours féru d’échecs, il fréquente encore régulièrement son club favori. En-dehors de ces sorties, il demeure chez lui la plupart du temps, quelque peu isolé du monde extérieur, à l’exception de son fidèle Ferdinand.
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04/05/2014, 19:21
(Modification du message : 04/05/2014, 19:31 par tholdur.)
Paul Martin était un étudiant en médecine de 24 ans sans histoire lorsque survint la guerre de 1914. La fougue de sa jeunesse le poussa à s'engager alors qu'il aurait pu rester non-mobilisable en hôpital civil. Il était peut-être mieux préparé que ses camarades à affronter les horreurs du conflit, habitué qu'il était à côtoyer la maladie et la mort. Ses compétences servirent à de nombreuses reprises et lui permirent de sauver la vie de plusieurs dizaines de soldats. Mais les conditions dans les tranchées étaient si terribles que souvent, bien trop souvent à son goût, il ne pouvait malgré tous ses efforts inverser l'évolution défavorable de l'état de ses patients. Se succédaient opérations traumatisantes et agonies de camarades face auxquelles il était impuissant. C'est tout naturellement qu'il commença à trouver refuge dans l'alcool. Bien qu'il en connaisse les effets, il ne pouvait se rendre au front sans prendre avant "un petit remontant". Il parvient malgré tout à ne pas sombrer complètement dans l'alcoolisme, mais une fois la guerre terminée ne put se défaire d'une consommation quotidienne. Il ne repris jamais ses études mais resta dans l'armée et participa à la guerre du Rif en 1925. C'est à cette occasion qu'il consacra du temps à perfectionner ses talents de tireur qui n'avaient eu que peu d'occasion de se manifester lors de la première guerre mondiale. Un supérieur tatillon qui l'avait surpris en train de boire une gorgée de sa flasque d'alcool favorite s'arrangea pour le faire expulser de l'armée. Malgré ses excellents états de service, le fait que l'alcool puisse émousser ses réflexes et mettre en danger la vie des camarades qu'il soignait fut l'élément déterminant dans le jugement qui suivi. Et sans doute aussi le fait qu'il n'ait jamais été cité pour la moindre décoration après 14-18...
La pension militaire qu'on lui octroya ne lui permit de vivre qu'assez chichement, mais il avait des goûts modestes et pût subvenir à ses besoins. Sa fierté l'empêchait de toute manière de solliciter l'aide de son ami de 14-18, Alexandre le Fol, ou bien du Professeur Rivière qu'il avait perdu de vue mais avec lesquels il correspondait toujours très régulièrement. Il s'installa dans un immeuble en collocation avec un jeune étudiant, Augustin Dupré, et afin de ne pas se laisser affecter par les effets de l'âge et de la boisson, entrepris de prendre des cours de boxe. Il devient assez vite un redoutable pugiliste. Après 40 ans, alors qu'il s'était entiché d'écriture, il devint plus bougon et assez facilement irascible. Ses poings avaient tendance à partir vite! Mais il avait gardé bon fond et, souvent, après s'être laissé emporter soignait méticuleusement le nez cassé ou l’œil tuméfié de son interlocuteur...
Edit: cela va sans doute à l'encontre du sang-froid exceptionnel, mais je vois plus ce sang-froid dans une situation de danger. Par contre quand on l'agace cela a tendance à "partir tout seul".
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(04/05/2014, 15:18)Lyzi Shadow a écrit : Je crois l'avoir déjà écrit quelque part mais on est en 1934. J'ajoute que c'est le printemps.
heuh... je pars du principe que Primerose est nee en 1900 (donc 34 ans au debut du jeu). Donc par truchement, le papa devait avoir au moins 25-30 en 1900 soit 40-45 ans en 1915... Au vu de :
(04/05/2014, 13:14)Lyzi Shadow a écrit : Au départ, on pouvait être appelé que entre 20 et 40 ans. Mais l'âge minimum a baissé en cours de route et les réservistes et engagés volontaires pouvaient être plus vieux. je pense que l'histoire du père de Primerose sergent qui récupère l'aviateur, c'est chaud non ? On peut adapter en disant que l'avion s'est crashé, que le père de Primerose l'a sauvé, puis s'est fait exécuté par les allemands ?
Ça oblige Vic a modifier légèrement son récit, mais ce serait moins delirant, non ?
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(05/05/2014, 02:55)Caïthness a écrit : je pense que l'histoire du père de Primerose sergent qui récupère l'aviateur, c'est chaud non ? On peut adapter en disant que l'avion s'est crashé, que le père de Primerose l'a sauvé, puis s'est fait exécuté par les allemands ?
Ça oblige Vic a modifier légèrement son récit, mais ce serait moins delirant, non ? Si l'avion s'est crashé, que le père de Primerose l'a sauvé, puis s'est fait exécuté par les allemands ... ben c'est en gros pareil non? La seule différence s'est qu'il ne se serait pas fait capturé ?
Je ne vois pas le côté délirant dont tu parles, tu pourrais préciser ?
C'est sur l'âge du père ?
J'ai brodé autour du spoiler de Lysi, et je peux m'adapter et remodifier le texte, pas de souci... si on me dit quoi faire.
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"délirant" c’était une expression pour signaler le fait que le père de primerose a dépassé l'age limite d’être appeler ET PLUS du fait d’être gradé sergent.
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05/05/2014, 09:06
(Modification du message : 05/05/2014, 09:08 par tholdur.)
J'ajoute, car j'avais oublié de le préciser, que le fait d'être appelé "Martin" ou "Doc" découle directement de la guerre de 14/18. De même lui appelle les gens par leur nom (comme à l'armée) et pas leur prénom. Il met un "monsieur" devant s'il ne connaît pas bien la personne.
Dupré, qu'il connaît bien et qui a apprivoisé son caractère bougon, il le surnomme affectueusement "le bleu". Dupré n'aime pas trop mais malgré ses tentatives n'a jamais pu infléchir Martin à l'appeller Dupré ou même Augustin. Je laisse à Zoki la possibilité que Dupré donne à son tour un surnom mi-affectueux mi-goguenard à mon personnage s'il le juge utile.
Pour ce qui est des dames et des demoiselles, il donne toujours du "Madame X" ou "Mademoiselle Y", même s'il connaît bien la personne en question. Comme il chaperonne (de loin) Mlle Lantagnac, il s'est mis dans la tête que Dupré était un beau parti pour elle et a commencé dans ses correspondances à lui parler d'un jeune homme "bien sous tout rapport", tandis qu'il a soufflé mot à son ami d'une demoiselle de sa connaissance fort avenante et férue de mystère comme lui.
nb: j'espère que c'est possible avec les spoilers dédiés aux personnages de zoki et Caïthness
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05/05/2014, 12:39
(Modification du message : 05/05/2014, 12:43 par Lyzi Shadow.)
@Caïthness
Sauf qu'il a pu avoir eu sa fille à 19 ans, et être appelé et faire son service à 20 ans (donc de 1901 à 1903).
De plus, il n'était pas appelé en 1914, mais engagé volontaire. Donc pas de limite à 40 ans.
Entre la fin de son service (1903) et le début de la guerre (1914) s'il a entre 22 et 33 ans il est toujours en réserve de l'active. Il a toujours des obligations militaires, et s'il était brillant pendant son service, ça lui donne largement le temps de passer caporal.
Deux ans de guerre, ça, ça lui permet de passer simple sergent d'ici 1916. Ça n'a rien de délirant.
En plus, à l'époque, il pouvait carrément sortir sergent de son service militaire, s'il était appelé dans un peloton d'élèves sous-officiers.
Mais admettons qu'il avait 30 ans quand Primerose est née, en 1900. (Donc service fait en 1890-1892).
Quand il s'engage volontairement en 1914, il n'a que 44 ans. C'est un jeune par rapport aux vétérans de 1870 qui sont aussi engagés volontaires.
Le fait que Lantagnac soit 1)sergent et 2)engagé volontaire est quand même dans le premier spoiler qui t'est destiné, donc il a primauté sur l'histo que tu as fait après de toute façon.
Mr. Shadow
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05/05/2014, 12:54
(Modification du message : 05/05/2014, 13:04 par Caïthness.)
ok, ok. Moi pas connaître histoire en détail (chui plus physique quantique )
question : entre 1903 et 1914, il retourne à la vie civile, c'est bon ça ? J'en ai besoin pour le BG
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