19/03/2012, 07:04
(18/03/2012, 21:05)tholdur a écrit : Comme Oorgan, il faudra surtout veiller à corriger l'orthographe, car pour le reste c'est plutôt pas mal.
Cependant, force est de constater que cela vient assez naturellement ; je me relis de moins en moins.
D'ailleurs, je ne suis même pas sûr d'avoir relu plus d'une fois ce paragraphe (admirez la transition !) :
Deux heures environ après que vous avez fait sonner la cloche, tous les guerriers sont sur les remparts, les uns s'apprêtant à déverser des roches et autres projectiles sur les Volylois à l'aide de balistes construites sur les remparts, les autres sur le point de tirer une volée de flèches sur leurs ennemis. Vous êtes de ces derniers, conformément aux ordres du lieutenant. À votre côté se trouve un coffre béant contenant une centaine de flèches apportées des terres ysuloises situées au Nord des Sifflemort - les arbres ne poussent guère de ces arides montagnes. Anxieux, vous guettez l'arrivée des premiers Volylois, près à réagir au premier ordre de lieutenant. Vos assaillants, actuellement cachés par un virage, n'auront guère qu'une cinquantaine de mètres à parcourir avant d'atteindre la base des murs de pierre. Soudain, un cri déchire l'air :
- Les voilà !
Simultanément, le lieutenant crie :
- Tirez !
Alors plusieurs centaines de flèches jaillissent de derrière les créneaux, et ainsi débute la bataille. Quelques secondes durant, elles semblent être suspendues en l'air, oiseaux de grâce, avant de piquer sur vos ennemis, oiseaux de mort. Certains Volylois lèvent leur bouclier pour se protéger de cette pluie meurtrière, mais le gros de l'armée étant composée de paysans pauvres qui ne peuvent s'offrir de telles protections, plusieurs rangs de soldats s'effondrent sous les traits acérés.
Pendant cela, vous avez chacun encoché une nouvelle flèche, près à envoyer une autre salve au commandement du lieutenant. Celui-ci ne tarde d'ailleurs guère :
- Tirez !
Une seconde volée de flèche s'élève dans cieux, avant de s'abattre dans un sifflement fatal sur les Volylois. À nouveau des lignes sont fauchés, tel le blé à l'époque des moissons ; à nouveau vous bandez votre arc ; à nouveau le lieutenant hurle :
- Tirez !
Et c'est le dernier ordre qui doit retentir de ce côté-là du fort : l'officier vient en effet de s'écrouler, la gorge percée par une flèche. Alors tout devient un sanglant chaos de cris et gémissements. Malgré la mort de leur supérieur, les soldats tirent comme un seul homme sur les Volylois. Plusieurs d'entre eux tombent sans se relever ; mais les survivants atteignent les murailles et commencent à les prendre d'assaut, à l'aide de longues échelles, tandis que d'autres des leurs décochent des flèches sur les remparts. Bien que la plupart n'atteignent pas leur but, un certain nombre fait tout de même mouche ; votre voisin de droite s'écroule, sans pouvoir se relever. Vous-même manquez de peu d'être transpercé par un trait, qui ne passe qu'à un pouce de votre tête.
Parallèlement, les hommes montant aux échelles sont en passe d'atteindre les créneaux. Vous inclinez donc votre arc de façon à avoir ceux qui grimpent en dessous de vous dans votre ligne de mire et vous tirez. En entendant le claquement sec d'une corde se détendant, le premier - tout proche de vous - lève la tête et ouvre la bouche pour hurler en voyant la Mort fondre sur lui. Puis il tombe, crachant des gerbes de sang et entraînant l'un de ses camarades dans sa chute. Satisfait, vous rebandez néanmoins votre arc, pointant cette fois la flèche vers un troisième soldat, qui monte avec célérité les barreaux de l'échelle. Lancez deux dés et comparez le résultat avec votre Habileté. S'il est inférieur ou égal, rendez-vous au 2. S'il est supérieur, rendez-vous au 3.
- Les voilà !
Simultanément, le lieutenant crie :
- Tirez !
Alors plusieurs centaines de flèches jaillissent de derrière les créneaux, et ainsi débute la bataille. Quelques secondes durant, elles semblent être suspendues en l'air, oiseaux de grâce, avant de piquer sur vos ennemis, oiseaux de mort. Certains Volylois lèvent leur bouclier pour se protéger de cette pluie meurtrière, mais le gros de l'armée étant composée de paysans pauvres qui ne peuvent s'offrir de telles protections, plusieurs rangs de soldats s'effondrent sous les traits acérés.
Pendant cela, vous avez chacun encoché une nouvelle flèche, près à envoyer une autre salve au commandement du lieutenant. Celui-ci ne tarde d'ailleurs guère :
- Tirez !
Une seconde volée de flèche s'élève dans cieux, avant de s'abattre dans un sifflement fatal sur les Volylois. À nouveau des lignes sont fauchés, tel le blé à l'époque des moissons ; à nouveau vous bandez votre arc ; à nouveau le lieutenant hurle :
- Tirez !
Et c'est le dernier ordre qui doit retentir de ce côté-là du fort : l'officier vient en effet de s'écrouler, la gorge percée par une flèche. Alors tout devient un sanglant chaos de cris et gémissements. Malgré la mort de leur supérieur, les soldats tirent comme un seul homme sur les Volylois. Plusieurs d'entre eux tombent sans se relever ; mais les survivants atteignent les murailles et commencent à les prendre d'assaut, à l'aide de longues échelles, tandis que d'autres des leurs décochent des flèches sur les remparts. Bien que la plupart n'atteignent pas leur but, un certain nombre fait tout de même mouche ; votre voisin de droite s'écroule, sans pouvoir se relever. Vous-même manquez de peu d'être transpercé par un trait, qui ne passe qu'à un pouce de votre tête.
Parallèlement, les hommes montant aux échelles sont en passe d'atteindre les créneaux. Vous inclinez donc votre arc de façon à avoir ceux qui grimpent en dessous de vous dans votre ligne de mire et vous tirez. En entendant le claquement sec d'une corde se détendant, le premier - tout proche de vous - lève la tête et ouvre la bouche pour hurler en voyant la Mort fondre sur lui. Puis il tombe, crachant des gerbes de sang et entraînant l'un de ses camarades dans sa chute. Satisfait, vous rebandez néanmoins votre arc, pointant cette fois la flèche vers un troisième soldat, qui monte avec célérité les barreaux de l'échelle. Lancez deux dés et comparez le résultat avec votre Habileté. S'il est inférieur ou égal, rendez-vous au 2. S'il est supérieur, rendez-vous au 3.