les chemins de la vengeance (titipolo)
#1
Pour ceux qui ont lu, vous pouvez poster dans ce topic si vous le souhaitez.
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#2
Le système de combat est étrange, penser à un chiffre et lancer un dé je trouve ça un peu lourd.

Je n'ai lu que quelques paragraphes et il y a des fautes d'orthographes et des phrases bancales. Quelques passages me paraissent bizarre dans le sesn ou cela casse l'ambiance comme le coup des ouvriers faisant des travaux dans une geôle ??? Cela ne fait pas crédible par rapport à l'univers.

Et dés le début on se retrouve avec des choix pénibles du style droite-gauche...

Au 260 j'aurais plutôt dit : baisser ou lever. Car tirer un levier ???
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#3
(14/10/2015, 20:51)Albatur a écrit : Le système de combat est étrange, penser à un chiffre et lancer un dé je trouve ça un peu lourd.

Je n'ai lu que quelques paragraphes et il y a des fautes d'orthographes et des phrases bancales. Quelques passages me paraissent bizarre dans le sesn ou cela casse l'ambiance comme le coup des ouvriers faisant des travaux dans une geôle ??? Cela ne fait pas crédible par rapport à l'univers.

Et dés le début on se retrouve avec des choix pénibles du style droite-gauche...

Au 260 j'aurais plutôt dit : baisser ou lever. Car tirer un levier ???

Sur le système de combat, je le trouve bien plus original que l'habituel 'habileté" et "endurance" des df. Cela reste un minima dangereux tout en laissant de la fluidité dans l'exploration.

Sur les fautes et les phrases bancales, je ne suis pas surpris. je n'ai pas trouvé de relecteur et ca risque de poser un sacré soucis d'immersion. Sinon je ne vois aps en quoi le fait que des ouvriers fassent des travaux dans une geôle est incohérent mais bon, c'est un avis que je respecte.

Les droite-gauche n'apparaissent que dans la première partie du livre et ne durent pas très longtemps. Cela dit, le personnage se retrouve dans un endroit totalement inconnu où il est déboussolé d'où ce choix droite-gauche. Par la suite, cela change.

Sinon le levier n'est pas sur un mur mais implanté verticalement dans le sol d'où la proposition de tirer ou pousser. Mais ce n'était peut-être pas très clair.

En tout cas, merci pour ce premier retour.
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#4
Rien que le terme ouvrier je trouve que ça fait trop moderne. Peut être qu'avec "artisans" ou en citant un métier genre ébéniste ou autre ça sonnerait mieux.

Le texte n'est pas clair, rien n'indique qu'il est au sol (§279) :

Vous actionnez les quatre vannes à plusieurs reprises mais rien ne se produit. Vous apercevez à ce moment-là un immense levier sur le côté. Vous tentez de l’actionner mais à nouveau, rien ne se passe. Vous ne pourrez pas utiliser ces vannes. Si vous possédez une masse et que vous désirez l’utiliser, rendez-vous au 260. Dans le cas contraire, vous n’avez plus qu’à passer par la grille au 209
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#5
Pour ce qui est des retours, je pense que mettre le lien de l'AVH dans le premier message serait une bonne première étape Big Grin
La violence n'est pas la bonne réponse !
La violence est la question. La bonne réponse est "oui".
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#6
Je ne sais pas si c'est "loin" dans le livre mais là on à encore un bel exemple de choix pifométrique sans grande indication :

Seules les bâtisses peuvent constituer un refuge. Vous pouvez retourner dans celles où vous êtes déjà allé.
Si vous choisissez la première, rendez-vous au 41
Si vous choisissez la seconde, rendez-vous au 322
Si vous choisissez la troisième, rendez-vous au 215

Voilà 3 bâtiments dont on ne sait ni la distance à parcourir (important pourtant si on est sous le feu nourri des orques) ni rien. Est ce que ce sont des tours ? de simples baraquements, autres...
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#7
Si tu as cherché à passer la barrière sans avoir exploré au préalable les bâtisses, tu ne peux pas savoir ce qu'il se trouve à l’intérieur, c'est logique.

Montrer le contenu

Par contre, je retiens ton idée pour la distance.

Akka: sur litteraction, je l'avais annoncé dans l’avancement des projets. Mais personne n'est obligé de la lire car:

L'avh ne participera pas au yaz 2015. En effet, n'ayant pas eu de relecteur, l'avh n'est tout simplement pas lisible. Certains la considéreront comme à l'état de brouillon. Et puis quand on voit les prmiers commentaires d'Albatur, je laisse tomber.
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#8
Non je suis tombé dessus par hasard comme ça en feuilletant. J'ai pas fait l'AVH, j'ai juste débuté et arrêté avec la masse et le levier.
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#9
(15/10/2015, 19:37)titipolo a écrit : Akka: sur litteraction, je l'avais annoncé dans l’avancement des projets. Mais personne n'est obligé de la lire car:

L'avh ne participera pas au yaz 2015. En effet, n'ayant pas eu de relecteur, l'avh n'est tout simplement pas lisible. Certains la considéreront comme à l'état de brouillon. Et puis quand on voit les prmiers commentaires d'Albatur, je laisse tomber.

Ça n'a rien à voir avec une "obligation" quelconque de la lire :p
C'est juste qu'il s'agit d'un sujet sur une AVH, donc avoir l'AVH accessible dans le premier message est beaucoup plus pratique que de devoir fouiller un autre sujet pour trouver caché au fin fond de celui-ci le lien en question (ou de devoir aller sur un autre site et rechercher l'auteur et l'ouvrage). Simple question de commodité et de thème Big Grin

Également, même si les critiques peuvent donner un coup au moral, c'est bête de baisser les bras en les voyant. Ce qu'il y a de bien dans les critiques libres, ça veut dire que c'est une possibilité de s'améliorer en voyant ce qui ne va pas, et qu'à côté de ça quand quelqu'un fait un compliment, ça veut dire qu'il le pense et pas qu'il est juste poli. Vois ça comme une chance !
Nous ne sommes pas égaux devant la qualité d'écriture - je n'arriverais probablement jamais à avoir la fluidité et le naturel du style de Fitz par exemple - mais ce n'est pas une raison pour se dire qu'on a rien à dire ou à faire. Si c'était le cas, on aurait juste une AVH par an et tous les autres qui auraient abandonnés en route en se disant "il fait mieux que moi, beuh, j'abandonne". Heureusement que ce n'est pas le cas et qu'on a en a plein à lire Big Grin

Enfin, les relectures, tu peux toujours en faire certaines par toi-même, et demander un coup de main à d'autres pour les faire, ça peut prendre du temps mais c'est pas une impossibilité.
La violence n'est pas la bonne réponse !
La violence est la question. La bonne réponse est "oui".
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#10
(15/10/2015, 23:15)Akka a écrit :
(15/10/2015, 19:37)titipolo a écrit : Akka: sur litteraction, je l'avais annoncé dans l’avancement des projets. Mais personne n'est obligé de la lire car:

L'avh ne participera pas au yaz 2015. En effet, n'ayant pas eu de relecteur, l'avh n'est tout simplement pas lisible. Certains la considéreront comme à l'état de brouillon. Et puis quand on voit les prmiers commentaires d'Albatur, je laisse tomber.

Ça n'a rien à voir avec une "obligation" quelconque de la lire :p
C'est juste qu'il s'agit d'un sujet sur une AVH, donc avoir l'AVH accessible dans le premier message est beaucoup plus pratique que de devoir fouiller un autre sujet pour trouver caché au fin fond de celui-ci le lien en question (ou de devoir aller sur un autre site et rechercher l'auteur et l'ouvrage). Simple question de commodité et de thème Big Grin

Également, même si les critiques peuvent donner un coup au moral, c'est bête de baisser les bras en les voyant. Ce qu'il y a de bien dans les critiques libres, ça veut dire que c'est une possibilité de s'améliorer en voyant ce qui ne va pas, et qu'à côté de ça quand quelqu'un fait un compliment, ça veut dire qu'il le pense et pas qu'il est juste poli. Vois ça comme une chance !
Nous ne sommes pas égaux devant la qualité d'écriture - je n'arriverais probablement jamais à avoir la fluidité et le naturel du style de Fitz par exemple - mais ce n'est pas une raison pour se dire qu'on a rien à dire ou à faire. Si c'était le cas, on aurait juste une AVH par an et tous les autres qui auraient abandonnés en route en se disant "il fait mieux que moi, beuh, j'abandonne". Heureusement que ce n'est pas le cas et qu'on a en a plein à lire Big Grin

Enfin, les relectures, tu peux toujours en faire certaines par toi-même, et demander un coup de main à d'autres pour les faire, ça peut prendre du temps mais c'est pas une impossibilité.

Ce n'est pas une histoire d'inégalité devant l'écriture et ce n'est pas cela qui me gêne. ce qui me dérange, c'est la lisibilité de mon avh. Étant donné qu'il n'ya pas eu de relecture, je me vois mal encourager des gens à la lire. Je n'ai pas attendu les critiques d'Albatur pour savoir que c'est nul. J'ai d'ailleurs même hésité à la poster sur litteraction en me demandant si ca valait la peine. Pour avoir un style lisible, il aurait fallu travailler et retravailler chaque phrase autant dire y passer plusieurs mois. Ce n'est pas mon objectif. je préfère faire une avh sans trop prise de tête et j'assume mon choix. Mais je sais trés bien que je suis loin de l'attente des lecteurs et que beaucoup décrocheront dés les premiers paragraphes s'ils la lisent. Mais bon, j'assume mon choix. Pas question que je me prenne la tête. je ne suis pas motivé pour me remettre dessus.
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#11
Le point fort de l'Elue des Sphères, à mon sens, était le système de jeu digne d'un jeu de rôle accéléré permettant de choisir entre guerrier, voleur, clerc ou magicien et de faire évoluer le perso à coups de niveaux d'expérience. De voir que cela n'était pas proposé dans cette suite m'a surpris. Mais finalement, les Chemins de la Vengeance n'a rien à rougir de son prédécesseur. En fait, j'ai même un peu préféré cette aventure au premier épisode.

On voit une réelle volonté de produire quelque chose d'original, de différent. Cette fois, c'est par le scénario. Dès le départ, on joue un nécromancien, le méchant du tome 1. C'est indéniablement surprenant. En plus, nous sommes en prison et sans nos pouvoirs.
Toujours dans l'optique d'un scénario pas comme les autres, l'aventure subit un twist en son milieu qui nous voit endosser le rôle d'un autre personnage, sans transition. Cela me rappelle avec nostalgie une très vieille AVH du regretté Meneldur qui avait utilisé ce même procédé. Ceci dit, c'était quelque chose déjà aperçu dans le tome 1 de la Trilogie du Nécromancien mais ici c'est plus violent et déstabilisant car dans l'Elue des  Sphères, la personnage interprétée faisait au moins partie de la même équipe.

Du fait de la disparition des règles de niveaux expliqués en préambule, l'aspect ludique est un chouilla moins intéressant. Mais seulement un peu car des aspects ont été améliorés.
La difficulté en premier lieu, ici plus raisonnable. Je ne qualifierais pas l'AVH de facile, il m'a fallu 4 tentatives pour la réussir et encore, j'ai triché au combat final car les dés n'avaient pas été avec moi (et pourtant j'avais accumulé pas mal de codes utiles pour contrer leur magie). Disons que le jeu est cette fois équilibré. Comme l'aventure est linéaire (même si chaque sous-partie laisse beaucoup de liberté) avec de nombreux points convergents de l'histoire et des suites de longs paragraphes sans choix un peu agaçants, il ne fallait surtout pas plus difficile.
Autres qualités ludiques : la magie qui donne quelques possibilités tactiques intéressantes, le grand nombre d'actions possibles dans chaque sous-partie et le système de combat, toujours aussi fluide et pratique à défaut d'être réaliste.

Mais cet affaiblissement de l'aspect jeu est largement compensé par une histoire plus originale, un style un peu mieux maîtrisé ainsi qu'une atmosphère plus prenante à certains endroits. Cela vient du fait que l'on visite moins de lieux mais que ceux-ci sont plus fouillés. La prison du départ par exemple, surprenante par le nombre de paragraphes qu'elle prend et le temps qu'il faut pour s'en évader. Ou encore le temple interdit des "gens du désert" où je me suis particulièrement bien représenté la statue du serpent géant susceptible de s'animer ainsi que les mécanisme avec les quatre autres statuettes de serpent à faire pivoter. Ces lieux un peu déserts et sacrés m'ont fait penser à la cité enfouie de Zaaryx dans la Métropole de la Peur.

Par contre, ce qui m'a empêché de m'immerger complètement dans l'histoire, d'y croire vraiment et de m'attacher aux différents personnages, c'est le même problème que dans le  premier tome : la cohérence et la vraisemblance.
Le ton général est très sérieux. On nous explique largement tous les détails à propos des sphères, de leur origine. On nous décrit la psyché du nécromancien, ses motivations, son passé. Donc le but général est de donner un aspect réaliste à cette histoire de fantasy. Mais où ça capote (toujours de mon point de vue), c'est par une multitude de détails qui cassent ce désir de donner un aspect mâture au récit.
Exemples en vrac et non exhaustifs : la wiverne parlante qui attendait notre retour depuis des plombes comme un chien fidèle, le sanglier géant que l'on peut chevaucher, les anciens potes du Conseil qui ne se souviennent plus de nous et qui sont devenus très très méchants... pourquoi? parce que, le rebondissement final avec cette histoire alambiquée de schizophrénie dont je n'ai pas compris si elle était concrète avec un double corps ou seulement psychologique...
Ce sont des apports à l'histoire qui peuvent être intéressants, amusants ou tout au moins originaux. Mais ça tranche beaucoup avec le reste et ne m'a pas toujours paru cohérent. D'où la difficulté à croire en cet univers, à en comprendre les lignes directrices. Tout y semble possible jusqu'à la démesure et ça ne m'aide pas à m'y immerger.

Dans la liste des points originaux, j'allais oublier, la grande liberté de mouvement à l'intérieur des lieux à explorer. C'est un peu la marque de fabrique de titipolo. On peut souvent revenir sur ses pas, arpenter des couloirs ou des salles dans l'ordre de notre choix. Je ne suis pas grand fan de ces énigmes mécaniques avec des leviers ou des statues à bouger dans un ordre précis, après avoir tiré telle manivelle, etc... Comme dans les AVH Chronologie. Mais ça a un aspect un peu jeu vidéo bien sympa et on visualise très bien les lieux car les descriptions ne sont pas sommaires.
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#12
Coucou, comme tu as fait l'effort de lire l'avh, je vais essayer de répondre point par point.

Ce qui est drôle en premier lieu est que je suis quasiment tout à fait d'accord avec ton analyse.

Cette fois, j'ai misé sur un scénario plus original (encore que j'avais déjà l'idée du final avant même avoir achevé le premier tome). Sur le système de jeu, c'est effectivement moins intéressant que le système de classes mais cela n'aurait pas été crédible qu'un nécromancien joue une autre classe que celle du magicien. J'ai donc préféré mettre en avant la magie.
Par contre, cela m'a permis de mieux doser la difficulté. je pense que tu as manqué de chance aux dés car j'ai refait moi-même l'aventure et j'ai réussi à gagner le combat final en considérant n'avoir aucun mot code. Et sur le système de combat, j'ai définitivement rompu avec le système classique "habileté" et "endurance" pour opter pour un système rapide et fluide.

Sinon je ne connais pas la métropole de la peur ni même l'avh que tu mentionnes.

Pour la fin, je m'attendais à cette critique car c'est quelque chose que j'ai choisi délibérément de ne pas expliciter. En fait cela n'aurait pas été crédible qu'Emeline révèle le problème de Roan, le psychanalyse de Freud n'existant pas dans mon monde (pour l'anecdote j'ai fait aussi des études de psycho où j'ai obtenu une licence avant de choisir finalement la compta). Mais voici en fait l'explication

Montrer le contenu

Un point qui m'interroge: tu parles de la longueur de la prison ce qui est d’ailleurs normal, on ne s'évade pas facilement. Par contre, il existe un chemin beaucoup plus court qui t'amènes directement à la sortie avec des vannes à manipuler. Par contre, cela n'est faisable que si un prisonnier t'accompagne et t'explique l'objectif à atteindre. Il faut tester les vannes avant de choisir la combinaison.

Sur un point où je ne suis pas totalement d'accord, c'est sur la linéarité. Sur la trame globale, c'est vrai mais dans plusieurs endroits, il existe des embranchements en T (dans la prison, il y a deux chemins différents pour en sortie, tu as ensuite le choix entre partir pour la foret enchantée ou l'avant poste abandonné ou encore le choix entre jouer Emeline ou Roan dans la dernière cité
Au final je m'attendais à un feed beaucoup plus sévère. il faut dire que j'ai même hésité à poster l'avh sur litteraction me disant si cela en valait vraiment la peine. En tout cas merci pour ce retour.
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#13
Fitz te dit pas que c'est complétement linéaire , je cite "chaque sous-partie laisse beaucoup de liberté".
C'est juste que tu n'as pas (par exemple) de chemin divergeant de A à Z qui ne croiserait l'autre chemin possible seulement à la fin de l'avh. Je sais que c'est dur à faire (je l'avait fait dans mon AVH la Légende de Toram) et que cela peut générer des incohérences ou des oublis d'utilités d'objets.

Et tu vois ? Fitz a bien aimé ton AVH alors que t'allais presque la jeter aux orties... Wink
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#14
D'autant plus qu'il en fait la pub sur Facebook..
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#15
(31/10/2015, 19:32)titipolo a écrit : je ne connais pas (…) l'avh que tu mentionnes.
Sur les routes du Yanavis
" Ashimbabbar m'a donné une dague et une épée et m'a dit
: Transperces-en ton corps; elles furent forgées pour toi."
Poème d'Enheduanna
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