10/10/2015, 10:05
Une AVH pas mauvaise en soi mais qui ne me laissera qu'un très faible souvenir, je le sens. De par sa taille réduite déjà (50 paragraphes), sa faible durée de vie et son scénario quelconque.
Je ne sais pas si j'étais dans un mauvais jour quand j'ai lu l'introduction mais elle m'a paru tellement absurde qu'après l'avoir finie, j'ai renoncé à continuer et attendu une semaine avant de m'attaquer à l'aventure en elle-même. On est le héros vainqueur du Labyrinthe de la Mort et comme on s'emmerde, on cherche n'importe quel prétexte pour se faire tuer tuer le temps en se lançant dans une mission dangereuse. Juste pour la gloire et pour se dérouiller l'épée vu qu'on est pété de tunes après la récompense de Sukumvit.
On trouve notre Graal à Port-de-Sable-Noir en la présence d'un gugusse qui nous parle d'un cimetère maudit perdu dans un patelin à 200 bornes de là où se trouverait une arme fabuleuse et maléfique. La légende dit que son ancien propriétaire était un guerrier quasi invincible mais que le roi nain Gillibran de Pont-de-Pierre a fini par le vaincre.
Alors moi j'ai du mal à m'imaginer le chef des nains de ce patelin paumé de Pont-de-Pierre avec 12 en Habileté même avec son marteau. D'ailleurs, nous-même pourrions commencer avec une Habileté de 11 ou 12 pour conserver la cohérence avec le Labyrinthe de la Mort si l'on y a survécu mais non, on peut commencer ici à 7.
J'arrête là avec cette introduction mais elle m'a donné la désagréable impression de n'être qu'un fourre-tout à multiples références aux autres DF juste pour satisfaire les nostalgiques et passionnés de la série, sans aucune cohérence. Au moins, dans La Main du Destin, les clins d'oeil étaient justifiés.
L'aventure en elle-même est banale. Tout se passe dans un cimetière mais l'atmosphère n'a rien de particulier, on commence par un choix gauche-droite ou presque. Assez peu de combats pour un DF et très peu de choix tactiques, les combats surviennent au terme d'un long paragraphe sans choix. Quelques rencontres sympathiques mais sans plus. La fin survient très rapidement. En plus l'aventure est facile, je l'ai terminée au deuxième coup alors qu'il me manquait un moyen de vaincre le premier big boss au premier essai.
Dans les points positifs, j'ai trouvé le style plutôt agréable et assez original parfois, dans sa façon de relater les événements, différent du style morne, laconique ou clinique que l'on retrouve dans nombreux DF. Avec un scénario plus solide et original, la plume aurait suffi à créer une ambiance remarquable.
J'ai bien aimé également la toute fin avec le choix cornélien. C'est bien amené tout au long de l'aventure avec ces personnages qui nous parlent de la faux et les deux paragraphes de fin sont plaisants à lire.
Je ne sais pas si j'étais dans un mauvais jour quand j'ai lu l'introduction mais elle m'a paru tellement absurde qu'après l'avoir finie, j'ai renoncé à continuer et attendu une semaine avant de m'attaquer à l'aventure en elle-même. On est le héros vainqueur du Labyrinthe de la Mort et comme on s'emmerde, on cherche n'importe quel prétexte pour se faire tuer tuer le temps en se lançant dans une mission dangereuse. Juste pour la gloire et pour se dérouiller l'épée vu qu'on est pété de tunes après la récompense de Sukumvit.
On trouve notre Graal à Port-de-Sable-Noir en la présence d'un gugusse qui nous parle d'un cimetère maudit perdu dans un patelin à 200 bornes de là où se trouverait une arme fabuleuse et maléfique. La légende dit que son ancien propriétaire était un guerrier quasi invincible mais que le roi nain Gillibran de Pont-de-Pierre a fini par le vaincre.
Alors moi j'ai du mal à m'imaginer le chef des nains de ce patelin paumé de Pont-de-Pierre avec 12 en Habileté même avec son marteau. D'ailleurs, nous-même pourrions commencer avec une Habileté de 11 ou 12 pour conserver la cohérence avec le Labyrinthe de la Mort si l'on y a survécu mais non, on peut commencer ici à 7.
J'arrête là avec cette introduction mais elle m'a donné la désagréable impression de n'être qu'un fourre-tout à multiples références aux autres DF juste pour satisfaire les nostalgiques et passionnés de la série, sans aucune cohérence. Au moins, dans La Main du Destin, les clins d'oeil étaient justifiés.
L'aventure en elle-même est banale. Tout se passe dans un cimetière mais l'atmosphère n'a rien de particulier, on commence par un choix gauche-droite ou presque. Assez peu de combats pour un DF et très peu de choix tactiques, les combats surviennent au terme d'un long paragraphe sans choix. Quelques rencontres sympathiques mais sans plus. La fin survient très rapidement. En plus l'aventure est facile, je l'ai terminée au deuxième coup alors qu'il me manquait un moyen de vaincre le premier big boss au premier essai.
Dans les points positifs, j'ai trouvé le style plutôt agréable et assez original parfois, dans sa façon de relater les événements, différent du style morne, laconique ou clinique que l'on retrouve dans nombreux DF. Avec un scénario plus solide et original, la plume aurait suffi à créer une ambiance remarquable.
J'ai bien aimé également la toute fin avec le choix cornélien. C'est bien amené tout au long de l'aventure avec ces personnages qui nous parlent de la faux et les deux paragraphes de fin sont plaisants à lire.