30/05/2012, 14:30
Voilou,
J'ai acheté et terminé le jeu il n'y a pas longtemps ; je me suis dépêché pour la sortie de Diablo 3 !
Le jeu reprend quelques années après la fin de Brotherhood. Ezio a maintenant 50 ans, il est vieux et fatigué, mais continue sa quête à Constantinople. Je ne dirai pas grand-chose de l'histoire qui ne m'a pas tant marqué. Le jeu est vraiment dans la continuité que Brotherhood, même si les ajouts facilitent grandement le tout.
Le premier point est l'ajout d'un crochet, que la guilde de Constantinople offre à Ezio. Ce crochet permet de s'accrocher à des tyroliennes ou d'améliorer ses capacités en parkour. Elle a aussi une utilité en combat, bien que je ne l'utilise jamais.
Le second ajout est la fabrication de bombes. A partir d'ingrédients que l'on trouve en disposition pléthorique, Ezio peut fabriquer des bombes létales ou tactiques, que le joueur pourra "customiser" pour en changer les effets. Les bombes que j'utilise sont essentiellement pour détruire des brigades entières de gardes ou faire un écran de fumer.
Enfin la troisième modification est la gestion des assassins. Il faudra les envoyer régulièrement en misson pour garder l'influence des assassins dans toute l'Europe. Les Assassins pourront être assignés à des quartiers pour débloquer des quêtes particulières, rendant l'histoire un poil intéressante quant à l'influence d'Ezio en tant que mentor.
Côté dynamisme, il faut donc régulièrement surveiller l'influence des assassins en Europe mais aussi la méfiance des templiers qui augmentent au fur et à mesure des combats mais également des achats des échoppes. De ce fait le moindre achat conduira à la recherche des crieurs publics qu'il faudra soudoyer ou l'assassinat de dignitaire pour baisser la méfiance (logique ). Cela entrecoupe donc les missions qui se succèdent d'un aspect un peu répétitif.
Le jeu se veut donc plus épique notamment lors de mini-phases ressemblant à des mini-jeux (les fameuses course poursuite en calèche, une chute dans une cascade etc.) ou d'attaques des templiers contres les QG assassins, qui prend inspiraton de tower defense.
Côté "présent", je ne spoilerai rien au sujet de Desmond. L'animus propose un mini-jeu de réflexion en cinq étapes et en FPS, qui ne peut que faire penser à Portal, sans le côté complètement déjanté et mindfuck.
Au final, le jeu est la digne continuation du 2, encore plus facile, encore plus épique, encore plus sensationnel, bref encore plus casuel.
Assassin's Creed 3 (le cinquième volet) mettra en avant Connor et se situera au 18ème siècle dans les Etats-Unis.
J'ai acheté et terminé le jeu il n'y a pas longtemps ; je me suis dépêché pour la sortie de Diablo 3 !
Le jeu reprend quelques années après la fin de Brotherhood. Ezio a maintenant 50 ans, il est vieux et fatigué, mais continue sa quête à Constantinople. Je ne dirai pas grand-chose de l'histoire qui ne m'a pas tant marqué. Le jeu est vraiment dans la continuité que Brotherhood, même si les ajouts facilitent grandement le tout.
Le premier point est l'ajout d'un crochet, que la guilde de Constantinople offre à Ezio. Ce crochet permet de s'accrocher à des tyroliennes ou d'améliorer ses capacités en parkour. Elle a aussi une utilité en combat, bien que je ne l'utilise jamais.
Le second ajout est la fabrication de bombes. A partir d'ingrédients que l'on trouve en disposition pléthorique, Ezio peut fabriquer des bombes létales ou tactiques, que le joueur pourra "customiser" pour en changer les effets. Les bombes que j'utilise sont essentiellement pour détruire des brigades entières de gardes ou faire un écran de fumer.
Enfin la troisième modification est la gestion des assassins. Il faudra les envoyer régulièrement en misson pour garder l'influence des assassins dans toute l'Europe. Les Assassins pourront être assignés à des quartiers pour débloquer des quêtes particulières, rendant l'histoire un poil intéressante quant à l'influence d'Ezio en tant que mentor.
Côté dynamisme, il faut donc régulièrement surveiller l'influence des assassins en Europe mais aussi la méfiance des templiers qui augmentent au fur et à mesure des combats mais également des achats des échoppes. De ce fait le moindre achat conduira à la recherche des crieurs publics qu'il faudra soudoyer ou l'assassinat de dignitaire pour baisser la méfiance (logique ). Cela entrecoupe donc les missions qui se succèdent d'un aspect un peu répétitif.
Le jeu se veut donc plus épique notamment lors de mini-phases ressemblant à des mini-jeux (les fameuses course poursuite en calèche, une chute dans une cascade etc.) ou d'attaques des templiers contres les QG assassins, qui prend inspiraton de tower defense.
Côté "présent", je ne spoilerai rien au sujet de Desmond. L'animus propose un mini-jeu de réflexion en cinq étapes et en FPS, qui ne peut que faire penser à Portal, sans le côté complètement déjanté et mindfuck.
Au final, le jeu est la digne continuation du 2, encore plus facile, encore plus épique, encore plus sensationnel, bref encore plus casuel.
Assassin's Creed 3 (le cinquième volet) mettra en avant Connor et se situera au 18ème siècle dans les Etats-Unis.
Il ne faut pas attendre d'être heureux pour sourire... il faut sourire pour être heureux.