L'Épée de Légende S1E04 (Le Port des Assassins)
Les acolytes portent des armures légères et les coups que portent Sire Langevin et Saenad à leurs adversaires les blessent sérieusement.

Les deux autres acolytes se déplacent, l'un pour se rapprocher d'Aubin, l'autre pour prendre Saenad à revers. La situation est désormais comme suit :

XXXXXX
X_____
XA____
X3AAX_
X412X_
X__A__

Les deux acolytes blessés ripostent : Sire Langevin est légèrement blessé (2 points de dommage), Saenad un peu plus sérieusement (4 points de dommage).

(Non, on ne peut pas frapper ni se déplacer en diagonale.)
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Je réattaque le même acolyte :

6 + 2 = 8 donc je touche. 4 + 2 = 6 points de dommages !
Debout, debout cavaliers de Théoden!
Les lances seront secouées, les boucliers voleront en éclat,
Une journée de l'épée, une journée rouge avant que le soleil ne se lève !
Au galop ! au galop ! courez ! Courez à la ruine et à la fin du monde !
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(28/09/2011, 19:00)Aragorn a écrit : 6 + 2 = 8 donc je touche. 4 + 2 = 6 points de dommages !

Ca suffit à l'achever. Les acolytes, en dépit de scores de Force corrects, n'ont que 10 points d'Endurance.

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À mon tour d'essayer d'achever le mien.
2+5 = 7. (<9) touché.
2+5 (encore ?) = 7 de dégâts. Ça fait 14 de dégâts au total...

"Rejoins tes ancêtres !"
Mr. Shadow

Doux mon cœur, fermes mes intentions. -mantra Psi
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J’attaque celui à ma gauche. 4 + 4 = 8. Ben… raté.
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Votre opposition a nettement maigri, laissant la situation comme suit :

XXXXXX
X_____
XA____
X3__X_
X412X_
X__A__

Saenad esquive de justesse un coup d'épée vengeur, mais Aubin est moins chanceux : l'arme de son adversaire lui mord l'épaule, lui ôtant 5 points d'Endurance.
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Je me concentre toujours mais fait 8 aux dés : ce n'est pas pour cette fois.

Je lance les dés pour le 3ème round :
8 encore, ça passe.
Je visais celui qui affronte Aubin.

Dégâts : 11 + 3 = 14
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J'ai confiance que Saenad peut se débrouiller seul contre son adversaire, même s'il prend un premier coup dans le dos. Je vais donc avancer pour attaquer l'adversaire d'Aubin par le flanc. Ça lui apprendra, à cet acolyte, de s'attaquer à un pacifique sage.

Donc ça termine l'assaut pour moi, vu que si on se déplace, on n'attaque pas.
Mr. Shadow

Doux mon cœur, fermes mes intentions. -mantra Psi
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Comme il n'est techniquement pas possible que les deux acolytes restants soient éliminés avant d'avoir attaqué une fois de plus, je lance les dés pour leur troisième assaut sans attendre que Jehan et Aragorn m'indiquent les résultats qu'ils obtiennent.

La perte de leurs camarades semblent avoir exalté les acolytes : les blessures qu'ils infligent à Saenad et Aubin ôtent 5 points d'Endurance à chacun d'eux.

L'adversaire d'Aubin trépasse aussitôt après sous l'effet du sortilège de Fimmex.

La situation est désormais :

XXXXXX
X_____
X_1___
X3__X_
X4_2X_
X__A__
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Lol dommage pour moi ^^. C'est bon de se sentir inutile.
Mr. Shadow

Doux mon cœur, fermes mes intentions. -mantra Psi
Répondre
J'attaque donc deux fois l'adversaire restant et même trois avec la capacité de vivacité :

5 + 2 = 7 donc touché. 2 + 2 = 4 points de dommages.
4 + 4 = 8 donc touché. 5 + 2 = 7 points de dommages.

Bon pas besoin de recourir à la vivacité. Tongue
Debout, debout cavaliers de Théoden!
Les lances seront secouées, les boucliers voleront en éclat,
Une journée de l'épée, une journée rouge avant que le soleil ne se lève !
Au galop ! au galop ! courez ! Courez à la ruine et à la fin du monde !
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Au troisième assaut, je tente de mettre mon adversaire à terre.

5 + 4 + 6 = 15. Mouarf.

N’empêche, si j’avais réussi, j’évitais la blessure.

Au quatrième assaut, on va dire que je me déplace mais le dernier acolyte aura de toute façon déjà trépassé.
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Comme pour moi.
Ouais et j'ai été d'autant plus bête que le post de Fitz mettait clairement qu'il faisait 14 de dégâts. J'avais dû lire que la première ligne... Comme quoi, y a pas que les posts du MJ qu'il faut pas lire en diagonale...

Bon, résultat des courses, j'ai perdu 2 d'Endurance, Saenad 9 et Aubin 10. Un soin me semblerait approprié pour vous deux.
Mr. Shadow

Doux mon cœur, fermes mes intentions. -mantra Psi
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Pour nous trois, même. (Merci pour le détail.)

J’ai donc 10 points d’endurance.

J’engage 3 points, je suis à 7. Le dé me donne 5, soit 9 points.

J’en donne 2 au chevalier (soigné), 3 au voleur et j’en récupère 5. Je suis à 12.

J’engage 4 points, je suis à 8. Le dé me donne 2, soit aucun point.

J’engage 2 points, je suis à 6. Le dé me donne 1, soit aucun point.

J’engage 2 points, je suis à 4. Le dé me donne 3, soit 2 points. Je suis à 6.

J’engage 2 points, je suis à 4. Le dé me donne 5, soit 6 points. Je suis à 10.

J’engage 2 points, je suis à 8. Le dé me donne 3, soit 2 points. Je suis à 10.

J’engage 2 points, je suis à 8. Le dé me donne 6, soit 8 points.

J’en donne 4 au voleur et j’en récupère 4. Je suis à 12.

J’engage 4 points, je suis à 8. Le dé me donne 3, soit 4 points. Je suis à 12.

J’engage 4 points, je suis à 8. Le dé me donne 2, soit aucun point.

J’engage 3 points, je suis à 5. Le dé me donne 1, soit aucun point.

J’engage 2 points, je suis à 3. Le dé me donne 5, soit 6 points. Je suis à 9.

J’engage 3 points, je suis à 6. Le dé me donne 5, soit 9 points. Je suis à 15.

J’engage 5 points, je suis à 10. Le dé me donne 5, soit 15 points. Je suis à 20 (soigné) et je donne le reste au voleur (soigné).
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Une fois que le dernier acolyte a succombé, vous vous emparez de la pousse.

(Ses pouvoirs de guérison vous auraient fait récupérer 2 dés d'Endurance à chacun, ce qui aurait épargné un peu de mal à Aubin si j'avais posté plus tôt !)

Vous franchissez à présent l'arche qui mène au balcon. La bataille fait toujours rage, mais le djinn a visiblement le dessous. Le Grand Prêtre des Mages semble posséder une énergie magique inépuisable. Peut-être était-ce une erreur de l'attaquer sur son propre terrain, où ses sortilèges doivent être renforcés.

Puis vous remarquez qu'un réseau d'énergie frémissante relie les adeptes au Grand Prêtre qu'ils entourent. Le but de leur chant est de concentrer sur lui un flot de pouvoir constant. Si vous pouvez briser ce réseau, il sera possible de le vaincre...

(A ce stade, le livre fournit un plan de combat et les statistiques des adeptes... mais c'est totalement inutile puisque les adeptes, concentrés sur leur chant, ne peuvent pas riposter à vos coups. Je ne vais donc pas vous faire perdre du temps à jeter les dés pour les tailler en pièce.)

Une fois que vous avez tué trois des adeptes, les autres se mettent à paniquer. Le visage du Grand Prêtre est déformé par la colère et la peur, son pouvoir diminuant maintenant que le chant magique a cessé. "Ne brisez pas les rangs !" crie-t-il tandis qu'ils s'enfuient. "Vous me laissez exposé aux attaques de l'éfrit !"

Le djinn voit que la concentration de son adversaire est rompue. Levant les mains, il les frappe l'une contre l'autre avec une force titanesque. Un éclair fuse vers le Grand Prêtre, qui tente en vain de le dévier. La déflagration qui l'enveloppe est telle qu'elle vous projette à la renverse et qu'elle vous roussit les sourcils. Lorsque vous vous relevez, il ne reste plus du Grand Prêtre qu'un squelette noirci, qui ne tarde pas à se désagréger. Incroyablement, son bâton est intact. Vous pouvez le prendre si vous le souhaitez.

(C'est un objet que vous pouvez utiliser lors de n'importe quel combat, que cela vous soit proposé ou non.)

"Notre mission a été un succès total," dit le djinn en vous soulevant dans sa main. "Les Mages ne se relèveront pas de sitôt du coup que nous leur avons infligé aujourd'hui !"


Le djinn s'élève haut dans le ciel, choisissant de marcher sur les nuages jusqu'à l'île de Sahaknathur. "Ce voyage de retour est le dernier de vos souhaits," vous rappelle-t-il. "Une fois que vous aurez retrouvé l'abbé, j'ai l'intention de vous abandonner sur place."

Vous ne voyez pas l'utilité d'en débattre. Il vous faudra simplement trouver un autre moyen de rallier Hakbad. Après sept siècles de captivité, vous ne pouvez blâmer le djinn de vouloir échapper à la servitude aussi rapidement que possible.

Affaibli par la bataille, le djinn a besoin d'une journée entière pour regagner l'île. La paume de sa main n'est pas assez confortable pour que vous puissiez y dormir vraiment et vous arrivez tout à fait épuisés.


Vous découvrez l'abbé à l'intérieur, ronflant devant le foyer. Vous déposez la pousse à côté de lui avant de le réveiller. C'est la première chose qu'il voit en ouvrant les yeux.

Vous lui souriez. "Est-ce la pousse que vous désiriez, messire abbé ?"

Il se frotte les yeux avec incrédulité et, pendant un instant, sa bouche est incapable d'articuler un mot. Enfin, il bondit sur ses pieds avec un cri de joie pure. "Suis-je encore endormi ? Le malin a-t-il envoyé un rêve pour me tourmenter ? Mais non, c'est bien la pousse ! Je peux sentir ses branches sous mes doigts, respirer le parfum de ses feuilles et de ses bourgeons... Il faut que je me pince pour être absolument sûr... aïe ! Aucun vin ne pourrait être aussi délicieux que cette douleur, car elle me dit que je suis éveillé."

Il se tourne et vous embrasse. "Même si je pouvais vous remercier comme vous le méritez, ce ne serait qu'une fraction infime de la dette que l'humanité toute entière a désormais à votre égard !"

Vous vous étirez paresseusement et allez vous étendre sur le sol. Vous échangeriez volontiers cette dette contre une bonne période de sommeil.

"Il en est peut-être ainsi," dites-vous d'un ton déjà assoupi, mais tout cela ne servira à rien si l'Epée de Vie n'est pas récupérée également. Cependant, c'est un problème qui attendra bien huit heures de plus..." Vous fermez les yeux.

"Regardez, regardez !" dit l'abbé quelques minutes plus tard. "Une vision, dans le ciel oriental !" Mais vous êtes déjà endormis.


Le soleil se couche lorsque vous vous réveillez. L'abbé s'approche aussitôt, tenant la pousse dans ses bras et visiblement prêt à partir. "Je vais regagner le monastère en utilisant le portail astral de Frère Péreus," vous dit-il. "J'attendais simplement pour vous remettre ceci."

Encore mal réveillés, vous regardez le parchemin qu'il vous tend et le dessin énigmatique qui y est représenté.

(Je vais le mettre en pièce jointe.)

"Pendant que vous dormiez, j'ai eu une vision," vous dit l'abbé. "Cela m'arrive parfois."

"Après être emprisonné et privé de nourriture si longtemps, ce n'est pas surprenant," dites-vous en lui rendant le parchemin.

"Non, non, vous devez le garder. L'arbre, les bois et le serpent sont des éléments importants du mythe d'Yggdrasil. Dieu a envoyé cette vision pour aider votre quête."

Vous haussez les épaules. "Pourquoi à vous, dans ce cas ?"

"Peut-être parce que vous me faites confiance. Auriez cru vos propres yeux ? Peut-être pour que je puisse vous récompenser de votre aide. Dieu est infiniment sage et nous pouvons être certain qu'Il agit toujours pour le mieux."

Vous acceptez finalement le dessin. L'abbé pioche dans ses provisions pour vous offrir un petit déjeuner de biscuits et de boeuf salé, avec un peu de brandy que la géante n'avait pas trouvé.

Après vous avoir serré la main, il se dirige vers le mur, qu'il palpe jusqu'à découvrir quelque chose. "Voyons, quels mots a employé Péreus...?" Avec une grimace, il fait un geste païen de la main gauche. "Seigneur, pardonnez-moi pour cette sorcellerie, je ne l'emploie que pour faire le bien en Votre nom. Vestigia nulla retrorsum." Et, avec ces mots, il s'avance et disparaît.

Vous regardez le mur en clignant des yeux. Lorsque vous vous approchez pour le toucher, il se révèle parfaitement solide.

Après un moment, vous sortez sur la terrasse. A votre grande surprise, le djinn est encore là, debout dans la mer, regardant les étoiles et la lune apparaître. Du coin des yeux, il vous voit sortir des ruines.

"Ah, l'abbé a dû partir. J'espère qu'il a apprécié le mal que nous nous sommes donné pour lui."

"Certainement. Pourquoi n'es-tu pas également parti ? Ne nous dis pas que tu ne sais pas quoi faire après sept siècles d'emprisonnement ?"

Il vous regarde avec une expression contrariée. "Bien sûr que j'ai de nombreuses choses à faire. En fait, j'ai fait la moitié du chemin vers Khitai pendant que vous dormiez. Mais il m'est alors venu à l'esprit que je vous devais encore la moitié d'un voeu, car j'avais pris plaisir à corriger ces Mages impudents. Je suis donc revenu pour vous amener à Hakbad, ce qui marquera définitivement la fin de vos souhaits."

Vous le regardez d'un air interrogateur. "Est-ce que ce pourrait être une trace de compassion qu'il y a là dans ta voix ? Est-ce que ce pourrait être un fond de bienveillance qui te fait agir ainsi ?"

"Attention à vos paroles !" grogne-t-il. "Je vais vous conduire à Hakbad, mais je ne me laisserai pas insulter." Sur ces mots, il vous prend sans rudesse dans ses mains.


(Je reprendrai un peu plus tard. Comme j'ai perdu trace de votre équipement, est-ce que vous pourriez chacun m'indiquer ce que vous transportez ? Inutile de mentionner l'or, les flèches et l'armement.)

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