Première lecture terminée. J’en avais entamé une autre il y a quelques mois, que j’avais dû interrompre, et je n’ai pas réussi à retrouver où j’en étais, du coup j’ai repris à zéro. Je finis…
Premières impressions : c’est purement excellent. Le world building (je ne trouve pas de terme équivalent en français qui me satisfasse), en particulier, est incroyable. Le texte nous ancre dans son univers jusque dans les remarques les plus anodines de l’héroïne, c’est vraiment du très beau boulot. D’ailleurs je ne serais pas surpris que certains éléments de ce futur proche se matérialisent dans les années à venir, notamment côté transports. On verra, mais certaines descriptions m’ont rappelé des projets actuels et très réels.
Je sature un petit peu des univers dystopiques, mais je suis rentré sans problème dans celui-ci parce que, outre qu’il est très bien décrit et cohérent, il préserve le lecteur des considérations morales que je trouve souvent lourdingues. Le récit se contente de décrire le monde, et il le fait excellement bien. Vraiment, j’adore.
Entre parenthèses, c’était rigolo (si si) de lire toutes ces descriptions d’un monde en pénurie d’eau alors qu’on était en pleine canicule…
J’ai choisi pour ce premier essai le trait scientifique, qui ne m’aura servi qu’une demi-fois puisque je n’ai pas réussi à trouver un usage aux pilules chouravées à mon paternel avant de mourir. J’ai l’impression que le trait littéraire est beaucoup plus utile, vu le nombre de sections où son emploi était proposé. Je vais peut-être me tourner vers ce profil pour ma prochaine lecture.
Comme toujours ou presque, je me permets de lister ci-dessous quelques fautes repérées au cours de ma lecture :
Premières impressions : c’est purement excellent. Le world building (je ne trouve pas de terme équivalent en français qui me satisfasse), en particulier, est incroyable. Le texte nous ancre dans son univers jusque dans les remarques les plus anodines de l’héroïne, c’est vraiment du très beau boulot. D’ailleurs je ne serais pas surpris que certains éléments de ce futur proche se matérialisent dans les années à venir, notamment côté transports. On verra, mais certaines descriptions m’ont rappelé des projets actuels et très réels.
Je sature un petit peu des univers dystopiques, mais je suis rentré sans problème dans celui-ci parce que, outre qu’il est très bien décrit et cohérent, il préserve le lecteur des considérations morales que je trouve souvent lourdingues. Le récit se contente de décrire le monde, et il le fait excellement bien. Vraiment, j’adore.
Entre parenthèses, c’était rigolo (si si) de lire toutes ces descriptions d’un monde en pénurie d’eau alors qu’on était en pleine canicule…
J’ai choisi pour ce premier essai le trait scientifique, qui ne m’aura servi qu’une demi-fois puisque je n’ai pas réussi à trouver un usage aux pilules chouravées à mon paternel avant de mourir. J’ai l’impression que le trait littéraire est beaucoup plus utile, vu le nombre de sections où son emploi était proposé. Je vais peut-être me tourner vers ce profil pour ma prochaine lecture.
Comme toujours ou presque, je me permets de lister ci-dessous quelques fautes repérées au cours de ma lecture :