07/02/2022, 23:49
L'humour de l'aventure est manifestement très inspiré de Brennan. Il n'est pas mauvais, mais il y a des passages où j'ai trouvé qu'il était tout simplement trop dense ou trop excessif. C'est quelque chose de très subjectif, bien sûr. Pour donner un exemple qui n'éclaircira sans doute rien, j'ai trouvé que les paragraphe 12 et 22 étaient rigolos, alors que les paragraphes 5 et 26 étaient un peu too much.
C'est anecdotique, mais le scénario est un peu trop sobre. Une histoire trop compliquée ne conviendrait sans doute pas, mais un but précis n'aurait pas été mal (quitte à faire faire 36 détours au héros pour atteindre ledit but).
Les règles de combat sont moins pires que celle de Loup*Ardent, mais moins mieux que celle de la Quête du Graal. Oui, c'est vrai, c'est réaliste que le héros ait plus de mal à se battre lorsqu'il est sérieusement blessé. C'est même plutôt une bonne idée dans un jeu sur ordinateur, où on peut laisser une machine incapable de connaître l'ennui prendre tout ça en compte. Dans un jeu de rôle, où le rythme de jeu n'est pas le même, je veux bien aussi. Mais dans un LDVH, demander au joueur de tenir le compte des modificateurs applicables aux jets d'attaque, c'est chiant. À la limite, une pénalité unique lorsqu'on tombe en-dessous de la moitié de nos points de vie, je veux bien ; mais rien de plus compliqué.
Il y a des passages qui sont trop linéaires. Ce n'est pas un problème pour les tout premiers paragraphes, qui ne sont en fin de compte qu'une introduction déguisée (Brennan faisait souvent la même chose). Tout le passage du tournoi, en revanche, offre terriblement peu de liberté. Le paragraphe 97 et les cinq suivants (qui sont en moyenne d'une longueur plutôt importante) n'offrent chacun qu'un seul renvoi et ne comportent aucun combat ; au 81, on a un pseudo-choix qui renvoie de toute façon au 86 ; après le 86, on a encore trois assez longs paragraphes qui n'offrent aucun combat et un seul renvoi. Tout ça me semble nettement excessif.
C'est anecdotique, mais le scénario est un peu trop sobre. Une histoire trop compliquée ne conviendrait sans doute pas, mais un but précis n'aurait pas été mal (quitte à faire faire 36 détours au héros pour atteindre ledit but).
Les règles de combat sont moins pires que celle de Loup*Ardent, mais moins mieux que celle de la Quête du Graal. Oui, c'est vrai, c'est réaliste que le héros ait plus de mal à se battre lorsqu'il est sérieusement blessé. C'est même plutôt une bonne idée dans un jeu sur ordinateur, où on peut laisser une machine incapable de connaître l'ennui prendre tout ça en compte. Dans un jeu de rôle, où le rythme de jeu n'est pas le même, je veux bien aussi. Mais dans un LDVH, demander au joueur de tenir le compte des modificateurs applicables aux jets d'attaque, c'est chiant. À la limite, une pénalité unique lorsqu'on tombe en-dessous de la moitié de nos points de vie, je veux bien ; mais rien de plus compliqué.
Il y a des passages qui sont trop linéaires. Ce n'est pas un problème pour les tout premiers paragraphes, qui ne sont en fin de compte qu'une introduction déguisée (Brennan faisait souvent la même chose). Tout le passage du tournoi, en revanche, offre terriblement peu de liberté. Le paragraphe 97 et les cinq suivants (qui sont en moyenne d'une longueur plutôt importante) n'offrent chacun qu'un seul renvoi et ne comportent aucun combat ; au 81, on a un pseudo-choix qui renvoie de toute façon au 86 ; après le 86, on a encore trois assez longs paragraphes qui n'offrent aucun combat et un seul renvoi. Tout ça me semble nettement excessif.