Entièrement d'accord. Et merci d'avoir pris du temps à poster un feedback.
Le but de ma réponse est donc d'essayer de justifier ces choix, tout en concevant qu'ils ne sont pas forcément les bons...
En premier lieu, un des aspects qui me fait apprécier un Défi Fantastique (ma seule référence en ldvelh pro... désolé :-) ), c'est son niveau de difficulté. J'aime bien souffrir pour relever un challenge. :-). Donc j'ai tenté de reproduire ce que j'appréciais chez les autres.
Concernant la place du hasard, c'est vrai qu'elle est importante, même si la narration donne parfois des indices permettant de s'en affranchir.
Exemples, entre autres :
- le rideau remarqué dans le dortoir - au Nord - qui pouvait être pressenti dans la mesure où en entendait avant du bruit derrière une paroi venant de la droite (= Nord selon notre emplacement).
- Quand on traverse la cantine sous les 3 rangées de table, il est dit tout au début de la pièce qu'il y a un groupe compact au fond à droite=> à utiliser + tard.
Mais tous ces détails n'empêchent pas que le hasard est bien présent, et qu'il est certain qu'on ne peut pas réussir du premier coup.
A noter également, qu'il y a deux façons de résoudre le problème (groupe d'indices pairs ou impairs), pour pallier (un peu) à la difficulté.
Une fois la solution trouvée, il y a également trois scénarii de sortie possibles :
- aux côtés de notre compagnon, du début à la fin
- sans notre compagnon, qui s'est fait "neutralisé" auparavant
- chacun de son côté : on retrouve le compagnon à la fin
Enfin, j'ai en effet privilégié le réalisme (dans la mesure du possible) par rapport à la jouabilité. Ainsi l'aventure se découpe de la sorte :
- 1ère bataille (LZ X-Ray) : 150 paragraphes
- 2ème bataille (LZ Albany) : 150 paragraphes
- Enigme : 300
Et bien, il très (trop ?) facile d'occulter entièrement la 3ème partie en choisissant tout simplement de s'orienter vers un autre itinéraire (une autre LZ-> Colombus), de la même manière que les soldats en avaient la possibilité sur le terrain. Conclusion : on fait 3 paragraphes au lieu de 150. :-)
Le but de ma réponse est donc d'essayer de justifier ces choix, tout en concevant qu'ils ne sont pas forcément les bons...
En premier lieu, un des aspects qui me fait apprécier un Défi Fantastique (ma seule référence en ldvelh pro... désolé :-) ), c'est son niveau de difficulté. J'aime bien souffrir pour relever un challenge. :-). Donc j'ai tenté de reproduire ce que j'appréciais chez les autres.
Concernant la place du hasard, c'est vrai qu'elle est importante, même si la narration donne parfois des indices permettant de s'en affranchir.
Exemples, entre autres :
- le rideau remarqué dans le dortoir - au Nord - qui pouvait être pressenti dans la mesure où en entendait avant du bruit derrière une paroi venant de la droite (= Nord selon notre emplacement).
- Quand on traverse la cantine sous les 3 rangées de table, il est dit tout au début de la pièce qu'il y a un groupe compact au fond à droite=> à utiliser + tard.
Mais tous ces détails n'empêchent pas que le hasard est bien présent, et qu'il est certain qu'on ne peut pas réussir du premier coup.
A noter également, qu'il y a deux façons de résoudre le problème (groupe d'indices pairs ou impairs), pour pallier (un peu) à la difficulté.
Une fois la solution trouvée, il y a également trois scénarii de sortie possibles :
- aux côtés de notre compagnon, du début à la fin
- sans notre compagnon, qui s'est fait "neutralisé" auparavant
- chacun de son côté : on retrouve le compagnon à la fin
Enfin, j'ai en effet privilégié le réalisme (dans la mesure du possible) par rapport à la jouabilité. Ainsi l'aventure se découpe de la sorte :
- 1ère bataille (LZ X-Ray) : 150 paragraphes
- 2ème bataille (LZ Albany) : 150 paragraphes
- Enigme : 300
Et bien, il très (trop ?) facile d'occulter entièrement la 3ème partie en choisissant tout simplement de s'orienter vers un autre itinéraire (une autre LZ-> Colombus), de la même manière que les soldats en avaient la possibilité sur le terrain. Conclusion : on fait 3 paragraphes au lieu de 150. :-)