07/07/2025, 22:07
(Modification du message : 07/07/2025, 22:10 par Astre*Solitaire.)
Avis sous forme d'une synthèse de ma conclusion (c'est dire si, pour moi, cela va être court).
Ton AVH a un excellent potentiel.
L'équilibre entre histoire/ambiance et mécanique du jeu/ludicité (rejouabilité + adéquation règles-univers) est solide, même si les boucles narratives manquent de cohérence, que l'aspect labyrinthe – toujours très piégeux – supprime notre capacité à décider, à faire des choix motivés, et que je n'ai pas vu l'intérêt des diodes (bonne idée en soi, mais dont je ne me suis jamais servi). Je n'hésite pas à donner un petit plus pour la présentation/mise en scène des énigmes, très sympathiques.
Néanmoins, le style est encore hésitant et les personnages (hors notre personnage) sont bien trop rapidement esquissés ou évacués.
La violence m'a paru souvent trop légère au sein de l'aventure (sauf une fois ou deux) en comparaison de l'introduction ; je m'attendais à bien pire et je pense qu'il aurait ici fallu pousser davantage les potards.
La bonne fin, audacieuse, aurait mérité plus de tenu : désespoir, souffrance, refus, haine, volonté brute et farouche. Il manque une âpreté sinistre, un petit quelque chose de Hokuto no Ken (les soldats du Golan).
Le thème est respecté à la marge. C'est dommage, car je pense qu'il y aurait eu matière à le développer au sein d'un rapport entre une violence physique viscérale et cette technologie de la téléportation et des mini-mondes (on pense un peu à Stargate, mais aussi à Faiseurs d'univers).
C'est fort, mais probablement encore un peu trop brut de décoffrage. J'ai, dans l'ensemble, bien aimé. Merci de nous avoir proposé cette AVH.
Note : le destin de la femme enceinte me fait penser à la naissance de Guts (Berserk). Un référence ou le fruit du hasard ?
Ton AVH a un excellent potentiel.
L'équilibre entre histoire/ambiance et mécanique du jeu/ludicité (rejouabilité + adéquation règles-univers) est solide, même si les boucles narratives manquent de cohérence, que l'aspect labyrinthe – toujours très piégeux – supprime notre capacité à décider, à faire des choix motivés, et que je n'ai pas vu l'intérêt des diodes (bonne idée en soi, mais dont je ne me suis jamais servi). Je n'hésite pas à donner un petit plus pour la présentation/mise en scène des énigmes, très sympathiques.
Néanmoins, le style est encore hésitant et les personnages (hors notre personnage) sont bien trop rapidement esquissés ou évacués.
La violence m'a paru souvent trop légère au sein de l'aventure (sauf une fois ou deux) en comparaison de l'introduction ; je m'attendais à bien pire et je pense qu'il aurait ici fallu pousser davantage les potards.
La bonne fin, audacieuse, aurait mérité plus de tenu : désespoir, souffrance, refus, haine, volonté brute et farouche. Il manque une âpreté sinistre, un petit quelque chose de Hokuto no Ken (les soldats du Golan).
Le thème est respecté à la marge. C'est dommage, car je pense qu'il y aurait eu matière à le développer au sein d'un rapport entre une violence physique viscérale et cette technologie de la téléportation et des mini-mondes (on pense un peu à Stargate, mais aussi à Faiseurs d'univers).
C'est fort, mais probablement encore un peu trop brut de décoffrage. J'ai, dans l'ensemble, bien aimé. Merci de nous avoir proposé cette AVH.
Note : le destin de la femme enceinte me fait penser à la naissance de Guts (Berserk). Un référence ou le fruit du hasard ?
Goburlicheur de chrastymèles
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