27/03/2025, 17:08
Au contraire d’un handicap, je pense que c’est plus une bonne accroche pour le lecteur de démarrer dans un terrain connu. Que ce soit en Histoire, mythologie etc. on a tous des représentations, une certaine connaissance (même partielle) du sujet. Cela permet au lecteur de rentrer plus rapidement dans l’univers et l’intrigue.
Avec une histoire se déroulant dans notre univers, l’auteur n’as besoin de rien expliquer ou presque ça lui facilite la vie.
Le contexte, le cadre est déjà connu du lecteur dans son ensemble. Tu n’as plus qu’à expliquer ta trame. Et puis même en connaissant le déroulement d’un événement historique, cela n’empêche pas de l’apprécier. Même en sachant la fin, on peut apprécier comment l’auteur nous fait vivre l’événement, nous représente l’époque, fait exister des personnages connus (personnes historiques, dieux, créatures mythologiques…).
À l’inverse, c’est quand tu démarres une AVH dans un univers issu de ton imagination que c’est plus délicat. Tu dois non seulement le mettre en place, le rendre intéressant et surtout crédible. Ça peut faire une longue introduction qui peut décourager le lecteur. Sinon une astuce, c’est agrémenter ton univers au fil du déroulé de l’AVH. Mais là encore, le lecteur peut lâcher s’il sent qu’il évolue dans un monde qu’il ne se représente ou ne comprend pas.
Perso, pas besoin d’oublier mes connaissances pour rentrer dans une AVH. Pour moi, le but d’une AVH n’est pas d’être ultra fidèle historiquement mais plutôt crédible et cohérente.
Je te rejoins grattepapier. À partir d’une base « réelle », on peut partir sur de l’humour, du fantastique ou de l’uchronie…Même les trois à la fois !
Avec une histoire se déroulant dans notre univers, l’auteur n’as besoin de rien expliquer ou presque ça lui facilite la vie.
Le contexte, le cadre est déjà connu du lecteur dans son ensemble. Tu n’as plus qu’à expliquer ta trame. Et puis même en connaissant le déroulement d’un événement historique, cela n’empêche pas de l’apprécier. Même en sachant la fin, on peut apprécier comment l’auteur nous fait vivre l’événement, nous représente l’époque, fait exister des personnages connus (personnes historiques, dieux, créatures mythologiques…).
À l’inverse, c’est quand tu démarres une AVH dans un univers issu de ton imagination que c’est plus délicat. Tu dois non seulement le mettre en place, le rendre intéressant et surtout crédible. Ça peut faire une longue introduction qui peut décourager le lecteur. Sinon une astuce, c’est agrémenter ton univers au fil du déroulé de l’AVH. Mais là encore, le lecteur peut lâcher s’il sent qu’il évolue dans un monde qu’il ne se représente ou ne comprend pas.
Perso, pas besoin d’oublier mes connaissances pour rentrer dans une AVH. Pour moi, le but d’une AVH n’est pas d’être ultra fidèle historiquement mais plutôt crédible et cohérente.
Je te rejoins grattepapier. À partir d’une base « réelle », on peut partir sur de l’humour, du fantastique ou de l’uchronie…Même les trois à la fois !
