23/04/2024, 13:48
Alors qu'Andréalphus s'éloigne de moi, je reste pensive. Je sers la mâchoire à en trembler, puis je me ressaisis. J'inspire un grand coup, puis je m'approche de Baal d'un pas décidé et bruyant.
"Vous fanfaronnez en jouant celui qui n'a rien à cacher, mais laissez-moi rire. Pourquoi n'assumez-vous pas vos manœuvres militaires devant vos semblables ? Pour au final tout abandonner dès que le maître siffle son chien. Fort en gueule pour cacher sa propre sournoiserie.
Vos insinuations à l'égard d'un membre du conseil angélique sont tout bonnement misérables. Je rappelle aux membres dudit conseil que la langue des démons sert avant tout à professer mensonges et calomnies, malgré les prétentions d'honnêteté du Prince de la Guerre, et que nous sommes déjà en minorité ce soir. Resserrer les rangs face à l'ennemi et ses perfides diffamations me semble être de mise. Nous sommes le camp de la justice et de la vérité, dois-je le rappeler ?" Je lance par-dessus mes lunettes un regard sévère à Yves puis à Jésus.
Puis, sans attendre de réponse de la part de Baal, je retourne vers le bar, attrape un verre, je m'assois à côté de Valefor et tout en me servant un verre de la bouteille de Bourbon, je m'adresse au Prince des Voleurs :
"En tout cas, bravo à celui qui, pour l'instant, est le seul qui ait su tirer profit de la situation, en faisant voter sa proposition."
Puis, je m'approche et baisse la voix de façon à ce que seul Valefor m'entende.
(hj) J'entame un aparté avec Valefor. Et je lance aussi une enquête au passage.(/hj)
"Vous fanfaronnez en jouant celui qui n'a rien à cacher, mais laissez-moi rire. Pourquoi n'assumez-vous pas vos manœuvres militaires devant vos semblables ? Pour au final tout abandonner dès que le maître siffle son chien. Fort en gueule pour cacher sa propre sournoiserie.
Vos insinuations à l'égard d'un membre du conseil angélique sont tout bonnement misérables. Je rappelle aux membres dudit conseil que la langue des démons sert avant tout à professer mensonges et calomnies, malgré les prétentions d'honnêteté du Prince de la Guerre, et que nous sommes déjà en minorité ce soir. Resserrer les rangs face à l'ennemi et ses perfides diffamations me semble être de mise. Nous sommes le camp de la justice et de la vérité, dois-je le rappeler ?" Je lance par-dessus mes lunettes un regard sévère à Yves puis à Jésus.
Puis, sans attendre de réponse de la part de Baal, je retourne vers le bar, attrape un verre, je m'assois à côté de Valefor et tout en me servant un verre de la bouteille de Bourbon, je m'adresse au Prince des Voleurs :
"En tout cas, bravo à celui qui, pour l'instant, est le seul qui ait su tirer profit de la situation, en faisant voter sa proposition."
Puis, je m'approche et baisse la voix de façon à ce que seul Valefor m'entende.
(hj) J'entame un aparté avec Valefor. Et je lance aussi une enquête au passage.(/hj)