Comment définir les limites d'une mini-avh ?
#1
Bon, après cette session mouvementée (et les deux précédentes), on revient avec la question : comment doit-on définir une mini-avh ?

La limite de 50 paragraphes jusqu'à maintenant utilisée est de moins en moins évidente.
L'emploi :
  1. d'annexes,
  2. de choix de renvois dès l'introduction,
  3. des messages de renvois à rallonge qui permettent de faire l'économie d'un paragraphe pour en relier deux autres,
  4. les renvois en plein milieu d'un paragraphe
  5. et j'en oublie probablement...

Tous ces procédés, on les connait tous, ils étaient déjà utilisés dans les ldvelh de l'époque. Mais si les 400 paragraphes étaient une limite éditoriale arbitraire légitime à contourner, dans le cadre du mini-yaz, la limite de 50 paragraphes est là pour assurer un cadre commun e téquitable à tous les auteurs concourants. Si un auteur en abuse trop, cela lui ouvre plus de possibilité, et son avh s'en trouve avantagée. Ce qui a amené les assesseurs des trois précédentes sessions à faire le choix difficile de requalifier une avh pour le Yaz, leur donnant ainsi un rôle important d'arbitre qui va bien au-delà de celui de simple compteurs de points Neutre Quand on remarque qu'on a remplacé le terme de juge par celui d'assesseur, mais qu'en même temps, on a renforcé leur rôle de décision, c'est assez cocasse :p

Bien sûr, il ne s'agit pas de fustiger les auteurs, je crois que nous avons tous recours spontanément à tous ces procédés sans forcément chercher à faire rentrer une avh dans une limite de paragraphes, car ils peuvent présenter d'autres avantages. Je viens de reparcourir les Voies d'Attégia, et j'y ai eu recours, sans m'en rendre compte, notamment les points 3 et 4.

Je vois deux solutions qui ont été proposées :

La première, faire une sorte d'inventaire de tous les procédés, aller jusqu'à définir formellement ce que sont un paragraphe, un renvoi, un pfa ... et donc établir de façon objective l'arborescence de chaque avh et s'assurer qu'elle présente bien 50 nœuds au maximum. Je crois me souvenir que Caïthness avait commencé à proposer quelques chose en ce sens.

C'est un processus long et fastidieux, autant pour les assesseurs (c'est déjà difficile de trouver des volontaires) que pour les auteurs, spécialement les auteurs débutants. C'est déjà dur d'arriver au bout d'un projet d'écriture, si on se retrouve face à un obstacle de complexité supplémentaire à franchir, ça risque de démotiver beaucoup de monde.

La seconde solution, c'est de retirer la limite de paragraphes et de le remplacer par une limite de caractères ou mots. Outremer avait proposé des limites sur la base des précédentes mini-avh lauréates, je me souviens plus des chiffres. Cette solution a ma préférence. Elle est simple, c'est une limite facile à vérifier tant pour les auteurs que les votants et assesseurs.

Voilà l'état du débat. Je propose qu'on en discute, et que d'ici la rentrée, on propose un sondage pour trancher entre ces trois situations (1-c'est les assesseurs qui tranchent (situation actuelle) , 2-établissement d'une arborescence objective et comptage des noeuds, 3-remplacer par une limite de mots et/ou caractères), et éventuellement d'autres idées.
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Comment définir les limites d'une mini-avh ? - par Salla - 04/08/2023, 20:39



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