bon, il faut bien que je trouve quelque chose à redire, quand même…
euuuh… pfff…
ah oui ! il y a des fautes, d’orthographe, d’accord, de concordance, mais aussi des lettres qui manquent, des mots aussi, des phrases bancales, holala dis donc…
voilà
oui oui, c’est tout, le reste est parfait, mes félicitations, Skarn
oui, parfait ! ah bien sûr, il faut accepter le postulat de départ, et c’est normal, c’est une œuvre de fiction
ouiii, c’est vraiii, dans la vraie réalité véritaaable, bien sûûûr… mais là on s’en fout, ok ?!
oui, la matière exotique, toujours théorique actuellement, expliquerait et confirmerait la matière noire (vu qu’on ne peut plus compter sur le neutrino pour cela, et que le graviton reste encore théorique lui aussi), mais cette mini-, par postulat, se débarrasse de cette inconnue pour mieux nous proposer autre chose, c’est-à-dire une magie moderne et scientifique : tout est possible du moment que la quantique exotique s’en mêle et, en soi, pourquoi pas ! car par définition, tous les possibles peuvent avoir lieu, ont lieu et doivent avoir lieu
moi, personnellement, j’adhère carrément, et les premières sections que l’on lit sont, dans ce sens, jouissives
ainsi, le héros est « intégré » par une IA quantique froide, qui le mène sans la moindre difficulté d’un bout à l’autre de l’aventure, grâce à une redéfinition de la physique modélisée (et, pour l’envers du décor, un cumul de codes et de scores astucieux afin de prendre en compte le cheminement) et ce, malgré quelques hésitations (induites par une expérimentation logiquement lacunaire)
et tout ceci fonctionne, on ne peut tout bonnement rien redire à tout cela
ce supercalculateur probabiliste embarqué va permettre au héros de voyager à plusieurs dizaines de Mach sans la moindre protection, réussissant à contrer par la même occasion le cône de turbulences (qui, lui, existe bien, il n’y a que le héros qui soit devenu exotique, pas la nature qui l’entoure de toute sa physique impérieuse) et son écoulement, et les minuscules bombes présentes dans l’air (à cette vitesse formidable, les spores, pollens, aérosols et micro-organismes véhiculés deviendraient des bombes pour la peau et la chair non carénées) sans oublier les poussières dans les nuages (alors, vous vous doutez bien qu’une tempête de sable, même si tout récent et donc à aspérités aiguës, à maximum 180 ou 200 km/h, c’est peccadille et pipi de chat)
cette IA assimilée va permettre aussi de racornir d’un simple geste des Machines Absurdes (dans leur démentiel principe) et un robot géant improbable (et pourtant…) menant à des fins toutes très intéressantes
non non, je vous le dis, tout fonctionne, et c’en est effrayant, presque ! plaise aux dieux que nous n’en arrivions pas là
en conclusion, je renouvelle mes félicitations, Skarn, et te remercie de cet excellent moment
juste une question, tout de même, que je me suis posée durant la lecture (et que tu peux considérer comme de la tétrapilectomie abusive) : pourquoi ce très très méchant milliardaire a-t-il choisi de débuter sa Solution en Afrique ? parce que, historiquement, la population de ce continent a été considérée maintes fois dispensable ?
je ne vois pas d’autre explication, mais elle se révèle alors contre-productive : en une semaine, cette Solution aurait été bougrement plus efficace en étant initiée au Népal ou au Tibet (en arrondissant grosse maille : Chine + Inde = 3 milliards de personnes sur seulement 13 millions de km², alors que continent africain = seulement 1,5 milliard de personnes sur 30 millions de km²) (je suis allé chercher les chiffres, pour être sûr de ne pas dire de conneries pour une fois)
mais bon, est-ce réellement important, au final ? eh bien non, parce que dans l’action, ça passe sans souci
car somme toute, le plaisir certain de la lecture de cette mini- très travaillée, très documentée, de la découverte de cet univers surprenant dans lequel tout a été réfléchi pour nous prendre par la main et nous emmener, nous raconter une histoire et nous étonner, nous extraire de notre quotidien et nous amuser, n’est-il pas de toute façon primordial et légitime ? surtout quand on prend en compte la somme de travail (gratuit, ne l’oublions pas) abattue, que nous pouvons tous nous représenter
donc, une nouvelle fois, merci, cher Skarn
euuuh… pfff…
ah oui ! il y a des fautes, d’orthographe, d’accord, de concordance, mais aussi des lettres qui manquent, des mots aussi, des phrases bancales, holala dis donc…
voilà
oui oui, c’est tout, le reste est parfait, mes félicitations, Skarn
oui, parfait ! ah bien sûr, il faut accepter le postulat de départ, et c’est normal, c’est une œuvre de fiction
ouiii, c’est vraiii, dans la vraie réalité véritaaable, bien sûûûr… mais là on s’en fout, ok ?!
oui, la matière exotique, toujours théorique actuellement, expliquerait et confirmerait la matière noire (vu qu’on ne peut plus compter sur le neutrino pour cela, et que le graviton reste encore théorique lui aussi), mais cette mini-, par postulat, se débarrasse de cette inconnue pour mieux nous proposer autre chose, c’est-à-dire une magie moderne et scientifique : tout est possible du moment que la quantique exotique s’en mêle et, en soi, pourquoi pas ! car par définition, tous les possibles peuvent avoir lieu, ont lieu et doivent avoir lieu
moi, personnellement, j’adhère carrément, et les premières sections que l’on lit sont, dans ce sens, jouissives
ainsi, le héros est « intégré » par une IA quantique froide, qui le mène sans la moindre difficulté d’un bout à l’autre de l’aventure, grâce à une redéfinition de la physique modélisée (et, pour l’envers du décor, un cumul de codes et de scores astucieux afin de prendre en compte le cheminement) et ce, malgré quelques hésitations (induites par une expérimentation logiquement lacunaire)
et tout ceci fonctionne, on ne peut tout bonnement rien redire à tout cela
ce supercalculateur probabiliste embarqué va permettre au héros de voyager à plusieurs dizaines de Mach sans la moindre protection, réussissant à contrer par la même occasion le cône de turbulences (qui, lui, existe bien, il n’y a que le héros qui soit devenu exotique, pas la nature qui l’entoure de toute sa physique impérieuse) et son écoulement, et les minuscules bombes présentes dans l’air (à cette vitesse formidable, les spores, pollens, aérosols et micro-organismes véhiculés deviendraient des bombes pour la peau et la chair non carénées) sans oublier les poussières dans les nuages (alors, vous vous doutez bien qu’une tempête de sable, même si tout récent et donc à aspérités aiguës, à maximum 180 ou 200 km/h, c’est peccadille et pipi de chat)
cette IA assimilée va permettre aussi de racornir d’un simple geste des Machines Absurdes (dans leur démentiel principe) et un robot géant improbable (et pourtant…) menant à des fins toutes très intéressantes
non non, je vous le dis, tout fonctionne, et c’en est effrayant, presque ! plaise aux dieux que nous n’en arrivions pas là
en conclusion, je renouvelle mes félicitations, Skarn, et te remercie de cet excellent moment
juste une question, tout de même, que je me suis posée durant la lecture (et que tu peux considérer comme de la tétrapilectomie abusive) : pourquoi ce très très méchant milliardaire a-t-il choisi de débuter sa Solution en Afrique ? parce que, historiquement, la population de ce continent a été considérée maintes fois dispensable ?
je ne vois pas d’autre explication, mais elle se révèle alors contre-productive : en une semaine, cette Solution aurait été bougrement plus efficace en étant initiée au Népal ou au Tibet (en arrondissant grosse maille : Chine + Inde = 3 milliards de personnes sur seulement 13 millions de km², alors que continent africain = seulement 1,5 milliard de personnes sur 30 millions de km²) (je suis allé chercher les chiffres, pour être sûr de ne pas dire de conneries pour une fois)
mais bon, est-ce réellement important, au final ? eh bien non, parce que dans l’action, ça passe sans souci
car somme toute, le plaisir certain de la lecture de cette mini- très travaillée, très documentée, de la découverte de cet univers surprenant dans lequel tout a été réfléchi pour nous prendre par la main et nous emmener, nous raconter une histoire et nous étonner, nous extraire de notre quotidien et nous amuser, n’est-il pas de toute façon primordial et légitime ? surtout quand on prend en compte la somme de travail (gratuit, ne l’oublions pas) abattue, que nous pouvons tous nous représenter
donc, une nouvelle fois, merci, cher Skarn
ça va trancher, chérie !