26/07/2023, 22:10
j’ai joué la dernière version postée, sans avoir conscience des changements qui ont menés à celle-ci
bon, je dois l’avouer, cher grattepapier, je partais avec un a-priori, tout bêtement à cause du titre
je m’explique en vous en apprenant un peu : j’ai participé à deux ou trois saisons de pêche, lors de ma jeunesse, durant le millénaire dernier, dont une de quatre mois jusqu’en mer de Barents
et le souvenir que j’en ai aujourd’hui se résume ainsi : magnifique, éprouvant, terrifiant, grandiose, monotone, froid
oh oui, froid, très froid (aujourd’hui, les pêcheurs passent moins de temps sur le pont, et c’est heureux)(mais ça reste un métier dangereux, croyez-moi)
donc, on comprendra comme j’ai pu, durant la lecture de ce texte, ressentir la température et aussi les éléments déchaînés et l’immensité de l’environnement et l’eau passant partout…
eh bien cette lecture, contre toute attente, s’est avérée ne pas être une mauvaise expérience, bien au contraire !
déjà, le thème est respecté et, ce me semble, plus dans l’esprit du héros que physiquement
alors, j’ai entamé l’aventure avec l’impression d’être préparé à toute éventualité (à part, bien sûr, la fin, vilain gredin) et, à ma deuxième lecture, je me suis rendu compte que j’avais, en premier lieu, évité les petits pièges
la troisième partie se passe à terre, et c’est là que tout se noue, on n’est plus un marin mais un aventurier qui tente de se sauver en combattant toujours les éléments inhospitaliers mais sans plus avoir vraiment de contrôle, pour arriver enfin à un dénouement éprouvant
je n’ai pas eu de souci réel de nourriture, c’est passé pile à chaque fois (par chance, je m’en suis rendu compte)
j’ai vu deux-trois cqouilles se balader, mais chut, ne boudons pas notre plaisir
deux autres points me viennent à l’esprit :
- pourquoi ne pas avoir repris le nom du bateau historique, alors que tu t’es attaché à reprendre tous les noms des membres de son équipage ?
- et un petit détail qui m’a chiffonné, mais rien de bien grave
de bout en bout élaborée de main de maître, cette mini- vous secoue, vous tangue et vous roule, vous fait boire la tasse, vous fait vomir vos tripes, puis vous recrache à terre pour mieux vous faire perdre le peu d’humanité qu’il vous reste, et vous en redemandez, vilains gredins !
merci, cher grattepapier, merci infiniment de ce voyage éprouvant mais si agréable
bon, je dois l’avouer, cher grattepapier, je partais avec un a-priori, tout bêtement à cause du titre
je m’explique en vous en apprenant un peu : j’ai participé à deux ou trois saisons de pêche, lors de ma jeunesse, durant le millénaire dernier, dont une de quatre mois jusqu’en mer de Barents
et le souvenir que j’en ai aujourd’hui se résume ainsi : magnifique, éprouvant, terrifiant, grandiose, monotone, froid
oh oui, froid, très froid (aujourd’hui, les pêcheurs passent moins de temps sur le pont, et c’est heureux)(mais ça reste un métier dangereux, croyez-moi)
donc, on comprendra comme j’ai pu, durant la lecture de ce texte, ressentir la température et aussi les éléments déchaînés et l’immensité de l’environnement et l’eau passant partout…
eh bien cette lecture, contre toute attente, s’est avérée ne pas être une mauvaise expérience, bien au contraire !
déjà, le thème est respecté et, ce me semble, plus dans l’esprit du héros que physiquement
alors, j’ai entamé l’aventure avec l’impression d’être préparé à toute éventualité (à part, bien sûr, la fin, vilain gredin) et, à ma deuxième lecture, je me suis rendu compte que j’avais, en premier lieu, évité les petits pièges
la troisième partie se passe à terre, et c’est là que tout se noue, on n’est plus un marin mais un aventurier qui tente de se sauver en combattant toujours les éléments inhospitaliers mais sans plus avoir vraiment de contrôle, pour arriver enfin à un dénouement éprouvant
je n’ai pas eu de souci réel de nourriture, c’est passé pile à chaque fois (par chance, je m’en suis rendu compte)
j’ai vu deux-trois cqouilles se balader, mais chut, ne boudons pas notre plaisir
deux autres points me viennent à l’esprit :
- pourquoi ne pas avoir repris le nom du bateau historique, alors que tu t’es attaché à reprendre tous les noms des membres de son équipage ?
- et un petit détail qui m’a chiffonné, mais rien de bien grave
de bout en bout élaborée de main de maître, cette mini- vous secoue, vous tangue et vous roule, vous fait boire la tasse, vous fait vomir vos tripes, puis vous recrache à terre pour mieux vous faire perdre le peu d’humanité qu’il vous reste, et vous en redemandez, vilains gredins !
merci, cher grattepapier, merci infiniment de ce voyage éprouvant mais si agréable
Le trolley part, minou !