Comme d'habitude avec les aventures écrites par Loi-Kymar, on n'est pas souvent déçu. Celle-ci ne déroge pas à la règle.
Déjà parce que c'est très bien écrit, dans un style qui me plaît, un rythme dans les phrases qui m'est familier. Donc je lis ça sans aucun heurt, ça passe tout seul et je m'immerge très facilement dans le récit.
A ma première lecture, mon entrée dans l'auberge m'a beaucoup impressionné. La pression monte doucement avant et une fois qu'on est dedans, c'est presque la tension des Huit Salopards de Tarantino. Limite, j'aurais préféré que plus de sections et d'interactions soient consacrées à cette séquence, pour en faire comme un huis clos. La scène suivante est glaçante,
avec le viol auquel on assiste auditivement. D'autant plus qu'on ne peut rien y faire, c'est terrible. J'ai cru que c'était ça le vrai objectif de l'AVH, empêcher ce viol collectif. Mais non. Et même la fin avec le code FRERE n'est qu'une piètre consolation.
Finalement, j'ai rempli ma mission initiale, mais sans avoir les 25 talents nécessaires à la victoire. L'essai m'a paru court, mais c'est parce qu'il existe de nombreuses possibilités, beaucoup d'objets et de codes à récolter à chaque tentative. Un jeu de pistes intelligemment conçu qui donne envie d'être résolu.
Je suis parvenu au 50 à mon 4ème essai. Assez difficile donc.
J'ai pensé qu'il s'agissait d'un OTP, mais en fait, deux chemins permettent de rembourser notre dette à la fin.
Le petit "en solitaire" glissé dans la description finale m'a laissé croire qu'il y avait moyen
de sauver la fille de l'aubergiste
mais non, c'était un leurre.
Au final, une aventure pas vraiment héroïque, plutôt très réaliste et bien ficelée. Original de jouer un simple messager presque toujours en position de faiblesse.
Déjà parce que c'est très bien écrit, dans un style qui me plaît, un rythme dans les phrases qui m'est familier. Donc je lis ça sans aucun heurt, ça passe tout seul et je m'immerge très facilement dans le récit.
A ma première lecture, mon entrée dans l'auberge m'a beaucoup impressionné. La pression monte doucement avant et une fois qu'on est dedans, c'est presque la tension des Huit Salopards de Tarantino. Limite, j'aurais préféré que plus de sections et d'interactions soient consacrées à cette séquence, pour en faire comme un huis clos. La scène suivante est glaçante,
avec le viol auquel on assiste auditivement. D'autant plus qu'on ne peut rien y faire, c'est terrible. J'ai cru que c'était ça le vrai objectif de l'AVH, empêcher ce viol collectif. Mais non. Et même la fin avec le code FRERE n'est qu'une piètre consolation.
Finalement, j'ai rempli ma mission initiale, mais sans avoir les 25 talents nécessaires à la victoire. L'essai m'a paru court, mais c'est parce qu'il existe de nombreuses possibilités, beaucoup d'objets et de codes à récolter à chaque tentative. Un jeu de pistes intelligemment conçu qui donne envie d'être résolu.
Je suis parvenu au 50 à mon 4ème essai. Assez difficile donc.
J'ai pensé qu'il s'agissait d'un OTP, mais en fait, deux chemins permettent de rembourser notre dette à la fin.
Le petit "en solitaire" glissé dans la description finale m'a laissé croire qu'il y avait moyen
de sauver la fille de l'aubergiste
mais non, c'était un leurre.
Au final, une aventure pas vraiment héroïque, plutôt très réaliste et bien ficelée. Original de jouer un simple messager presque toujours en position de faiblesse.