MOUTON, VA !
En fait non, plutôt chèvre. D'ordinaire les aventures en pleine nature me les broutent, la soi-disant sagesse des bois et des hommes d'iceux est une mythologie à laquelle je ne cotise pas ; je fais pourtant une exception pour le roman Un roi sans divertissement de Giono qui est d'une écriture ciselée et superbe ; et à la rigueur certains romans « Signes de piste » me font rigoler par leur couv' outrée et leur histoire un peu tarte.
Conséquemment on aurait pu craindre que cette AVH me fasse tourner chèvre, mais en fait dès les premières lignes elle m'a séduit. La raison pour laquelle nous sommes traqué(e), en un gif :
FAITES VOS PROPRES RECHERCHES
Plusieurs fins possibles, j'ai atteint d'abord la fin chèvre voyageuse (celle où notre héroïne plaque tout, quitte Paris et sa vie bourgeoise pour aller élever des chèvres dans le Larz... heu non enfin vous voyez l'idée) puis la fin chèvre vengeresse (qui est l'occasion d'une alliance inédite entre superhéroïne et supervilain. Notre héroïne s'en sort mieux par son discours que le protagoniste de la fable Le Loup et l'agneau).
Petite faute dans le code au 41 (décalage -1, on lit « vyllée » au lieu de « vallée »). NB le contenu des parenthèses ne doit pas être en italiques (j'avais déjà marmonné sur la mise en page du roman Le Vieil Indien et le renard du même auteur).
LA TERRE, ELLE, NE MENT PAS
C'est drôle et gentil ! J'aime bien cette AVH chevrière, je la préfère à Gabriel (du même) qui se prend davantage au sérieux. L'écriture est fluide, agréable à lire, évoquant le paysage et les alpages en évitant le piège de la lourdeur contemplative ou démonstrative. une bonne surprise !
En fait non, plutôt chèvre. D'ordinaire les aventures en pleine nature me les broutent, la soi-disant sagesse des bois et des hommes d'iceux est une mythologie à laquelle je ne cotise pas ; je fais pourtant une exception pour le roman Un roi sans divertissement de Giono qui est d'une écriture ciselée et superbe ; et à la rigueur certains romans « Signes de piste » me font rigoler par leur couv' outrée et leur histoire un peu tarte.
Conséquemment on aurait pu craindre que cette AVH me fasse tourner chèvre, mais en fait dès les premières lignes elle m'a séduit. La raison pour laquelle nous sommes traqué(e), en un gif :
FAITES VOS PROPRES RECHERCHES
Plusieurs fins possibles, j'ai atteint d'abord la fin chèvre voyageuse (celle où notre héroïne plaque tout, quitte Paris et sa vie bourgeoise pour aller élever des chèvres dans le Larz... heu non enfin vous voyez l'idée) puis la fin chèvre vengeresse (qui est l'occasion d'une alliance inédite entre superhéroïne et supervilain. Notre héroïne s'en sort mieux par son discours que le protagoniste de la fable Le Loup et l'agneau).
Petite faute dans le code au 41 (décalage -1, on lit « vyllée » au lieu de « vallée »). NB le contenu des parenthèses ne doit pas être en italiques (j'avais déjà marmonné sur la mise en page du roman Le Vieil Indien et le renard du même auteur).
LA TERRE, ELLE, NE MENT PAS
C'est drôle et gentil ! J'aime bien cette AVH chevrière, je la préfère à Gabriel (du même) qui se prend davantage au sérieux. L'écriture est fluide, agréable à lire, évoquant le paysage et les alpages en évitant le piège de la lourdeur contemplative ou démonstrative. une bonne surprise !