22/03/2021, 02:42
(Modification du message : 06/04/2021, 21:10 par Lyzi Shadow.)
Tour 8
Phase de fin de tour du tour 8 :
Tour de table des points de victoire.
(Les points de victoire liés à des titres portés par des seigneurs qui sont prisonniers comptent quand même pour leur joueur d'origine.)
Famille d'Orléans (jaune Or)
- baronnie du Dauphiné : 1PV
Total : 1PV.
Maison de Bourbon (Blanc)
- baronnie de Bretagne : 1PV
Total : 1PV.
Famille de Valois (Vert)
- comté de Normandie : 1PV
- roi : 1PV
Total : 2PV.
Famille Capet (rouge Carmin)
- duché d'Aquitaine : 1PV
- duché de Bourgogne : 1PV
- comté du Poitou : 1PV
Total : 3PV.
Victoire du joueur rouge.
« Pour Thierry : la Fronde. »
1308.
Nouvelle tentative d'élection du pape.
Le Cardinal Lambert Bourbon, évêque de Toulouse, ne peut présenter sa candidature, étant toujours prisonnier du Cardinal Charles Capet, évêque de Reims.
Les cardinaux Charles Capet et Philippe de Valois, eux, sont candidats.
De façon similaire à l'année précédente, les deux candidats votent chacun pour eux-mêmes, conduisant l'élection à l'impasse.
Encore une fois, non habemus papam.
Nouvelle tentative d'élection du roi par les pairs du royaume.
Othon de Valois, comte de Normandie, et François Capet, duc de Bourgogne, sont candidats.
Les familles valoise et capétienne votent évidemment pour leur candidat respectif, tandis que la seule personnalité de la Maison de Bourbon encore libre de voter, Blanche d'Arc, vote nul, comme c'est l'habitude dans la famille. Les d'Orléans soutiennent le candidat valois contre l'ennemi juré capétien, usurpateur de leur ville d'origine.
Avec 5 voix pour Othon de Valois contre 2 voix pour François Capet, et 1 nul, Othon est confirmé comme le choix de la noblesse.
Par l'entremise du Cardinal Philippe de Valois, il obtient également le soutien de l'Église.
Sacré à Reims à Lisieux, le plus jeune des trois frères Valois (ou des quatre, en comptant feu Quentin de Valois), devient le roi Othon Ier.
« Suis-je Roi des Francs, Roi des Français ou Roi de France ? Je me demande ce qu'en penserait le bon docteur Sévenne. »
Le couronnement du roi Othon Ier (gravure, 1308)
Les chevaliers de Lisieux deviennent les chevaliers du roi
(On remarque que si, au lieu de voter nul, le joueur Blanc/Bourbon s'était entendu avec le joueur jaune Or/Orléaniste pour que l'unique vote blanc aille au candidat Vert/Valois et les deux votes jaunes au candidat rouge Carmin/Capet, les deux candidats se seraient retrouvés ex-aequo à 4 voix contre 4, et on n'aurait toujours pas eu de roi, ce qui aurait été à l'avantage du joueur Blanc, qui a tout à perdre que l'un ou l'autre de ses deux plus puissants concurrents soit élu roi. Comme quoi… l'abstention n'est pas toujours la meilleure solution. Mais bon, cela aurait sans doute encore prolongé la partie, et il était temps qu'elle se termine.)
Peu après l'élection du roi, une rumeur se répand dans l'aristocratie selon laquelle une cousine de Lambert, Guenièvre et Blanche Bourbon, à savoir la jeune Mireille Bourbon, qui cherchait à prendre de nouvelles responsabilités, aurait été évincée de la famille. Le Cardinal Lambert de Bourbon, évêque de Toulouse, toujours retenu par les conquérants capétiens, aurait été entendu déclarer depuis sa cellule : « Cela commence à bien faire toutes ces femmes. Il est temps que la Maison de Bourbon fasse appel à un nouveau seigneur homme, et vite. » Les femmes de pouvoir étaient pourtant la spécificité des Bourbons depuis feue Aliénor d'Aquitaine. Guenièvre Bourbon lui a été une si fidèle héritière qu'on en aurait oublié que son frère Lambert de Bourbon est l'ainé de la famille depuis l'assassinat de leur tante.
Un peu plus tard dans l'année, on rapporte que la peste se répand à nouveau dans le pays. Fort heureusement, c'est une fausse alerte.
Le même mois, la noblesse française accueille une nouvelle venue : Jeanne Capet, la cousine de Charles, François et feu Thierry Capet, prend le commandement des archers capétiens à Orléans.
Dans le sud-est, le développement économique de Lyon s'arrête brutalement, faute de matériau et de terrain libre pour construire les infrastructures nécessaires. La famille d'Orléans en exil redirige ses revenus vers le développement militaire et parvient à adouber et équiper un nombre conséquent de nouveaux chevaliers.
Les Bourbons paient les rançons de Guenièvre Bourbon, comtesse du Poitou, et du Cardinal Lambert Bourbon, évêque de Toulouse. La comtesse est envoyée à Rennes, tandis que le cardinal est libéré dans Poitiers.
La garnison de Poitiers est également renforcée.
De leur côté, les Valois font construire un nouveau château à Liège, remplaçant pour la région celui qui fut incendié par les paysans à Calais.
Parmi les chevaliers bretons, le Cardinal Philippe de Valois, évêque de Calais, parvient à trouver des traîtres qui rejoignent ses forces pour assiéger Rennes.
Le temps est magnifique à Toulouse, la récolte est bonne. La famille Capet est décidément la famille la plus riche du royaume, remplaçant sans effort les pertes reçues lors de la Bataille de Toulouse. Leur armée est la plus grande que le pays n'a jamais vue.
C'est le temps des manœuvres.
Cette année encore, les trois seigneurs d'Orléans en exil restent terrés à Lyon, protégés derrière leurs murs.
Les forces bourbonnes tiennent également leur position, y compris leur siège de Lisieux.
Les seigneurs valois n'ont pas non plus de raison de se déplacer.
François Capet, duc de Bourgogne laisse une petite garnison à Calais et mène son armée jusqu'à Lyon.
Le Cardinal Charles Capet, duc d'Aquitaine, galope avec ses chevaliers jusqu'à Poitiers.
Sa cousine Jeanne, à la tête de l'armée d'Orléans, le rejoint. Face à deux armées, la capitale du Poitou est en très mauvaise posture.
Blanche d'Arc, baronne de Bretagne, qui assiège Lisieux, lance ses troupes à l'assaut de la capitale normande.
Les engins de siège qui ont été montés au cours de l'année se révèlent inutiles quand l'armée bretonne utilise un passage secret pour s'introduire directement derrière les murs.
Le combat est sanglant. Tous les chevaliers et un tiers des fantassins de Blanche d'Arc sont tués, ainsi que tous les sergents de ville de Lisieux.
Devant de si lourdes pertes, Blanche d'Arc décide unilatéralement de cesser le combat contre les chevaliers du roi, mais de poursuivre le siège.
Nouvelle tentative d'élection du pape.
Le Cardinal Lambert Bourbon, évêque de Toulouse, ne peut présenter sa candidature, étant toujours prisonnier du Cardinal Charles Capet, évêque de Reims.
Les cardinaux Charles Capet et Philippe de Valois, eux, sont candidats.
De façon similaire à l'année précédente, les deux candidats votent chacun pour eux-mêmes, conduisant l'élection à l'impasse.
Encore une fois, non habemus papam.
Nouvelle tentative d'élection du roi par les pairs du royaume.
Othon de Valois, comte de Normandie, et François Capet, duc de Bourgogne, sont candidats.
Les familles valoise et capétienne votent évidemment pour leur candidat respectif, tandis que la seule personnalité de la Maison de Bourbon encore libre de voter, Blanche d'Arc, vote nul, comme c'est l'habitude dans la famille. Les d'Orléans soutiennent le candidat valois contre l'ennemi juré capétien, usurpateur de leur ville d'origine.
Avec 5 voix pour Othon de Valois contre 2 voix pour François Capet, et 1 nul, Othon est confirmé comme le choix de la noblesse.
Par l'entremise du Cardinal Philippe de Valois, il obtient également le soutien de l'Église.
Sacré à Reims à Lisieux, le plus jeune des trois frères Valois (ou des quatre, en comptant feu Quentin de Valois), devient le roi Othon Ier.
« Suis-je Roi des Francs, Roi des Français ou Roi de France ? Je me demande ce qu'en penserait le bon docteur Sévenne. »
-Othon Ier, Premier Discours royal
Le couronnement du roi Othon Ier (gravure, 1308)
Les chevaliers de Lisieux deviennent les chevaliers du roi
(On remarque que si, au lieu de voter nul, le joueur Blanc/Bourbon s'était entendu avec le joueur jaune Or/Orléaniste pour que l'unique vote blanc aille au candidat Vert/Valois et les deux votes jaunes au candidat rouge Carmin/Capet, les deux candidats se seraient retrouvés ex-aequo à 4 voix contre 4, et on n'aurait toujours pas eu de roi, ce qui aurait été à l'avantage du joueur Blanc, qui a tout à perdre que l'un ou l'autre de ses deux plus puissants concurrents soit élu roi. Comme quoi… l'abstention n'est pas toujours la meilleure solution. Mais bon, cela aurait sans doute encore prolongé la partie, et il était temps qu'elle se termine.)
Peu après l'élection du roi, une rumeur se répand dans l'aristocratie selon laquelle une cousine de Lambert, Guenièvre et Blanche Bourbon, à savoir la jeune Mireille Bourbon, qui cherchait à prendre de nouvelles responsabilités, aurait été évincée de la famille. Le Cardinal Lambert de Bourbon, évêque de Toulouse, toujours retenu par les conquérants capétiens, aurait été entendu déclarer depuis sa cellule : « Cela commence à bien faire toutes ces femmes. Il est temps que la Maison de Bourbon fasse appel à un nouveau seigneur homme, et vite. » Les femmes de pouvoir étaient pourtant la spécificité des Bourbons depuis feue Aliénor d'Aquitaine. Guenièvre Bourbon lui a été une si fidèle héritière qu'on en aurait oublié que son frère Lambert de Bourbon est l'ainé de la famille depuis l'assassinat de leur tante.
Un peu plus tard dans l'année, on rapporte que la peste se répand à nouveau dans le pays. Fort heureusement, c'est une fausse alerte.
Le même mois, la noblesse française accueille une nouvelle venue : Jeanne Capet, la cousine de Charles, François et feu Thierry Capet, prend le commandement des archers capétiens à Orléans.
Dans le sud-est, le développement économique de Lyon s'arrête brutalement, faute de matériau et de terrain libre pour construire les infrastructures nécessaires. La famille d'Orléans en exil redirige ses revenus vers le développement militaire et parvient à adouber et équiper un nombre conséquent de nouveaux chevaliers.
Les Bourbons paient les rançons de Guenièvre Bourbon, comtesse du Poitou, et du Cardinal Lambert Bourbon, évêque de Toulouse. La comtesse est envoyée à Rennes, tandis que le cardinal est libéré dans Poitiers.
La garnison de Poitiers est également renforcée.
De leur côté, les Valois font construire un nouveau château à Liège, remplaçant pour la région celui qui fut incendié par les paysans à Calais.
Parmi les chevaliers bretons, le Cardinal Philippe de Valois, évêque de Calais, parvient à trouver des traîtres qui rejoignent ses forces pour assiéger Rennes.
Le temps est magnifique à Toulouse, la récolte est bonne. La famille Capet est décidément la famille la plus riche du royaume, remplaçant sans effort les pertes reçues lors de la Bataille de Toulouse. Leur armée est la plus grande que le pays n'a jamais vue.
C'est le temps des manœuvres.
Cette année encore, les trois seigneurs d'Orléans en exil restent terrés à Lyon, protégés derrière leurs murs.
Les forces bourbonnes tiennent également leur position, y compris leur siège de Lisieux.
Les seigneurs valois n'ont pas non plus de raison de se déplacer.
François Capet, duc de Bourgogne laisse une petite garnison à Calais et mène son armée jusqu'à Lyon.
Le Cardinal Charles Capet, duc d'Aquitaine, galope avec ses chevaliers jusqu'à Poitiers.
Sa cousine Jeanne, à la tête de l'armée d'Orléans, le rejoint. Face à deux armées, la capitale du Poitou est en très mauvaise posture.
Blanche d'Arc, baronne de Bretagne, qui assiège Lisieux, lance ses troupes à l'assaut de la capitale normande.
Les engins de siège qui ont été montés au cours de l'année se révèlent inutiles quand l'armée bretonne utilise un passage secret pour s'introduire directement derrière les murs.
Le combat est sanglant. Tous les chevaliers et un tiers des fantassins de Blanche d'Arc sont tués, ainsi que tous les sergents de ville de Lisieux.
Devant de si lourdes pertes, Blanche d'Arc décide unilatéralement de cesser le combat contre les chevaliers du roi, mais de poursuivre le siège.
C'est au tour du Cardinal Philippe de Valois, évêque de Calais, assiégeant Rennes, de tenter une attaque.
Ses engins de siège ont déjà réduit l'efficacité des fortifications rennaises de moitié.
Les archers valois tirent avant l'approche, mais sans effet, les remparts, même endommagés, étant encore suffisants pour protéger les défenseurs.
La première vague d'assaut est repoussée, les assaillants perdant la moitié de leur infanterie.
La deuxième vague est également repoussée, les chevaliers bretons retranchés tuant la moitié des chevaliers se battant sous la bannière verte.
L'armée valoise étant désormais trop faible pour espérer percer les défenses adverses, le combat s'arrête.
Une fois de plus, Rennes reste bourbonne !
Ses engins de siège ont déjà réduit l'efficacité des fortifications rennaises de moitié.
Les archers valois tirent avant l'approche, mais sans effet, les remparts, même endommagés, étant encore suffisants pour protéger les défenseurs.
La première vague d'assaut est repoussée, les assaillants perdant la moitié de leur infanterie.
La deuxième vague est également repoussée, les chevaliers bretons retranchés tuant la moitié des chevaliers se battant sous la bannière verte.
L'armée valoise étant désormais trop faible pour espérer percer les défenses adverses, le combat s'arrête.
Une fois de plus, Rennes reste bourbonne !
Plus au sud, les armées conjointes du Cardinal Charles Capet, duc d'Aquitaine et évêque de Reims, et de Jeanne Capet, dite l'Orléanaise, sa jeune cousine, se lancent à l'assaut de Poitiers.
Les trois sections d'archers sous le commandement de la jeune Jeanne tirent sur les défenseurs. Les trois unités de sergents de ville poitevins sont exterminées dès la première volée de flèches. Les troupes capétiennes prennent la ville sans aucune autre résistance.
Le Cardinal Lambert Bourbon, évêque de Toulouse, est de nouveau fait prisonnier par Charles Capet.
En récompense de l'exploit de ses archers, Jeanne Capet reçoit le titre de comtesse du Poitou.
Les trois sections d'archers sous le commandement de la jeune Jeanne tirent sur les défenseurs. Les trois unités de sergents de ville poitevins sont exterminées dès la première volée de flèches. Les troupes capétiennes prennent la ville sans aucune autre résistance.
Le Cardinal Lambert Bourbon, évêque de Toulouse, est de nouveau fait prisonnier par Charles Capet.
En récompense de l'exploit de ses archers, Jeanne Capet reçoit le titre de comtesse du Poitou.
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Bataille de Poitiers (1308)
Bataille de Poitiers (1308)
(Petite erreur de jeu. 2 archers font bien 1 dé +1. Obtenant 2 sur le dés, le total des trois pertes est bien suffisant pour éliminer trois pions Sergent. Cependant, la cité de Poitiers, en temps que capitale du Poitou, a 2 niveaux de fortification, et annule donc 2 niveaux de tir d'archer. Le tir des archers aurait dû rester sans effet. Mais bon, vu la différence de force : 2 unités d'archers et 3 unités de sergents pour Jeanne, 6 unités de chevaliers pour Charles, contre 3 unités de sergents pour Lambert, il était clair que Poitiers allait tomber de toute façon.)
Plus à l'est, François Capet, duc de Bourgogne, attaque Lyon.
Plus à l'est, François Capet, duc de Bourgogne, attaque Lyon.
Les archers lyonnais tirent à l'approche de l'ennemi, tuant une bonne partie des fantassins capétiens.
Les bombardes de l'assaillant abattent en partie les murs de la ville, permettant aux premiers chevaliers rouge carmin d'entrer en contact avec la garnison.
C'est à ce moment qu'Isabelle d'Orléans démontre une nouvelle fois sa ruse et son talent pour les stratagèmes, et organise une embuscade. Quelques braves combattants lyonnais orléanistes encerclent le seigneur capétien par surprise et le capturent.
L'armée attaquante ayant perdu son général, les combats cessent immédiatement.
C'est à ce moment qu'Isabelle d'Orléans démontre une nouvelle fois sa ruse et son talent pour les stratagèmes, et organise une embuscade. Quelques braves combattants lyonnais orléanistes encerclent le seigneur capétien par surprise et le capturent.
L'armée attaquante ayant perdu son général, les combats cessent immédiatement.
Quand les premières neiges tombent, la bannière dorée d'Orléans reste hissée en haut des remparts de Lyon.
Phase de fin de tour du tour 8 :
Tour de table des points de victoire.
(Les points de victoire liés à des titres portés par des seigneurs qui sont prisonniers comptent quand même pour leur joueur d'origine.)
Famille d'Orléans (jaune Or)
- baronnie du Dauphiné : 1PV
Total : 1PV.
Maison de Bourbon (Blanc)
- baronnie de Bretagne : 1PV
Total : 1PV.
Famille de Valois (Vert)
- comté de Normandie : 1PV
- roi : 1PV
Total : 2PV.
Famille Capet (rouge Carmin)
- duché d'Aquitaine : 1PV
- duché de Bourgogne : 1PV
- comté du Poitou : 1PV
Total : 3PV.
Victoire du joueur rouge.
« Pour Thierry : la Fronde. »
-Charles Capet, Tout ce que j'ai accompli, c'était en souvenir de mon frère ainé.
En cette fin de l'an de grâce 1308, les clameurs des combats retombées, une nouvelle ère de paix débuta sur le royaume de France.
La France avait un nouveau roi : Othon Ier. La querelle de succession avait pris officiellement fin.
Pour autant, son règne fut loin d'être sous le régime de l'absolutisme. Si le roi Othon jouit d'une influence certaine auprès des nobles du royaume, le féodalisme resta très fort, et les aristocrates les plus puissants du royaume, très indépendants.
Certains, même, restèrent en opposition farouche contre l'autorité royale. C'est ce qu'on appela « la Fronde ».
Un homme fut longtemps considéré comme le « véritable pouvoir du royaume ». Cet homme n'était autre que le chef des frondeurs : le Cardinal Charles Capet, duc d'Aquitaine et évêque de Reims.
La France avait un nouveau roi : Othon Ier. La querelle de succession avait pris officiellement fin.
Pour autant, son règne fut loin d'être sous le régime de l'absolutisme. Si le roi Othon jouit d'une influence certaine auprès des nobles du royaume, le féodalisme resta très fort, et les aristocrates les plus puissants du royaume, très indépendants.
Certains, même, restèrent en opposition farouche contre l'autorité royale. C'est ce qu'on appela « la Fronde ».
Un homme fut longtemps considéré comme le « véritable pouvoir du royaume ». Cet homme n'était autre que le chef des frondeurs : le Cardinal Charles Capet, duc d'Aquitaine et évêque de Reims.
FIN
Fin de la partie et du troisième jour de jeu. Ce 3ème jour aura duré un peu moins de 2h, pour un total d'environ 9h10 pour l'ensemble de la partie.
Expérience intéressante. Prendre des photos et enregistrer la partie sur un enregistreur vocal a permis un résumé très précis, probablement bien plus précis que mes notes écrites pour le résumé de ma partie des 1001 nuits. Par contre, 9 heures d'enregistrement, c'est très long à dépouiller. De plus, je trouve que c'est moins pratique que des notes écrites pour vérifier d'un coup d'œil si on n'a pas fait une erreur ou ce qui s'est passé au tour précédent.
Je pense que je réessaierai pour les prochaines parties jeux de plateau avec les larrons habituels de Paris.
En ce qui concerne le jeu lui-même, FIEF : France a l'air d'un jeu passionnant, mais la durée me fait un peu peur. Et un peu à l'ancienne, avec toutes ces petites règles pour résoudre les conflits entre les cartes ou les points de règles, et les petites exceptions qui arrivent dans les cas rares. De ce côté, il me rappelle un peu Dune de Descartes et les jeux de cette époque.
Le jeu prendra sans doute encore plus d'intérêt avec la dimension des négociations entre les joueurs, un aspect que j'ai très peu exploré. Autant j'arrive assez bien à faire semblant d'ignorer ce que les autres joueurs ont dans leur jeu pour me contrer ou me surprendre quand je prends les décisions pour le joueur actif, autant j'ai beaucoup de mal à simuler des négociations avec moi-même de façon plausible.
J'espère que ce résumé vous a plu. Si vous avez pris la peine de me lire jusqu'au bout, merci de laisser un petit commentaire sur le fil. Quelle famille était votre préférée ou celle que vous espériez voir l'emporter ?
(En vrai, c'est pas tellement pour transformer ce fil en Youtube, hein, il est évidemment pas monétisé, c'est juste que la stat "affichages" n'est pas du tout un outil pertinent pour m'aider à savoir si j'ai été lu ou pas.)
Expérience intéressante. Prendre des photos et enregistrer la partie sur un enregistreur vocal a permis un résumé très précis, probablement bien plus précis que mes notes écrites pour le résumé de ma partie des 1001 nuits. Par contre, 9 heures d'enregistrement, c'est très long à dépouiller. De plus, je trouve que c'est moins pratique que des notes écrites pour vérifier d'un coup d'œil si on n'a pas fait une erreur ou ce qui s'est passé au tour précédent.
Je pense que je réessaierai pour les prochaines parties jeux de plateau avec les larrons habituels de Paris.
En ce qui concerne le jeu lui-même, FIEF : France a l'air d'un jeu passionnant, mais la durée me fait un peu peur. Et un peu à l'ancienne, avec toutes ces petites règles pour résoudre les conflits entre les cartes ou les points de règles, et les petites exceptions qui arrivent dans les cas rares. De ce côté, il me rappelle un peu Dune de Descartes et les jeux de cette époque.
Le jeu prendra sans doute encore plus d'intérêt avec la dimension des négociations entre les joueurs, un aspect que j'ai très peu exploré. Autant j'arrive assez bien à faire semblant d'ignorer ce que les autres joueurs ont dans leur jeu pour me contrer ou me surprendre quand je prends les décisions pour le joueur actif, autant j'ai beaucoup de mal à simuler des négociations avec moi-même de façon plausible.
J'espère que ce résumé vous a plu. Si vous avez pris la peine de me lire jusqu'au bout, merci de laisser un petit commentaire sur le fil. Quelle famille était votre préférée ou celle que vous espériez voir l'emporter ?
(En vrai, c'est pas tellement pour transformer ce fil en Youtube, hein, il est évidemment pas monétisé, c'est juste que la stat "affichages" n'est pas du tout un outil pertinent pour m'aider à savoir si j'ai été lu ou pas.)
Mr. Shadow
Doux mon cœur, fermes mes intentions -mantra psi