21/03/2021, 22:01
(Modification du message : 06/04/2021, 21:05 par Lyzi Shadow.)
Tour 7
1307.
Élection de l'évêque d'Avignon.
Trois seigneurs sont éligibles : François Capet, duc de Bourgogne, Henri d'Orléans, et Gauvain d'Orléans.
François Capet, qui se voit devenir roi dans le futur, et dès lors ne peut entrer en religion, ne se présente pas. Gauvain d'Orléans, lui, est candidat.
La paroisse de Pau, sous influence bourbonne, et le premier cardinal de France, Lambert Bourbon, votent nul.
L'évêque de Lisieux, Beaudoin de Valois, et le second cardinal de France, Philippe de Valois, votent pour Gauvain d'Orléans, espérant que renforcer les orléanistes de Lyon permettra d'affaiblir la Maison de Bourbon.
L'évêque de Reims, Charles Capet, vote nul également.
Les paroisses de Lyon et de Montpellier, ainsi que le chef-lieu Avignon, sous influence orléaniste, votent pour Gauvain d'Orléans.
Avec 9 votes en sa faveur contre 6 votes nuls, Gauvain est élu évêque d'Avignon.
Élection du pape en Avignon.
Le Cardinal Lambert Bourbon, évêque de Toulouse ; Beaudoin de Valois, évêque de Lisieux ; Charles Capet, évêque de Reims et Gauvain d'Orléans, évêque d'Avignon, sont tous les quatre candidats.
Le premier cardinal de France vote pour lui-même, tandis que le second cardinal, le Cardinal Philippe de Valois, vote pour son propre frère, l'évêque Beaudoin.
À 1 vote contre 1, l'élection est dans une impasse : aucun candidat ne l'emporte.
Il n'y aura toujours pas de pape cette année.
Élection du roi de France par les pairs du royaume.
Parmi les grands barons du royaume (barons, comtes et ducs), seul François Capet peut être candidat, les autres étant soit dans les ordres, soit des femmes.
Malheureusement pour lui, son soutien est insuffisant autant auprès de la noblesse qu'au sein de l'Église.
En cet fin d'hiver 1307, la France est toujours sans roi.
Au printemps, Charles Capet, évêque de Reims, est nommé troisième cardinal de France.
Un nouveau seigneur valois fait son apparition : Othon, frère cadet de Beaudoin et Philippe, est à présent en Normandie auprès de son frère évêque de Lisieux.
Le Cardinal Charles Capet, évêque de Reims, prélève la dîme cardinale sur l'évêché de Toulouse, redirigeant vers les coffres de la famille Capet une bonne part des revenus agricoles bourbons à Toulouse et à Poitiers.
Peu de temps après, à Orléans, les citoyens nostalgiques des anciens seigneurs entrent en révolte. L'insurrection est cependant de courte durée, rapidement matée par la garnison pro-capétienne.
Élection de l'évêque d'Avignon.
Trois seigneurs sont éligibles : François Capet, duc de Bourgogne, Henri d'Orléans, et Gauvain d'Orléans.
François Capet, qui se voit devenir roi dans le futur, et dès lors ne peut entrer en religion, ne se présente pas. Gauvain d'Orléans, lui, est candidat.
La paroisse de Pau, sous influence bourbonne, et le premier cardinal de France, Lambert Bourbon, votent nul.
L'évêque de Lisieux, Beaudoin de Valois, et le second cardinal de France, Philippe de Valois, votent pour Gauvain d'Orléans, espérant que renforcer les orléanistes de Lyon permettra d'affaiblir la Maison de Bourbon.
L'évêque de Reims, Charles Capet, vote nul également.
Les paroisses de Lyon et de Montpellier, ainsi que le chef-lieu Avignon, sous influence orléaniste, votent pour Gauvain d'Orléans.
Avec 9 votes en sa faveur contre 6 votes nuls, Gauvain est élu évêque d'Avignon.
Élection du pape en Avignon.
Le Cardinal Lambert Bourbon, évêque de Toulouse ; Beaudoin de Valois, évêque de Lisieux ; Charles Capet, évêque de Reims et Gauvain d'Orléans, évêque d'Avignon, sont tous les quatre candidats.
Le premier cardinal de France vote pour lui-même, tandis que le second cardinal, le Cardinal Philippe de Valois, vote pour son propre frère, l'évêque Beaudoin.
À 1 vote contre 1, l'élection est dans une impasse : aucun candidat ne l'emporte.
Il n'y aura toujours pas de pape cette année.
Élection du roi de France par les pairs du royaume.
Parmi les grands barons du royaume (barons, comtes et ducs), seul François Capet peut être candidat, les autres étant soit dans les ordres, soit des femmes.
Malheureusement pour lui, son soutien est insuffisant autant auprès de la noblesse qu'au sein de l'Église.
En cet fin d'hiver 1307, la France est toujours sans roi.
Au printemps, Charles Capet, évêque de Reims, est nommé troisième cardinal de France.
Un nouveau seigneur valois fait son apparition : Othon, frère cadet de Beaudoin et Philippe, est à présent en Normandie auprès de son frère évêque de Lisieux.
Le Cardinal Charles Capet, évêque de Reims, prélève la dîme cardinale sur l'évêché de Toulouse, redirigeant vers les coffres de la famille Capet une bonne part des revenus agricoles bourbons à Toulouse et à Poitiers.
Peu de temps après, à Orléans, les citoyens nostalgiques des anciens seigneurs entrent en révolte. L'insurrection est cependant de courte durée, rapidement matée par la garnison pro-capétienne.
L'ordre restaurée dans l'Orléanais, il devient évident que la famille Capet est devenue la famille la plus riche de France.
Le Cardinal Charles Capet, évêque de Reims, lève une importante armée à Orléans. Novateur, il est le premier à faire construire de grandes bombardes, destinées à abattre les fortifications ennemies.
À Lyon, la famille d'Orléans en exil a enfin les fonds suffisants pour investir dans l'économie de la ville.
Le fief de Bretagne est fondé officiellement, la cité de Rennes devenant sa capitale. Blanche Bourbon, dite Blanche d'Arc, devient baronne de Bretagne.
Pendant ce temps, son frère aîné, le Cardinal Lambert Bourbon, évêque de Toulouse, ajoute des chevaliers et des archers aux forces de défense de sa ville.
Le fief de Normandie est également fondé officiellement. La cité de Lisieux sera sa capitale. C'est Othon de Valois qui en devient le comte.
Philippe de Valois termine les réparations des moulins de Calais.
Les Valois renforcent également la garnison de Paris, notamment avec des archers, par crainte de l'armée capétienne à Orléans, ainsi que celle de Lisieux, pour réfréner les ardeurs éventuelles de Blanche d'Arc.
Le Cardinal Charles Capet, évêque de Reims, lève une importante armée à Orléans. Novateur, il est le premier à faire construire de grandes bombardes, destinées à abattre les fortifications ennemies.
À Lyon, la famille d'Orléans en exil a enfin les fonds suffisants pour investir dans l'économie de la ville.
Le fief de Bretagne est fondé officiellement, la cité de Rennes devenant sa capitale. Blanche Bourbon, dite Blanche d'Arc, devient baronne de Bretagne.
Pendant ce temps, son frère aîné, le Cardinal Lambert Bourbon, évêque de Toulouse, ajoute des chevaliers et des archers aux forces de défense de sa ville.
Le fief de Normandie est également fondé officiellement. La cité de Lisieux sera sa capitale. C'est Othon de Valois qui en devient le comte.
Philippe de Valois termine les réparations des moulins de Calais.
Les Valois renforcent également la garnison de Paris, notamment avec des archers, par crainte de l'armée capétienne à Orléans, ainsi que celle de Lisieux, pour réfréner les ardeurs éventuelles de Blanche d'Arc.
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Le Royaume de France en 1307, avant la saison de la guerre
Le Royaume de France en 1307, avant la saison de la guerre
La saison des manœuvres est ouverte par les Capétiens.
Contre toute attente, le Cardinal Charles Capet, évêque de Reims, abandonne ses bombardes et une large armée de fantassins qu'il avait patiemment assemblée à Reims, pour partir, à la tête de tous ses chevaliers, dans une grande chevauchée en direction du sud-ouest du pays.
La garnison bourbonne de Limoges tente de leur bloquer le passage, mais c'est peine perdue. Les cavaliers taillent en pièce les défenseurs limogeauds, non sans quelques pertes de leur côté. Ils poursuivent, sans prendre la peine de s'arrêter pour saisir la ville, et atteignent les portes de Toulouse.
Limoges est restée bourbonne, mais elle n'est plus défendue.
Contre toute attente, le Cardinal Charles Capet, évêque de Reims, abandonne ses bombardes et une large armée de fantassins qu'il avait patiemment assemblée à Reims, pour partir, à la tête de tous ses chevaliers, dans une grande chevauchée en direction du sud-ouest du pays.
La garnison bourbonne de Limoges tente de leur bloquer le passage, mais c'est peine perdue. Les cavaliers taillent en pièce les défenseurs limogeauds, non sans quelques pertes de leur côté. Ils poursuivent, sans prendre la peine de s'arrêter pour saisir la ville, et atteignent les portes de Toulouse.
Limoges est restée bourbonne, mais elle n'est plus défendue.
Pendant ce temps, François Capet, duc de Bourgogne, laisse Orléans sous la protection des archers pour mener les fantassins et les bombardes de son frère jusqu'à Clermont.
La Maison de Bourbon est la deuxième à se mettre en mouvement.
Guenièvre Bourbon, duchesse d'Aquitaine et comtesse du Poitou, à la tête de l'armée de Poitiers, descend sur Toulouse à la rescousse de son frère aîné, prenant le Cardinal Charles Capet à revers.
Dans le même temps, au nord, Blanche d'Arc, baronne de Bretagne, laissant une petite garnison à Rennes, mène son armée jusqu'à Lisieux.
La réponse des Valois est immédiate : le Cardinal Philippe de Valois, évêque de Calais, quitte Paris avec une petite armée et atteint la capitale de Bretagne.
La famille d'Orléans en exil, quant à elle, préfère rester cloîtrée derrière les fortifications lyonnaises. Henri, Isabelle et Gauvain d'Orléans attendent anxieusement l'inévitable assaut de l'armée capétienne.
(Fin du deuxième jour de jeu. Un peu plus d'2h40 pour le deuxième jour, soit 7h10 depuis le début de la partie.)
La Maison de Bourbon est la deuxième à se mettre en mouvement.
Guenièvre Bourbon, duchesse d'Aquitaine et comtesse du Poitou, à la tête de l'armée de Poitiers, descend sur Toulouse à la rescousse de son frère aîné, prenant le Cardinal Charles Capet à revers.
Dans le même temps, au nord, Blanche d'Arc, baronne de Bretagne, laissant une petite garnison à Rennes, mène son armée jusqu'à Lisieux.
La réponse des Valois est immédiate : le Cardinal Philippe de Valois, évêque de Calais, quitte Paris avec une petite armée et atteint la capitale de Bretagne.
La famille d'Orléans en exil, quant à elle, préfère rester cloîtrée derrière les fortifications lyonnaises. Henri, Isabelle et Gauvain d'Orléans attendent anxieusement l'inévitable assaut de l'armée capétienne.
(Fin du deuxième jour de jeu. Un peu plus d'2h40 pour le deuxième jour, soit 7h10 depuis le début de la partie.)
L'automne est là.
Le Cardinal Charles Capet, évêque de Reims, et son armée uniquement composée de chevaliers, attaquent la cité de Toulouse, chef-lieu d'évêché et capitale du duché d'Aquitaine. Ils affrontent les deux armées du Cardinal Lambert Bourbon, évêque de Toulouse, qui commande la garnison, et de Guenièvre Bourbon, duchesse d'Aquitaine et comtesse du Poitou, prenant l'armée capétienne en tenaille en venant de Poitiers.
Les archers toulousains tirent une première volée sur les chevaliers capétiens, mais n'occasionnent aucune perte de conséquence.
Charles n'a ni bombardes, ni engins de siège. Ses chevaliers sont grandement ralentis par les fortifications de la cité, mais leur nombre est tel qu'ils escaladent les murs et submergent les défenses.
Le premier groupe de chevaliers à s'introduire réussit à éliminer tous les sergents de la ville, à l'exception des archers, avant d'être lui-même anéanti.
La deuxième groupe tue la moitié des chevaliers bourbons, mais est éliminé à son tour.
La bataille s'enlise un moment. Les assaillants capétiens n'arrivent pas à faire plus de progrès, tandis que les défenseurs ne parviennent pas non plus à leur infliger davantage de pertes. Finalement, les troupes capétiennes réussissent à éliminer les archers ennemis, avant d'être à nouveau tenues en échec par les derniers chevaliers toulousains.
Comme la première, cette nouvelle impasse ne dure pas, et les chevaliers blancs de Toulouse sont finalement vaincus.
Le Cardinal Charles Capet, évêque de Reims, et son armée uniquement composée de chevaliers, attaquent la cité de Toulouse, chef-lieu d'évêché et capitale du duché d'Aquitaine. Ils affrontent les deux armées du Cardinal Lambert Bourbon, évêque de Toulouse, qui commande la garnison, et de Guenièvre Bourbon, duchesse d'Aquitaine et comtesse du Poitou, prenant l'armée capétienne en tenaille en venant de Poitiers.
Les archers toulousains tirent une première volée sur les chevaliers capétiens, mais n'occasionnent aucune perte de conséquence.
Charles n'a ni bombardes, ni engins de siège. Ses chevaliers sont grandement ralentis par les fortifications de la cité, mais leur nombre est tel qu'ils escaladent les murs et submergent les défenses.
Le premier groupe de chevaliers à s'introduire réussit à éliminer tous les sergents de la ville, à l'exception des archers, avant d'être lui-même anéanti.
La deuxième groupe tue la moitié des chevaliers bourbons, mais est éliminé à son tour.
La bataille s'enlise un moment. Les assaillants capétiens n'arrivent pas à faire plus de progrès, tandis que les défenseurs ne parviennent pas non plus à leur infliger davantage de pertes. Finalement, les troupes capétiennes réussissent à éliminer les archers ennemis, avant d'être à nouveau tenues en échec par les derniers chevaliers toulousains.
Comme la première, cette nouvelle impasse ne dure pas, et les chevaliers blancs de Toulouse sont finalement vaincus.
Le Cardinal Lambert Bourbon et la Comtesse Guenièvre Bourbon du Poitou sont tous deux faits prisonniers. Leur conquérant, le Cardinal Charles Capet, évêque de Reims, s'empare de Toulouse, devenant ainsi le nouveau duc d'Aquitaine.
À Lisieux, Blanche d'Arc ne lance pas l'attaque de la cité. Son armée reste cependant sur place.
À Rennes, l'armée du Cardinal Philippe de Valois, évêque de Calais, renonce également à lancer l'assaut.
Alors que l'hiver s'annonce, Blanche d'Arc pose le siège à Lisieux. L'armée valoise l'imite à Rennes.
À Rennes, l'armée du Cardinal Philippe de Valois, évêque de Calais, renonce également à lancer l'assaut.
Alors que l'hiver s'annonce, Blanche d'Arc pose le siège à Lisieux. L'armée valoise l'imite à Rennes.
Mr. Shadow
Doux mon cœur, fermes mes intentions -mantra psi