23/07/2020, 23:26
En jouant et rejouant cette aventure, j'ai eu le sentiment qu’elle était parfaitement construite pour le format, un peu à la façon de frère Edgard.
Si ma première tentative c'est fini dans le flou, avec le sentiment d'être passé à côté de beaucoup de chose (fin Demain est un autre jour), la seconde tentative, j'ai réussit à atteindre le score de conscience requis pour avoir les révélations du "coupable". Bon, le fait de savoir le thème du mini-yaz m'avait mis la puce à l'oreille dès ma première tentative, ça n'aurait pas été aussi simple si j'étais dans l'ignorance du thème et les révélation aurait été probablement plus surprenante. Quoiqu'il en soit, j'ai finit sur la même fin, n'étant pas convaincus par les intentions du prêtre que j'avais rencontré plus tôt. Disons que je me suis plus senti en adéquation avec les idées d'Acracio ^^
J'ai plus récemment exploré les autres fins. L'AVH est construite un petit peu en trompe-l’œil, avec des choix qui sont présentés de façon similaire, mais qui ne mènent pas aux mêmes paragraphes selon la situation. J'ai trouvé ça plutôt simple mais astucieux. Sinon le personnage principal est probablement le personnage parfait pour vivre cette journée particulière, c'est un bon point.
Une sympathique fable moderne pourrait-on dire. Maitrisée dans son propos, et dans son interactivité. Ça m'a fait penser à des comédies américaines type Invention of Lying qui a un postulat de base original du même type (le mensonge n'existe pas, sauf pour un type qui découvre le concept à l'époque moderne), mais qui souffre hélas d'être justement une comédie américaine avec son côté lourdingue. D'un autre côté, je me dis que ce genre de film ne pourrait pas fonctionner si ce n'étaient pas des comédies justement. Et bien voilà quelque chose que la littérature interactive a réussit à faire, et où le cinéma a pour l'instant échoué, bien joué Loi-Kymar ^^ !
Si ma première tentative c'est fini dans le flou, avec le sentiment d'être passé à côté de beaucoup de chose (fin Demain est un autre jour), la seconde tentative, j'ai réussit à atteindre le score de conscience requis pour avoir les révélations du "coupable". Bon, le fait de savoir le thème du mini-yaz m'avait mis la puce à l'oreille dès ma première tentative, ça n'aurait pas été aussi simple si j'étais dans l'ignorance du thème et les révélation aurait été probablement plus surprenante. Quoiqu'il en soit, j'ai finit sur la même fin, n'étant pas convaincus par les intentions du prêtre que j'avais rencontré plus tôt. Disons que je me suis plus senti en adéquation avec les idées d'Acracio ^^
J'ai plus récemment exploré les autres fins. L'AVH est construite un petit peu en trompe-l’œil, avec des choix qui sont présentés de façon similaire, mais qui ne mènent pas aux mêmes paragraphes selon la situation. J'ai trouvé ça plutôt simple mais astucieux. Sinon le personnage principal est probablement le personnage parfait pour vivre cette journée particulière, c'est un bon point.
Une sympathique fable moderne pourrait-on dire. Maitrisée dans son propos, et dans son interactivité. Ça m'a fait penser à des comédies américaines type Invention of Lying qui a un postulat de base original du même type (le mensonge n'existe pas, sauf pour un type qui découvre le concept à l'époque moderne), mais qui souffre hélas d'être justement une comédie américaine avec son côté lourdingue. D'un autre côté, je me dis que ce genre de film ne pourrait pas fonctionner si ce n'étaient pas des comédies justement. Et bien voilà quelque chose que la littérature interactive a réussit à faire, et où le cinéma a pour l'instant échoué, bien joué Loi-Kymar ^^ !