19/06/2020, 21:38
Merci à vous tous pour vos retours. Je vais répondre en vrac sur les différents aspects.
D’abord, Jehan, tu m’as inquiété avec ce point que tu soulèves. Je ne vois pas le souci en fait ^^. Lorsqu’on participe à l’atelier d’Ogun, il nous propose, si on suit la stratégie infiltrée, de participer au déplacement du trône lors de Beltaine, c’est-à-dire le troisième jour (Beltaine, c’est le 1er mai celte). Chose qu’on accepte forcément, car c’est l’unique moyen d’approcher notre objectif. Donc normal que le deuxième jour, il n’y a rien à faire de ce point de vue. Il te faut t’occuper autrement dans l’attente du troisième jour où tu as pu aider au déplacement du trône. J’avais initialement prévu une deuxième façon d’obtenir la reconnaissance d’Ogun, une sorte de quête livreur UPS où il fallait récupérer des objets pour son compte, on en retrouve d’ailleurs des reliquats dans des situations où on nous file des trucs sans qu’on sache vraiment pourquoi. C’est une des quelques autres possibilités que j’ai dû supprimer faute de place.
Pour l’équilibrage, c’est du n’importe quoi de ma part. Vous êtes déjà 3 à avoir réussi dès le premier coup, j’aurais bien aimé que vous profitiez d’au moins une des fins alternatives (celle du 20 par exemple, notamment pour Jehan). Tout comme les relectures ortho et stylistique, je n’ai pas eu le temps de prendre le recul nécessaire. Je suis d’ailleurs très surpris que le tout tienne un minimum en fait.
Pour ce qui est de l’aspect égrégore et philosophico-mystique, oui, là encore, je ne suis pas allé jusqu’au bout dans la reflexion. Initialement, les personnages qu’on rencontrait devaient être des égrégores, conscient de ce qu’ils sont, à la façon des personnages d’American Gods pour ceux qui connaissent. Puis à mi-écriture, je me suis dit que ça serait tout aussi bien que ces pnj soient des personnages ancrés (et prisonniers) de cette réalité, quitte à pousser la logique gnostique un peu plus. Au final, il reste un entre deux, pas très cohérent et expliqué de façon bien lourdingue je dois reconnaître . J’essayerai d’être plus solide dans ma conception et plus évasif dans la description la prochaine fois, en laissant le lecteur libre d’interpréter certaines choses.
Skarn, quand tu évoques le peu d’implication émotionnelle du personnage, j’ai essayé de faire de mon mieux. Car mine de rien, il a quand même un certain attachement à ce monde, qui vient en opposition à son désir de revenir à son niveau de réalité, même si ce dernier reste prédominant. C’était un peu le but de certains choix, comme celui de rester auprès d’Ogun et Belissama lors de la bataille de rue. Quelque chose que j’essayerai un minimum d’approfondir si je reprends l’aventure au-delà des corrections de styles et d’orthographe.
Meneldur, oui, on est limite par moment dans la description d’univers comme dans un livre de contexte de jeu de rôle, je le reconnais, et, si ça peut passer dans une œuvre de fiction, ça prend ici beaucoup trop de place, en raison du format essentiellement. J’ai eu les yeux plus gros que le ventre on va dire. Mais en même temps, comme le dit Jehan dans sa conclusion, les contraintes d’espace et de temps permettent de concrétiser quelque chose qui ne serait resté que très longtemps une idée dans un coin de ma tête. Donc voilà, c’est juste une petite fenêtre sur un monde mystérieux
Pour les inspirations, il y en a un paquet, dont certaines que ne je ne réalise qu’après coup. Je n’ai pas lu le Guide de la Ligue Communale, Gynogege, même si cette aventure me fait de l’œil depuis un bon moment. Pour recréer ce Paris alternatif je me suis inspiré de ce qui me passait par la tête, de la simple digression sur l’étymologie du nom d’un quartier (la Salpêtrière), jusqu’à la réinterprétation d’événements historiques.
D’abord, Jehan, tu m’as inquiété avec ce point que tu soulèves. Je ne vois pas le souci en fait ^^. Lorsqu’on participe à l’atelier d’Ogun, il nous propose, si on suit la stratégie infiltrée, de participer au déplacement du trône lors de Beltaine, c’est-à-dire le troisième jour (Beltaine, c’est le 1er mai celte). Chose qu’on accepte forcément, car c’est l’unique moyen d’approcher notre objectif. Donc normal que le deuxième jour, il n’y a rien à faire de ce point de vue. Il te faut t’occuper autrement dans l’attente du troisième jour où tu as pu aider au déplacement du trône. J’avais initialement prévu une deuxième façon d’obtenir la reconnaissance d’Ogun, une sorte de quête livreur UPS où il fallait récupérer des objets pour son compte, on en retrouve d’ailleurs des reliquats dans des situations où on nous file des trucs sans qu’on sache vraiment pourquoi. C’est une des quelques autres possibilités que j’ai dû supprimer faute de place.
Pour l’équilibrage, c’est du n’importe quoi de ma part. Vous êtes déjà 3 à avoir réussi dès le premier coup, j’aurais bien aimé que vous profitiez d’au moins une des fins alternatives (celle du 20 par exemple, notamment pour Jehan). Tout comme les relectures ortho et stylistique, je n’ai pas eu le temps de prendre le recul nécessaire. Je suis d’ailleurs très surpris que le tout tienne un minimum en fait.
Pour ce qui est de l’aspect égrégore et philosophico-mystique, oui, là encore, je ne suis pas allé jusqu’au bout dans la reflexion. Initialement, les personnages qu’on rencontrait devaient être des égrégores, conscient de ce qu’ils sont, à la façon des personnages d’American Gods pour ceux qui connaissent. Puis à mi-écriture, je me suis dit que ça serait tout aussi bien que ces pnj soient des personnages ancrés (et prisonniers) de cette réalité, quitte à pousser la logique gnostique un peu plus. Au final, il reste un entre deux, pas très cohérent et expliqué de façon bien lourdingue je dois reconnaître . J’essayerai d’être plus solide dans ma conception et plus évasif dans la description la prochaine fois, en laissant le lecteur libre d’interpréter certaines choses.
Skarn, quand tu évoques le peu d’implication émotionnelle du personnage, j’ai essayé de faire de mon mieux. Car mine de rien, il a quand même un certain attachement à ce monde, qui vient en opposition à son désir de revenir à son niveau de réalité, même si ce dernier reste prédominant. C’était un peu le but de certains choix, comme celui de rester auprès d’Ogun et Belissama lors de la bataille de rue. Quelque chose que j’essayerai un minimum d’approfondir si je reprends l’aventure au-delà des corrections de styles et d’orthographe.
Meneldur, oui, on est limite par moment dans la description d’univers comme dans un livre de contexte de jeu de rôle, je le reconnais, et, si ça peut passer dans une œuvre de fiction, ça prend ici beaucoup trop de place, en raison du format essentiellement. J’ai eu les yeux plus gros que le ventre on va dire. Mais en même temps, comme le dit Jehan dans sa conclusion, les contraintes d’espace et de temps permettent de concrétiser quelque chose qui ne serait resté que très longtemps une idée dans un coin de ma tête. Donc voilà, c’est juste une petite fenêtre sur un monde mystérieux
Pour les inspirations, il y en a un paquet, dont certaines que ne je ne réalise qu’après coup. Je n’ai pas lu le Guide de la Ligue Communale, Gynogege, même si cette aventure me fait de l’œil depuis un bon moment. Pour recréer ce Paris alternatif je me suis inspiré de ce qui me passait par la tête, de la simple digression sur l’étymologie du nom d’un quartier (la Salpêtrière), jusqu’à la réinterprétation d’événements historiques.