10/10/2018, 18:16
(10/10/2018, 17:14)gynogege a écrit : ...je soupçonne qu'historiquement les récits étaient d'abord affaire de narration plus que de scénario, c'est à dire qu'il s'agissait avant tout de captiver l'auditoire qui n'aura pas forcément l'envie de décortiquer l'histoire après-coup pour chercher les ficelles ou les incohérences...
Ouaip, quand on lit les romans de chevalerie de Chrétien de Troyes en français moderne, on ouvre des yeux ronds comme des soucoupes, tellement la charrette du chevalier du même nom semble bancale et zigzagante !
L'abord de l'histoire était plus naïf et basé sur le ressenti et le plaisir immédiat. Comme jadis devant un DF. Pas de fact checking, de quête d'une motivation de la cohérence à l'intérieur des tenants et aboutissants.