02/10/2018, 21:19
Bonjour à tous,
J'ai moi aussi parcouru le dernier Livingstone, avec bonheur en redécouvrant des sentiers familiers et en me replongeant en enfance parce qu'il recapture l'essentiel des tiques qu'il se traîne depuis 30 ans.
Bien sûr l'aventure est linéaire et nous incarnons un clochard qui se traîne une brouette d'objets, tellement qu'il peut se reconvertir à la fin de l'aventure en ferailleur vu le nombre d'objets en or/argent/cuivre/plomb/laiton etc etc qu'on recupère, et le coup du fronton transporté à bout de griffes par un faucon géant .
Mais je crois que Livingstone a introduit ce que les auteurs ne prennent pas le temps d'introduire : un quotidien à l'univers de Titan. Il a introduit les concours de mangeurs de tourte, le loft story à la mode de Fang, des nains qui vivent en bord de rivière, une montagne rouge à cause d'herbes. Des situations banales, montrant qu'il y a un avant et un après de l'aventure.
J'ai lu "le dragon de la nuit" juste avant, où tout était solennel, tout était grandiose (les trois picèes d'équipements, les nains les géants, le nécromant, le dragon, le culte...) et se voulait épique. presque trop sérieux. Livingstone n'a pas cette ambition. Son ambition est ce qui est proche, ce qui est là tous les jours sous les yeux de chaque habitant de titan.
Ici, il décrit des flux commerciaux, le développement d'une ville, des pass commerciaux et des vendeurs de chapeaux, l'aventurier raté grincheux. J'ai beaucoup aimé la scène du zombie enfermé par ses collègues. Ca part dans tous les sens, mais on est curieux de découvrir ce monde.
J'ai moi aussi parcouru le dernier Livingstone, avec bonheur en redécouvrant des sentiers familiers et en me replongeant en enfance parce qu'il recapture l'essentiel des tiques qu'il se traîne depuis 30 ans.
Bien sûr l'aventure est linéaire et nous incarnons un clochard qui se traîne une brouette d'objets, tellement qu'il peut se reconvertir à la fin de l'aventure en ferailleur vu le nombre d'objets en or/argent/cuivre/plomb/laiton etc etc qu'on recupère, et le coup du fronton transporté à bout de griffes par un faucon géant .
Mais je crois que Livingstone a introduit ce que les auteurs ne prennent pas le temps d'introduire : un quotidien à l'univers de Titan. Il a introduit les concours de mangeurs de tourte, le loft story à la mode de Fang, des nains qui vivent en bord de rivière, une montagne rouge à cause d'herbes. Des situations banales, montrant qu'il y a un avant et un après de l'aventure.
J'ai lu "le dragon de la nuit" juste avant, où tout était solennel, tout était grandiose (les trois picèes d'équipements, les nains les géants, le nécromant, le dragon, le culte...) et se voulait épique. presque trop sérieux. Livingstone n'a pas cette ambition. Son ambition est ce qui est proche, ce qui est là tous les jours sous les yeux de chaque habitant de titan.
Ici, il décrit des flux commerciaux, le développement d'une ville, des pass commerciaux et des vendeurs de chapeaux, l'aventurier raté grincheux. J'ai beaucoup aimé la scène du zombie enfermé par ses collègues. Ca part dans tous les sens, mais on est curieux de découvrir ce monde.