02/09/2018, 16:35
(Modification du message : 02/09/2018, 16:36 par MerlinPinPin.)
Concernant le côté "grotesque", c'est évidemment une question de point de vue, un peu comme les hommes de la Renaissance pourraient (je ne sais pas) trouver grotesque certains aspects de notre mode de vie ou de notre monde. Disons que ça m'a souvent semblé vraiment exotique, notamment le mélange d'éléments contemporains (l'Elysée, etc.) et d'éléments futuristes extrêmement avancés (les robots, sans parler de Cortex ^^)
Quant au côté "délirant" du personnage, je pensais surtout à son idée de départ.
En fait, Gynogege, il s'agit effectivement de la réflexion sur la perte d'humanité au sens large (perte d'humanité du monde qui nous entoure, perte d'humanité des humains eux-mêmes) qui m'a paru nouvelle. Le fait que, disons, ce soit l'optimisation à tout crin de la productivité, de l'effort, du fonctionnement de la société dans son ensemble, qui puisse mener à un tel naufrage, me semble assez nouveau.
Je n'avais jamais intégré l'hypothèse que la déshumanisation et les dérives du management que je perçois au quotidien dans mon environnement et à travers mon métier puissent perdurer en fait... Je crois profondément à une réaction massive, à un effet de saturation, à un rééquilibrage naturel ou au contraire à un soubresaut violent.
Mais effectivement, si on suit la logique...
Quant au côté "délirant" du personnage, je pensais surtout à son idée de départ.
En fait, Gynogege, il s'agit effectivement de la réflexion sur la perte d'humanité au sens large (perte d'humanité du monde qui nous entoure, perte d'humanité des humains eux-mêmes) qui m'a paru nouvelle. Le fait que, disons, ce soit l'optimisation à tout crin de la productivité, de l'effort, du fonctionnement de la société dans son ensemble, qui puisse mener à un tel naufrage, me semble assez nouveau.
Je n'avais jamais intégré l'hypothèse que la déshumanisation et les dérives du management que je perçois au quotidien dans mon environnement et à travers mon métier puissent perdurer en fait... Je crois profondément à une réaction massive, à un effet de saturation, à un rééquilibrage naturel ou au contraire à un soubresaut violent.
Mais effectivement, si on suit la logique...