02/09/2018, 00:22
(31/08/2018, 11:19)Skarn a écrit : Moi monsieur, moi monsieur, moi j'ai pensé à Paradoxes. C'est d'ailleurs l'aventure que j'avais en tête quand j'évoquais la formule "mourir très vite, recommencer, remourir très vite, mais différemment, et progresser peu à peu ainsi".Je suis ému de voir qu'il y en a au moins un ! *larme*
(31/08/2018, 12:45)Jehan a écrit :Tu as jusqu'à demain soir pour faire ton retour ! AU TAF !Effectivement, elle fait partie des nombreuses A.V.H. que je n’ai pas encore lues, ce n’était donc pas un oubli de ma part mais bien de l’ignorance. Je tâcherai de combler ce trou dans ma culture biblioludique. : )
(31/08/2018, 11:35)tholdur a écrit : Il n'y a pas écueils, car les voyages dans le temps tombent sous le coup du paradoxe du grand-père et de l'écrivain (il en est d'ailleurs question dans le texte si je me souviens bien).Alors pour le coup, je ne suis pas totalement d'accord.
Il est impossible de passer outre. Le premier exemple qui me vient en tête est toujours celui de John Connor qui envoi son père dans le passé protéger sa mère, et sa conception ne se produit que suite à ce voyage dans le passé. John ne devrait pas exister "avant" qu'il ait été conçu, et ne devrait pas être là "la première fois" pour envoyer son père (qui ne l'est pas encore!) dans le passé.
Voyage dans le temps implique forcément paradoxe insoluble.
Bon je vais faire le pavé en spoiler, pour éviter de dévier.
(31/08/2018, 16:17)MerlinPinPin a écrit : En tous cas, je me doute bien ne pas être le seul à avoir travaillé sur de tels concepts. Malheureusement je n'ai pas encore lu "Paradoxes" : je suis maintenant très curieux de la découvrir !Tout comme Jehan, tu as jusqu'à demain soir
Citation :Concernant le peu de texte et le rôle trop secondaire d'Orphéa et de Graciosa, je suis tout à fait d'accord.J'ai bien compris que les rôles limités étaient essentiellement dûs au 50 sections (je trouve d'ailleurs que l'aventure réussi remarquablement à camoufler sa taille malgré cette limite), mais ce n'est pas vraiment cet aspect qui m'a gêné. Moins que le "rôle limité", c'est la "présence limitée" et, pour Orphéa, l'aspect vraiment "j'ai l'impression d'avoir raté quelque-chose". Il aurait peut-être fallu un petit passage au moins de présentation minimaliste d'Orphéa (au-delà de la vision qu'en a eu Graciosa lors de l'introduction) qui permette de la replacer un peu dans le contexte, et quelques interventions "neutres" supplémentaires pour montrer sa présence.
En fait je me suis retrouvé confronté à une équation complexe : développer une histoire vraiment intéressante avec Laurine, intégrer Orphéa et Graciosa, et respecter la limitation des 50 paragraphes
(tout le reste va concerner des SPOILERS MASSIFS)
Citation :Merci encore en tous cas !Tu noteras que j'aime pinailler sur l'aspect logique/scientifique
Car bien que le débat scientifique ou logique soit passionnant, c'est bien ce que tu décris (aspect poétique et émotionnel) qui m'intéresse le plus, et je suis très touché que tu l'aies perçu ainsi.
Mais cela ne m'empêche pas effectivement de voir la direction donnée et voulue par l'AVH ^^
(d'ailleurs je retrouve beaucoup la même situation que celle de Mea Culpa, avec une histoire et une ambiance très bien dosées, mais quelques cafouillages sur certaines fins que l'on excuse parce qu'ils sont plus ou moins annexes ^^)
La violence n'est pas la bonne réponse !
La violence est la question. La bonne réponse est "oui".
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