Cette AVH m'a bien entendu fait tout de suite penser à Vers le Crépuscule, avec ses scènes de carnage suite à une bataille, la nuit qui approche et les multiples chemins à suivre pour trouver un moyen de traîter les tentatives de manipulation magique d'un intru étrange.
Mais là où Outremer jouait avec les mécaniques et la fantasy flamboyante, nous avons là plutôt une poésie introspective. Un choix entre deux aspects de l'existence, qui se reflète dans la psychologie du personnage et réussi à proposer deux visions valides et jouer un rôle dans les fins atteignables, je dis bravo.
Le traitement tout en subtilité et en douceur malgré la violence que l'on y trouve parfois donne à l'AVH une ambiance mélancolique et poétique très particulière, et l'établie fermement commeune AVH "à ambiance". L'histoire elle-même est au final assez secondaire, ce qui compte étant plus les tourments de l'héroïne et la solitude qui lui pèse.
Les choix sont assez logiques et raisonnables (j'ai fini du premier coup) et les fins assez bien pensées (et PAS MOYEN que je fasse un coup aussi dégueulasse à mon fidèle compagnon canin qui m'a tiré d'affaire loyalement et sans rien attendre en retour).
J'ai beaucoup aimé cette ambiance et cette sorte de douceur émanant de l'ouvrage. Peut-être la moins flamboyante des AVH de cette année, mais cette sobriété n'est en rien un défaut à mes yeux, et je me suis laissé porter avec beaucoup de plaisir.
Mais là où Outremer jouait avec les mécaniques et la fantasy flamboyante, nous avons là plutôt une poésie introspective. Un choix entre deux aspects de l'existence, qui se reflète dans la psychologie du personnage et réussi à proposer deux visions valides et jouer un rôle dans les fins atteignables, je dis bravo.
Le traitement tout en subtilité et en douceur malgré la violence que l'on y trouve parfois donne à l'AVH une ambiance mélancolique et poétique très particulière, et l'établie fermement commeune AVH "à ambiance". L'histoire elle-même est au final assez secondaire, ce qui compte étant plus les tourments de l'héroïne et la solitude qui lui pèse.
Les choix sont assez logiques et raisonnables (j'ai fini du premier coup) et les fins assez bien pensées (et PAS MOYEN que je fasse un coup aussi dégueulasse à mon fidèle compagnon canin qui m'a tiré d'affaire loyalement et sans rien attendre en retour).
J'ai beaucoup aimé cette ambiance et cette sorte de douceur émanant de l'ouvrage. Peut-être la moins flamboyante des AVH de cette année, mais cette sobriété n'est en rien un défaut à mes yeux, et je me suis laissé porter avec beaucoup de plaisir.
La violence n'est pas la bonne réponse !
La violence est la question. La bonne réponse est "oui".
La violence est la question. La bonne réponse est "oui".