Wow, totalement délirant ! Un remake du Le Manoir de l'Enfer par le fils sous extas / dyslexique de JH Brennan. Et ne dis pas non, Fifre : j'ai bien deviné ton identité secrète ! Et non, je ne la mettrai pas en balise spoiler, te voilà averti.
Les premiers paragraphes m'ont enthousiasmé, un jeu permanent sur la langue et la cocasserie des situations. Bon, on peine un peu à s'imprégner de l'histoire tant la chose est folle. Par exemple, sommes-nous chez nous ou dans la maison d'un tiers (payant) ? On se dit : à un moment il va nous dire « Je me réveille, ouf, tout cela n'était qu'un rêve, décidément plus jamais de rognons aux câpres avant le dodo. » Bah non, en fait on assiste... à un GN (Groupe Nominal ?) à la façon du film The Game mais en pire. Ensuite se mettent en place des mécanismes d'OTP ultime. Que j'ai esquivés tel un joueur de balle aux prisonniers. Comme d'autres lecteurs, je pense, le jeu à la loyale a vite été mis de côté pour lire les sections dans l'ordre numérique (avez-vous remarqué qu'il y en a 51 au lieu de 50 ? Regardez aux alentours du paragraphe 9...).
Je n'ai pas bien saisi quel était finalement le nom du Démon du Foyer. Conclusivement, ça se termine relativement mal, ou, mâle, puisqu'on perdra notre femelle. Enfin notre femme, quoi. C'est pas grave, de toute façon elle en pinçait pour un requin aux dents longues et en prime on la trompe avec une professionnelle qui parle comme un cosplay d'Arletty.
Si vous vous posez encore des questions sur le sens de l'intrigue, le sens de la vie, le sens de circulation, sur la fin de l'histoire, sur la fin du monde ou la faim dans le monde, dites-vous que La Maison aux Esprits ne vous donnera qu'une seule réponse : escargot. Ces sympathiques gastéropodes à maison colimaçonnée reviennent en effet comme une image obsédante de la première à la dernière ligne droite. Je vous dis pas le pain sévère que le psy de Fifre doit avoir sur la planche.
Du pain au beurre d'escargot, évidemment.
Bref, je n'ai rien pigé mais j'ai beaucoup rigolé !
EDIT : maintenant que j'ai posté, je lis les feeds précédents... Ah en fait c'était pas un délire, c'était véritablement un jeu, pouvant se jouer en vrai ! C'est peut-être ça, le plus démoniaque de l'affaire
Les premiers paragraphes m'ont enthousiasmé, un jeu permanent sur la langue et la cocasserie des situations. Bon, on peine un peu à s'imprégner de l'histoire tant la chose est folle. Par exemple, sommes-nous chez nous ou dans la maison d'un tiers (payant) ? On se dit : à un moment il va nous dire « Je me réveille, ouf, tout cela n'était qu'un rêve, décidément plus jamais de rognons aux câpres avant le dodo. » Bah non, en fait on assiste... à un GN (Groupe Nominal ?) à la façon du film The Game mais en pire. Ensuite se mettent en place des mécanismes d'OTP ultime. Que j'ai esquivés tel un joueur de balle aux prisonniers. Comme d'autres lecteurs, je pense, le jeu à la loyale a vite été mis de côté pour lire les sections dans l'ordre numérique (avez-vous remarqué qu'il y en a 51 au lieu de 50 ? Regardez aux alentours du paragraphe 9...).
Je n'ai pas bien saisi quel était finalement le nom du Démon du Foyer. Conclusivement, ça se termine relativement mal, ou, mâle, puisqu'on perdra notre femelle. Enfin notre femme, quoi. C'est pas grave, de toute façon elle en pinçait pour un requin aux dents longues et en prime on la trompe avec une professionnelle qui parle comme un cosplay d'Arletty.
Si vous vous posez encore des questions sur le sens de l'intrigue, le sens de la vie, le sens de circulation, sur la fin de l'histoire, sur la fin du monde ou la faim dans le monde, dites-vous que La Maison aux Esprits ne vous donnera qu'une seule réponse : escargot. Ces sympathiques gastéropodes à maison colimaçonnée reviennent en effet comme une image obsédante de la première à la dernière ligne droite. Je vous dis pas le pain sévère que le psy de Fifre doit avoir sur la planche.
Du pain au beurre d'escargot, évidemment.
Bref, je n'ai rien pigé mais j'ai beaucoup rigolé !
EDIT : maintenant que j'ai posté, je lis les feeds précédents... Ah en fait c'était pas un délire, c'était véritablement un jeu, pouvant se jouer en vrai ! C'est peut-être ça, le plus démoniaque de l'affaire