04/01/2018, 19:18
(Modification du message : 04/01/2018, 19:25 par Voyageur Solitaire.)
Ha effectivement, je me suis embrouillé au sujet des chevaux, autant pour moi. Alors disons que j'aurais mieux vu un grand chariot bâché plutôt qu'une diligence. Mais après tout, pourquoi pas ? Perso, je vois la civilisation reptilienne plutôt primitive mais on peut tout à fait imaginer une culture plus évoluée, chacun verra midi à sa porte là.
J'ai bien noté les descriptions "sensorielles" que tu mentionnes et finalement, j'atténue mon propos. Je dirais en fait qu'elles auraient gagnées à être accentuées, surtout dans la première partie où c'est la guerre, une sorte de paroxysme quelque part. D'autant plus qu'incarnant un homme-lézard, on peut imaginer des sens plus développés, plus sensibles que chez l'humain comme l'odorat et en jouer, parler d'une odeur de sang écoeurante, qui tourne la tête par exemple. Pareil pour l'odeur de poisson dans le port, on peut la renforcer en parlant d'une odeur forte, âcre, qui agresse les narines ou prend à la gorge. Pour le toucher, on peut mentionner du sang séché qui colle à la peau ou aux écailles. Je partirais donc plus sur une accentuation que sur la fréquence.
Mais bon, je prêche pour ma paroisse là... Il est vrai que j'ai tendance à accentuer mes descriptions dans mes AVH pour renforcer l'immersion mais chacun son style (en tant qu'auteur) et surtout son ressenti (en tant que lecteur). Certains apprécieront, d'autres trouveront ça trop lyrique ou chargé et préfèreront un style plus sobre et concis.
J'ai bien noté les descriptions "sensorielles" que tu mentionnes et finalement, j'atténue mon propos. Je dirais en fait qu'elles auraient gagnées à être accentuées, surtout dans la première partie où c'est la guerre, une sorte de paroxysme quelque part. D'autant plus qu'incarnant un homme-lézard, on peut imaginer des sens plus développés, plus sensibles que chez l'humain comme l'odorat et en jouer, parler d'une odeur de sang écoeurante, qui tourne la tête par exemple. Pareil pour l'odeur de poisson dans le port, on peut la renforcer en parlant d'une odeur forte, âcre, qui agresse les narines ou prend à la gorge. Pour le toucher, on peut mentionner du sang séché qui colle à la peau ou aux écailles. Je partirais donc plus sur une accentuation que sur la fréquence.
Mais bon, je prêche pour ma paroisse là... Il est vrai que j'ai tendance à accentuer mes descriptions dans mes AVH pour renforcer l'immersion mais chacun son style (en tant qu'auteur) et surtout son ressenti (en tant que lecteur). Certains apprécieront, d'autres trouveront ça trop lyrique ou chargé et préfèreront un style plus sobre et concis.
Anywhere out of the world