05/08/2017, 11:48
J’ai repensé à cette dualité entre l’aventurier et le poignard, et à la double lecture que j’évoquais dans ma critique. Et j’ai réalisé quelque chose.
On peut donc jouer l’aventure classiquement ; en mode Défis fantastiques, pourrais-je dire. La meilleure fin — « la plus spectaculaire », selon les mots de Skarn, celle où les deux scores, énergie et blessures, jouent vraiment un rôle — est alors très probablement le paragraphe 50. Le symbole est clair, l’issue victorieuse des D.F. traditionnels étant dans la grande majorité des cas le dernier paragraphe (celui avec le plus haut chiffre).
Mais si l’on joue (lit…) en rejetant les codes établis par Jackson et Livingstone, on se retrouve au paragraphe 37 (qu’on peut donc atteindre en restant totalement passif tout du long). Or, que se passe-t-il dans ce fameux paragraphe ?
On tue Yaztromo.
Je ne peux m’empêcher de voir là un autre symbole… Un poignard dans le dos est un hommage, mais derrière l’hommage s’en cache un autre… Merci pour tous les bons moments que vous nous avez offerts. Merci d’avoir ouvert la voie. Il est temps, maintenant, de vous retirer. Une infinité d’autres chemins attendent que l’écrivain viennent les arpenter, mais pour les explorer à fond, s’affranchir du carcan, il faut tuer le père…
Je ne sais pas si c’est ce qu’avait en tête Skarn quand il a rédigé Un poignard — le connaissant, je ne serais vraiment pas surpris que ce soit le cas — ou si c’est moi qui extrapole, mais je trouve cela… magistral.
On peut donc jouer l’aventure classiquement ; en mode Défis fantastiques, pourrais-je dire. La meilleure fin — « la plus spectaculaire », selon les mots de Skarn, celle où les deux scores, énergie et blessures, jouent vraiment un rôle — est alors très probablement le paragraphe 50. Le symbole est clair, l’issue victorieuse des D.F. traditionnels étant dans la grande majorité des cas le dernier paragraphe (celui avec le plus haut chiffre).
Mais si l’on joue (lit…) en rejetant les codes établis par Jackson et Livingstone, on se retrouve au paragraphe 37 (qu’on peut donc atteindre en restant totalement passif tout du long). Or, que se passe-t-il dans ce fameux paragraphe ?
On tue Yaztromo.
Je ne peux m’empêcher de voir là un autre symbole… Un poignard dans le dos est un hommage, mais derrière l’hommage s’en cache un autre… Merci pour tous les bons moments que vous nous avez offerts. Merci d’avoir ouvert la voie. Il est temps, maintenant, de vous retirer. Une infinité d’autres chemins attendent que l’écrivain viennent les arpenter, mais pour les explorer à fond, s’affranchir du carcan, il faut tuer le père…
Je ne sais pas si c’est ce qu’avait en tête Skarn quand il a rédigé Un poignard — le connaissant, je ne serais vraiment pas surpris que ce soit le cas — ou si c’est moi qui extrapole, mais je trouve cela… magistral.