Merci pour le lien, Mark. Je parcours... alors, pour résumer...
- ça commence comme une chasse au trésor, mais
- beaucoup d'allées et venues entre des lieux connus, traitées comme si les parcours étaient rapides et faciles. La dimension "voyage" apparaîtra peu. Le critique juge que les mêmes allées et venues dans La Crypte du Sorcier étaient plus réalistes, qu'on se rendait mieux compte des distances parcourues et de l'aspect périple.
- chronologie : après La Cité des Voleurs mais avant L'Île du Roi Lézard
- beaucoup de PNJ, des nains en lien de famille avec ceux déjà croisés dans La Forêt de la Malédiction, La Crypte du Sorcier, etc. Et
Ça, + les lieux connus
+ la référence à des quêtes passées = fan service évident.
- des brouettes et des brouettes d'objets inutiles à transporter
- quelques erreurs logiques : on demande des nouvelles d'Untel sans avoir été avisé de son existence, on se sert d'un objet qu'on peut avoir perdu ou cassé...
- le style d'écriture change : un seul chemin et le lecteur y est maintenu de manière visible. Les voies de traverse mènent à un PFA ou ramènent vite au chemin principal. Les paragraphes s'allongent, y sont mélangés des récits (les nains aiment apparemment raconter leur légendes, leur généalogie, leurs anecdotes à la façon du Nain de Naheulbeuk). Le voca se simplifie, il est comparé à celui de Roald Dahl. Le critique pense que là, le fan service s'arrête et que Ian Livingstone veut reconquérir le jeune public. D'où (je suppose) le choix de travailler avec un nouvel éditeur, Scholastic, qui disposerait d'un réseau et d'une visibilité chez les enfants / ados et leurs parents ou enseignants.
- les combats seraient moins nombreux et plus abordables. Même le boss de fin ne serait pas inaccessible.
En résumé, Ian semble évoluer pour s'adapter à un jeune public, tout en cherchant à donner des gages aux anciens fans. Il fait des efforts sur la question de l'équilibrage du jeu, tout en gardant certains défauts.
- ça commence comme une chasse au trésor, mais
- beaucoup d'allées et venues entre des lieux connus, traitées comme si les parcours étaient rapides et faciles. La dimension "voyage" apparaîtra peu. Le critique juge que les mêmes allées et venues dans La Crypte du Sorcier étaient plus réalistes, qu'on se rendait mieux compte des distances parcourues et de l'aspect périple.
- chronologie : après La Cité des Voleurs mais avant L'Île du Roi Lézard
- beaucoup de PNJ, des nains en lien de famille avec ceux déjà croisés dans La Forêt de la Malédiction, La Crypte du Sorcier, etc. Et
- des brouettes et des brouettes d'objets inutiles à transporter
- quelques erreurs logiques : on demande des nouvelles d'Untel sans avoir été avisé de son existence, on se sert d'un objet qu'on peut avoir perdu ou cassé...
- le style d'écriture change : un seul chemin et le lecteur y est maintenu de manière visible. Les voies de traverse mènent à un PFA ou ramènent vite au chemin principal. Les paragraphes s'allongent, y sont mélangés des récits (les nains aiment apparemment raconter leur légendes, leur généalogie, leurs anecdotes à la façon du Nain de Naheulbeuk). Le voca se simplifie, il est comparé à celui de Roald Dahl. Le critique pense que là, le fan service s'arrête et que Ian Livingstone veut reconquérir le jeune public. D'où (je suppose) le choix de travailler avec un nouvel éditeur, Scholastic, qui disposerait d'un réseau et d'une visibilité chez les enfants / ados et leurs parents ou enseignants.
- les combats seraient moins nombreux et plus abordables. Même le boss de fin ne serait pas inaccessible.
En résumé, Ian semble évoluer pour s'adapter à un jeune public, tout en cherchant à donner des gages aux anciens fans. Il fait des efforts sur la question de l'équilibrage du jeu, tout en gardant certains défauts.