08/01/2017, 23:23
Merci de ton retour (et content que ça te plaise bien sûr).
C'est… compliqué. La communauté des livres-jeux numériques est éclatée en plein de petites sous-communautés, avec des niveaux d'exigence différents.
Dans certaines (celles descendant du papier), Cactus Blue sera considéré comme à la pointe techniquement.
Dans d'autres (celles fortement imbriquées dans le jeu vidéo), il sera simplement du niveau attendu pour une œuvre de ce type. Un peu comme on attend maintenant de tous les PDF de Litteraction qu'ils comportent des liens cliquables parce que c'est quand même bien pratique, ceux qui sont habitués aux textes numériques bien mis en page, jolis et fluides ne tolèrent plus un moindre niveau.
Dit autrement, une fois que la barre de la qualité a été relevée, les nouvelles productions, mêmes amateures, doivent s'élever pour l'atteindre.
Et non, je ne vous mets pas du tout la pression (et je me la mets à moi-même au passage).
Pour info, Cactus Blue a été fait avec Twine, un peu de CSS et un peu de JavaScript.
Coupable votre honneur.
Pour la petite histoire, j'ai hésité entre traduire cette histoire et traduire 16 Ways to Kill a Vampire at McDonalds (mes deux créations préférées de l'IFComp 2016… sachant que je n'ai rien lu ou presque des autres années). Une alternative qui elle était beaucoup plus orientée jeu, avec une forte rejouabilité, 16 fins différentes et plein de variations dans la manière de les atteindre.
Toutefois, j'appréciais trop l'ironie de faire une pause (dans l'écriture de mes propres avh) en traduisant un livre-jeu sur ce même thème pour laisser passer une telle opportunité.
Oui, je laisse des blagues que moi seul comprend guider ma vie.
Laisser planer le mystère ne me dérange pas personnellement et en plus, cette fois, j'ai la bonne excuse de ne pas en savoir plus que toi (puisque simple traducteur) pour ne pas en dévoiler plus.
Citation :Déjà, techniquement, ça en jette. J'avoue que je suis particulièrement fan de la police-néon! On retrouve effectivement l'interface de "fille de", mais en plus élaboré. C'est simple, ludique - et plus besoin de prendre des notes, ce qui est très agréable. Séduisant. Peut-être l'avenir et le renouveau du genre?...
C'est… compliqué. La communauté des livres-jeux numériques est éclatée en plein de petites sous-communautés, avec des niveaux d'exigence différents.
Dans certaines (celles descendant du papier), Cactus Blue sera considéré comme à la pointe techniquement.
Dans d'autres (celles fortement imbriquées dans le jeu vidéo), il sera simplement du niveau attendu pour une œuvre de ce type. Un peu comme on attend maintenant de tous les PDF de Litteraction qu'ils comportent des liens cliquables parce que c'est quand même bien pratique, ceux qui sont habitués aux textes numériques bien mis en page, jolis et fluides ne tolèrent plus un moindre niveau.
Dit autrement, une fois que la barre de la qualité a été relevée, les nouvelles productions, mêmes amateures, doivent s'élever pour l'atteindre.
Et non, je ne vous mets pas du tout la pression (et je me la mets à moi-même au passage).
Pour info, Cactus Blue a été fait avec Twine, un peu de CSS et un peu de JavaScript.
Citation :difficile de faire plus dirigiste et linéaire. J'ai pu constater lors de mes deuxièmes et troisièmes lectures que souvent, quoiqu'on choisisse, seul le début des paragraphes suivants change! Alors certes, les décisions prises tout au long de l'aventure ont un impact sur son résultat final, mais est-ce vraiment suffisant pour contenter l'amateur de récits interactifs?
Coupable votre honneur.
Pour la petite histoire, j'ai hésité entre traduire cette histoire et traduire 16 Ways to Kill a Vampire at McDonalds (mes deux créations préférées de l'IFComp 2016… sachant que je n'ai rien lu ou presque des autres années). Une alternative qui elle était beaucoup plus orientée jeu, avec une forte rejouabilité, 16 fins différentes et plein de variations dans la manière de les atteindre.
Toutefois, j'appréciais trop l'ironie de faire une pause (dans l'écriture de mes propres avh) en traduisant un livre-jeu sur ce même thème pour laisser passer une telle opportunité.
Oui, je laisse des blagues que moi seul comprend guider ma vie.
Citation :Les zones d'ombre, c'est bien, ça entretient le mystère et tout... mais c'était vraiment pas possible de nous en dire un peu plus, m'sieur dame?
Laisser planer le mystère ne me dérange pas personnellement et en plus, cette fois, j'ai la bonne excuse de ne pas en savoir plus que toi (puisque simple traducteur) pour ne pas en dévoiler plus.