Comme dans la pierre doit être sculptée, on rentre dans l'histoire et on y reste! Les psychologies sont fouillées et on a envie d'en savoir plus. Quelques fautes (un "ils" au lieu de "il" entre autre) mais quelle AVH n'en propose pas^^
Le problème c'est qu'on lit un récit, certes un super récit, et avec des variantes, mais sans jamais avoir de véritables interactions car les lignes directrices sont déjà toutes tracées. Si on fait telle action on va déclencher telle réaction comportementale. Mais dans l'absolu les personnages pourraient avoir des réactions différentes à ce que tu as décidé qu'elles seraient. C'est là qu'on n'a aucune prise réelle sur les événements. Ce qu'on peut faire c'est choisir une attitude à adopter, et ensuite on constate si c'était la bonne manière d'aider ou une plus maladroite. Alors oui les choses se tiennent, il y a une logique derrière. Mais je suis persuadé qu'on pourrait écrire une histoire similaire en changeant les caractères des patients, tout en leur conservant la même attitude initiale, et les attitudes bonnes ou maladroites de notre personnage ne seraient alors plus les mêmes.
Le thème de l'héritage est respecté car l'AVH est la digne héritière de La pierre doit être sculptée par sa structure, avec l'absence (presque?) totale de poids du lecteur dans le déroulement des choses. Bon je plaisante mais c'est vraiment un truc qui manque, ce sentiment qu'on est acteur dans le récit. Il faut laisser une part d'initiative au lecteur. Prévoir tous les chemins oui mais faire en sorte que le lecteur ait la sensation de construire son parcours, plutôt qu'il ait l'impression de lire un texte qui, même s'il est magistralement écrit, ne lui laisse (pratiquement?) pas de prise sur son déroulement.
J'ai préféré La pierre doit être sculptée, et il ne faudrait pas grand chose pour donner au lecteur un peu de "liberté" qui lui manque. Par exemple que le temps ne soit pas un leurre qui lui fait perdre la prise qu'il pense avoir sur les événements (quand on se rend compte à la fin que cela ne sert à rien, on se sent floué, on se dit même là je ne pouvais en fait rien contrôler, tout était déjà écrit). Et rajouter une mention aux ancêtres dans la conclusion. Pour Fille de, je pense qu'il faudrait énormément rallonger le texte.
Le problème c'est qu'on lit un récit, certes un super récit, et avec des variantes, mais sans jamais avoir de véritables interactions car les lignes directrices sont déjà toutes tracées. Si on fait telle action on va déclencher telle réaction comportementale. Mais dans l'absolu les personnages pourraient avoir des réactions différentes à ce que tu as décidé qu'elles seraient. C'est là qu'on n'a aucune prise réelle sur les événements. Ce qu'on peut faire c'est choisir une attitude à adopter, et ensuite on constate si c'était la bonne manière d'aider ou une plus maladroite. Alors oui les choses se tiennent, il y a une logique derrière. Mais je suis persuadé qu'on pourrait écrire une histoire similaire en changeant les caractères des patients, tout en leur conservant la même attitude initiale, et les attitudes bonnes ou maladroites de notre personnage ne seraient alors plus les mêmes.
Le thème de l'héritage est respecté car l'AVH est la digne héritière de La pierre doit être sculptée par sa structure, avec l'absence (presque?) totale de poids du lecteur dans le déroulement des choses. Bon je plaisante mais c'est vraiment un truc qui manque, ce sentiment qu'on est acteur dans le récit. Il faut laisser une part d'initiative au lecteur. Prévoir tous les chemins oui mais faire en sorte que le lecteur ait la sensation de construire son parcours, plutôt qu'il ait l'impression de lire un texte qui, même s'il est magistralement écrit, ne lui laisse (pratiquement?) pas de prise sur son déroulement.
J'ai préféré La pierre doit être sculptée, et il ne faudrait pas grand chose pour donner au lecteur un peu de "liberté" qui lui manque. Par exemple que le temps ne soit pas un leurre qui lui fait perdre la prise qu'il pense avoir sur les événements (quand on se rend compte à la fin que cela ne sert à rien, on se sent floué, on se dit même là je ne pouvais en fait rien contrôler, tout était déjà écrit). Et rajouter une mention aux ancêtres dans la conclusion. Pour Fille de, je pense qu'il faudrait énormément rallonger le texte.