Troisième essai ce week-end. Je progresse… mais n’en vois pas encore le bout.
Réflexion intense avant de recommencer l’aventure. Le déguisement m’a été très utile pour trouver Ae-Cha lors de mes deux premières tentatives, mais cette compétence ne m’a été demandée à aucun autre moment, alors que les armes de jet et le cambriolage auraient pu me servir à plusieurs reprises. J’aurais pu éviter la fuite de Masanoki (d’ailleurs, je crois que je me suis trompé dans le résumé précédent, ce n’est pas lui mais un complice que j’ai dû voir s’enfuir à cheval) avec une meilleure maîtrise du manriki, et j’ai toujours l’intuition que le vol à l’étalage du joaillier m’aurait permis d’avoir de quoi soudoyer le garde, et ainsi obtenir de précieuses informations. De même, j’aurais pu avoir l’occasion de mettre à contribution ces deux talents lors de mon exploration du bas-quartier, la première fois. Bref, je pense changer de compétence… mais pour laquelle ?
Je dois pouvoir passer le nāga grâce aux armes de jet et au lotus noir, mais, en l’absence de déguisement, je me dis que j’ai plus de chances d’atteindre dame Lucille grâce au cambriolage… De plus, je suis curieux de voir si mon intuition concernant le joaillier et le garde est bonne, par conséquent je décide finalement de jouer une cambrioleuse.
Autre dilemme, maintenant : dans quel ordre visiter les quartiers ? Le médaillon est très utile, mais je n’ai pas la certitude de passer le nāga… Et je sais que si je trouve un garuda, je peux sans doute vaincre le monstre. Je décide donc de commencer par les deux autres quartiers, en espérant que les trois doses de ma potion curative me maintiendront en vie, à défaut de médaillon, jusqu’à la tour de la sorcière.
C’est parti, donc. Je commence par le guerrier. Même parcours que la dernière fois : la marchande et le joaillier, auquel, cette fois, je subtilise le coffret, avant de me diriger vers la porte de l’Abondance. (En passant, je décide une nouvelle fois de sacrifier ma fiole de poison au tire-laine.)
Parenthèse, ici : au paragraphe 17, on peut multiplier le chiffre par deux pour atteindre plus vite la porte… mais est-ce que le paragraphe 17 compte dans le parcours , sachant qu’il possède un symbole temps ? J’ai considéré que oui (donc compté l’unité de temps), mais j’aimerais bien en avoir la confirmation.
Le contenu du coffret me permet bel et bien de soudoyer le garde ! Petit moment d’autosatisfaction, puis assimilation des informations : Masanoki réside chez le forgeron du village, un de ses complices dans le moulin, et l’autre surveille la route depuis l’observatoire… C’est donc lui qui m’a grillée, la dernière fois.
Dans la forêt, je décide donc de monter rendre une petite visite à ce type, en tâchant de le prendre par surprise. Je prends une blessure malgré cela, mais je le tue et en profite pour piquer la corde qui se trouve dans la fonte de son cheval. Je n’ai pas l’intention de retomber dans le piège de la guilde des Ombres, mais peut-être a-t-elle une autre utilité.
Au village, le texte me propose d’utiliser la compétence de déguisement. Damn it! Bon, tant pis, je décide de m’approcher du moulin pour neutraliser en premier lieu le second complice de ma cible. On ne sait jamais, des fois qu’il viendrait en renfort pendant que je m’occuperai de Masanoki… Argh ! une balle vient de m’atteindre. Il ne faisait donc pas confiance à son pote qui gardait la route, il fallait aussi qu’il surveille l’entrée du village ?! Bon, le coup de feu a forcément été entendu, pas de temps à perdre : je fonce à l’intérieur, et n’hésite pas longtemps avant de décider de le tuer lorsque le texte me demande de choisir. Bien m’en prend, car j’évite ainsi une blessure supplémentaire.
Vite, le suivant. Une demeure avec des chevaux devant, il est probablement à l’intérieur… oui, c’est bien lui. Ai-je des fumigènes ? Non, mais j’aperçois un récipient, dans lequel je vide ma fiole de belle-dame, que j’ai donc bien fait de garder. Le bougre lutte quand même malgré les effets du somnifère, et je perds une fois de plus quelques points de vitalité dans l’affaire, mais je finis par le terrasser, récupérant au passage deux des pousses. Mission (en partie) accomplie !
À l’extérieur, j’entends du bruit. Quelqu’un vient de voler un cheval pour s’enfuir, tout en ayant mutilé les autres pour éviter qu’on le poursuive. Qui diable, sachant que j’ai éliminé les deux complices de Masanoki en plus d’icelui ? Bon, peu importe, il est temps de reprendre la chasse — non sans avoir vidé deux doses de ma potion curative, pour remonter un score de vitalité malmené par les trois combats que je viens de livrer.
Toujours dans l’optique de trouver quelque chose qui pourrait m’aider à atteindre la sorcière, je décide de retourner explorer le bas-quartier, à la recherche de l’Incendiaire. Je prends un chemin différent de la première fois, n’ayant pas envie de retomber sur l’oni. Pénétrant dans un bâtiment, je découvre une fabrique de drogue. Un coup d’œil me permet de repérer une fiole de belle-dame. L’aubaine ! Mais dois-je la subtiliser et m’en aller ou ne pas y toucher et interroger plutôt les gens présents ? Je décide de l’emporter, ce serait trop bête de ne pas l’avoir à un moment où elle pourrait se révéler cruciale, et je trouverai bien d’autres personnes ou moyens pour atteindre mon but.
Un peu plus loin, je retombe sur mon ami, qui me prodigue les mêmes conseils que la dernière (et première) fois. Cette fois, je décide d’aller voir le racketteur. Peut-être qu’un ennemi de la guilde sera plus enclin à m’indiquer comment la trouver qu’un de ses membres. Me voici devant la porte de sa demeure. Cool, je peux la crocheter ! Pas d’hésitation… Oh ! la belle arbalète que voilà… Si seulement elle n’était pas pointée sur moi… Heureusement, le propriétaire des lieux est quelqu’un d’honnête de réceptif, et, coup de chance, il hait l’Incendaire, et me révèle donc comment trouver la guilde des Ombres. Je progresse !
Me voici devant le maître de la guilde, qui me demande ce que je veux à son hôte. J’ai le choix entre lui dire que je viens de la part du vice-préfet ou que j’agis pour des raisons personnelles… Évoquer l’autorité dans un tel lieu ne me paraît pas une bonne idée, donc je choisis l’autre option… mais il s’avère que je ne suis pas crue, à cause de mon ancienne relation avec l’Incendiaire ! Hmm, ces gens-là en savent donc plus que moi sur ma vie sentimentale, je me sens quand même un peu floué(e), dans l’histoire.
Retour dans un cachot que je connais déjà, mais cette fois, j’ai la compétence pour en sortir ! Après une brève exploration, je me retrouve face à deux portes. J’en prends une au hasard… qui m’amène au-dehors. Un bref instant, je crains que le texte ne m’offre pas la possibilité de revenir sur mes pas, mais, heureusement, la littérature interactive a fait de nets progrès depuis Ian Livingstone, et je peux retourner choisir l’autre porte.
Un groupe de types patibulaires en train de jouer au mah-jong (je présume) se dresse entre moi et la prochaine porte. Un tonneau, je suppose d’un quelconque alcool, est posé à côté d’eux, et je me félicite d’avoir récupéré une deuxième dose de somnifère. Les voilà rapidement transportés au pays des songes, et je peux pénétrer dans la pièce… De l’autre côté, une chambre, et dans celle-ci, l’Incendiaire !
Je m’approche de ce qui ressemble à un tiroir, mais, bizarrement, la case suivante n’en fait pas mention, et m’indique que j’ai réveillé ma cible en m’approchant du seuil de sa chambre. Quelle arme souhaité-je dégainer ? Pas de sentiments, ce sera les épées papillon… Argh ! mauvais choix. Je n’ai pas le temps de m’approcher suffisamment qu’il s’enfuit en jetant une bombe incendiaire à mes pieds. Je prends de nouveau quelques dégâts, et, surtout, je dis adieu à probablement plus de 1500 jaos…
Dommage, mais je sais désormais comment lui mettre la main dessus, la prochaine fois. Il est temps de retourner au 100. Mon compteur de temps est en dessous de 11, je peux donc me diriger vers les docks. En passant, j’ai considéré que l’icône du paragraphe 100 ne comptait pas pour le score de temps, ne la voyant que comme un simple indicateur. J’espère que je ne me trompe pas ?… C’est un peu ambigu.
Bref, le temps de vider ma fiole de potion curative, et direction les docks. Même parcours que la dernière fois jusqu’au Bateau de fleurs, mais je ne peux plus me déguiser, cette fois. Je décide d’explorer l’étage… Rien d’intéressant, à l’exception d’une… astérie ! que je subtilise à son propriétaire. Elle m’aurait permis d’entrer en contact facilement avec la guilde des Ombres, et ce n’est que maintenant que je la trouve…
Bon, revenons à nos moutons. Le cerbère qui me fait face n’est pas disposé à me laisser rentrer. Encore une fois, je préfère ne pas évoquer le vice-préfet, étant donné que je n’ai rien sur moi pour prouver que j’agis en son nom, donc je me fais plutôt passer pour une nouvelle « employée », mais ça ne prend pas, et je sors du lieu sans avoir obtenu ce que je voulais. Frustrant.
De retour sur les docks, je n’interroge pas le pêcheur, pensant, à tort, que c’est inutile. Je monte sur un bateau, j’aperçois une petite embarcation… mais je n’ai pas (officiellement) l’information comme quoi Ae-Cha est sur la plus grande des Trois Reines (ben oui, j’avais oublié que le pêcheur pouvait me l’apprendre). Je laisse donc là le frêle esquif, m’en vais parler au pêcheur (cette fois), et, suite à ses révélations, « emprunte » une barque pour me rendre sur l’île. Évidemment, son propriétaire arrive, furieux, un arc à la main… Je sais que je vais prendre une flèche, mais je serre les dents et je rame… Ouch, ça fait mal.
Une rencontre avec une tortue plus tard (je n’ai toujours pas trouvé l’objet qui me permettrait d’éviter la collision), me voici sur la plage, mais sans l’information concernant le tunnel, cette fois… C’est parti pour l’exploration de la jungle. Je ramasse un fumigène sur le parcours — décidément, j’ai le chic pour trouver des objets après qu’ils ont eu l’occasion d’être utiles —, vois mon score de vitalité descendre un peu trop bas à mon goût à cause de la flore et de la faune locale (saletés de moustiques !), avant d’arriver enfin en vue de la tour où se trouve ma dernière cible…
J’envisage un temps l’escalade, mais mon personnage n’a pas l’air convaincu que ce soit une bonne idée… Tant pis, je pénètre donc à l’intérieur… Tiens ! mon ami le nāga. Pas de médaillon, donc ? Damn it! (Bis.)
Bien… De toute façon, je sais que je meurs si je prends tout de suite l’escalier, donc je choisis l’autre approche… Tiens, un nouveau choix : je peux de nouveau monter l’escalier, ou m’approcher de la créature…
Intéressant. C’était donc ce qu’il fallait faire pour monter discrètement ? C’est vrai que c’est logique (je vous ai dit que je trouvais la jouabilité de cette aventure excellente ?), j’aurais dû faire confiance au savoir-faire de l’auteur, la dernière fois. Bon, je décide donc de monter plutôt que de risquer de me retrouver de nouveau face à la créature… Et, effectivement, j’arrive à la passer !… mais pas sans empêcher cette satanée bestiole de me mordre au passage, me faisant perdre 4 points de vitalité… et passer ainsi de vie à trépas.
Ae-Cha Meng, je te jure que lorsque je me retrouverai enfin devant toi, tu vas prendre très, très cher…
Réflexion intense avant de recommencer l’aventure. Le déguisement m’a été très utile pour trouver Ae-Cha lors de mes deux premières tentatives, mais cette compétence ne m’a été demandée à aucun autre moment, alors que les armes de jet et le cambriolage auraient pu me servir à plusieurs reprises. J’aurais pu éviter la fuite de Masanoki (d’ailleurs, je crois que je me suis trompé dans le résumé précédent, ce n’est pas lui mais un complice que j’ai dû voir s’enfuir à cheval) avec une meilleure maîtrise du manriki, et j’ai toujours l’intuition que le vol à l’étalage du joaillier m’aurait permis d’avoir de quoi soudoyer le garde, et ainsi obtenir de précieuses informations. De même, j’aurais pu avoir l’occasion de mettre à contribution ces deux talents lors de mon exploration du bas-quartier, la première fois. Bref, je pense changer de compétence… mais pour laquelle ?
Je dois pouvoir passer le nāga grâce aux armes de jet et au lotus noir, mais, en l’absence de déguisement, je me dis que j’ai plus de chances d’atteindre dame Lucille grâce au cambriolage… De plus, je suis curieux de voir si mon intuition concernant le joaillier et le garde est bonne, par conséquent je décide finalement de jouer une cambrioleuse.
Autre dilemme, maintenant : dans quel ordre visiter les quartiers ? Le médaillon est très utile, mais je n’ai pas la certitude de passer le nāga… Et je sais que si je trouve un garuda, je peux sans doute vaincre le monstre. Je décide donc de commencer par les deux autres quartiers, en espérant que les trois doses de ma potion curative me maintiendront en vie, à défaut de médaillon, jusqu’à la tour de la sorcière.
C’est parti, donc. Je commence par le guerrier. Même parcours que la dernière fois : la marchande et le joaillier, auquel, cette fois, je subtilise le coffret, avant de me diriger vers la porte de l’Abondance. (En passant, je décide une nouvelle fois de sacrifier ma fiole de poison au tire-laine.)
Parenthèse, ici : au paragraphe 17, on peut multiplier le chiffre par deux pour atteindre plus vite la porte… mais est-ce que le paragraphe 17 compte dans le parcours , sachant qu’il possède un symbole temps ? J’ai considéré que oui (donc compté l’unité de temps), mais j’aimerais bien en avoir la confirmation.
Le contenu du coffret me permet bel et bien de soudoyer le garde ! Petit moment d’autosatisfaction, puis assimilation des informations : Masanoki réside chez le forgeron du village, un de ses complices dans le moulin, et l’autre surveille la route depuis l’observatoire… C’est donc lui qui m’a grillée, la dernière fois.
Dans la forêt, je décide donc de monter rendre une petite visite à ce type, en tâchant de le prendre par surprise. Je prends une blessure malgré cela, mais je le tue et en profite pour piquer la corde qui se trouve dans la fonte de son cheval. Je n’ai pas l’intention de retomber dans le piège de la guilde des Ombres, mais peut-être a-t-elle une autre utilité.
Au village, le texte me propose d’utiliser la compétence de déguisement. Damn it! Bon, tant pis, je décide de m’approcher du moulin pour neutraliser en premier lieu le second complice de ma cible. On ne sait jamais, des fois qu’il viendrait en renfort pendant que je m’occuperai de Masanoki… Argh ! une balle vient de m’atteindre. Il ne faisait donc pas confiance à son pote qui gardait la route, il fallait aussi qu’il surveille l’entrée du village ?! Bon, le coup de feu a forcément été entendu, pas de temps à perdre : je fonce à l’intérieur, et n’hésite pas longtemps avant de décider de le tuer lorsque le texte me demande de choisir. Bien m’en prend, car j’évite ainsi une blessure supplémentaire.
Vite, le suivant. Une demeure avec des chevaux devant, il est probablement à l’intérieur… oui, c’est bien lui. Ai-je des fumigènes ? Non, mais j’aperçois un récipient, dans lequel je vide ma fiole de belle-dame, que j’ai donc bien fait de garder. Le bougre lutte quand même malgré les effets du somnifère, et je perds une fois de plus quelques points de vitalité dans l’affaire, mais je finis par le terrasser, récupérant au passage deux des pousses. Mission (en partie) accomplie !
À l’extérieur, j’entends du bruit. Quelqu’un vient de voler un cheval pour s’enfuir, tout en ayant mutilé les autres pour éviter qu’on le poursuive. Qui diable, sachant que j’ai éliminé les deux complices de Masanoki en plus d’icelui ? Bon, peu importe, il est temps de reprendre la chasse — non sans avoir vidé deux doses de ma potion curative, pour remonter un score de vitalité malmené par les trois combats que je viens de livrer.
Toujours dans l’optique de trouver quelque chose qui pourrait m’aider à atteindre la sorcière, je décide de retourner explorer le bas-quartier, à la recherche de l’Incendiaire. Je prends un chemin différent de la première fois, n’ayant pas envie de retomber sur l’oni. Pénétrant dans un bâtiment, je découvre une fabrique de drogue. Un coup d’œil me permet de repérer une fiole de belle-dame. L’aubaine ! Mais dois-je la subtiliser et m’en aller ou ne pas y toucher et interroger plutôt les gens présents ? Je décide de l’emporter, ce serait trop bête de ne pas l’avoir à un moment où elle pourrait se révéler cruciale, et je trouverai bien d’autres personnes ou moyens pour atteindre mon but.
Un peu plus loin, je retombe sur mon ami, qui me prodigue les mêmes conseils que la dernière (et première) fois. Cette fois, je décide d’aller voir le racketteur. Peut-être qu’un ennemi de la guilde sera plus enclin à m’indiquer comment la trouver qu’un de ses membres. Me voici devant la porte de sa demeure. Cool, je peux la crocheter ! Pas d’hésitation… Oh ! la belle arbalète que voilà… Si seulement elle n’était pas pointée sur moi… Heureusement, le propriétaire des lieux est quelqu’un d’honnête de réceptif, et, coup de chance, il hait l’Incendaire, et me révèle donc comment trouver la guilde des Ombres. Je progresse !
Me voici devant le maître de la guilde, qui me demande ce que je veux à son hôte. J’ai le choix entre lui dire que je viens de la part du vice-préfet ou que j’agis pour des raisons personnelles… Évoquer l’autorité dans un tel lieu ne me paraît pas une bonne idée, donc je choisis l’autre option… mais il s’avère que je ne suis pas crue, à cause de mon ancienne relation avec l’Incendiaire ! Hmm, ces gens-là en savent donc plus que moi sur ma vie sentimentale, je me sens quand même un peu floué(e), dans l’histoire.
Retour dans un cachot que je connais déjà, mais cette fois, j’ai la compétence pour en sortir ! Après une brève exploration, je me retrouve face à deux portes. J’en prends une au hasard… qui m’amène au-dehors. Un bref instant, je crains que le texte ne m’offre pas la possibilité de revenir sur mes pas, mais, heureusement, la littérature interactive a fait de nets progrès depuis Ian Livingstone, et je peux retourner choisir l’autre porte.
Un groupe de types patibulaires en train de jouer au mah-jong (je présume) se dresse entre moi et la prochaine porte. Un tonneau, je suppose d’un quelconque alcool, est posé à côté d’eux, et je me félicite d’avoir récupéré une deuxième dose de somnifère. Les voilà rapidement transportés au pays des songes, et je peux pénétrer dans la pièce… De l’autre côté, une chambre, et dans celle-ci, l’Incendiaire !
Je m’approche de ce qui ressemble à un tiroir, mais, bizarrement, la case suivante n’en fait pas mention, et m’indique que j’ai réveillé ma cible en m’approchant du seuil de sa chambre. Quelle arme souhaité-je dégainer ? Pas de sentiments, ce sera les épées papillon… Argh ! mauvais choix. Je n’ai pas le temps de m’approcher suffisamment qu’il s’enfuit en jetant une bombe incendiaire à mes pieds. Je prends de nouveau quelques dégâts, et, surtout, je dis adieu à probablement plus de 1500 jaos…
Dommage, mais je sais désormais comment lui mettre la main dessus, la prochaine fois. Il est temps de retourner au 100. Mon compteur de temps est en dessous de 11, je peux donc me diriger vers les docks. En passant, j’ai considéré que l’icône du paragraphe 100 ne comptait pas pour le score de temps, ne la voyant que comme un simple indicateur. J’espère que je ne me trompe pas ?… C’est un peu ambigu.
Bref, le temps de vider ma fiole de potion curative, et direction les docks. Même parcours que la dernière fois jusqu’au Bateau de fleurs, mais je ne peux plus me déguiser, cette fois. Je décide d’explorer l’étage… Rien d’intéressant, à l’exception d’une… astérie ! que je subtilise à son propriétaire. Elle m’aurait permis d’entrer en contact facilement avec la guilde des Ombres, et ce n’est que maintenant que je la trouve…
Bon, revenons à nos moutons. Le cerbère qui me fait face n’est pas disposé à me laisser rentrer. Encore une fois, je préfère ne pas évoquer le vice-préfet, étant donné que je n’ai rien sur moi pour prouver que j’agis en son nom, donc je me fais plutôt passer pour une nouvelle « employée », mais ça ne prend pas, et je sors du lieu sans avoir obtenu ce que je voulais. Frustrant.
De retour sur les docks, je n’interroge pas le pêcheur, pensant, à tort, que c’est inutile. Je monte sur un bateau, j’aperçois une petite embarcation… mais je n’ai pas (officiellement) l’information comme quoi Ae-Cha est sur la plus grande des Trois Reines (ben oui, j’avais oublié que le pêcheur pouvait me l’apprendre). Je laisse donc là le frêle esquif, m’en vais parler au pêcheur (cette fois), et, suite à ses révélations, « emprunte » une barque pour me rendre sur l’île. Évidemment, son propriétaire arrive, furieux, un arc à la main… Je sais que je vais prendre une flèche, mais je serre les dents et je rame… Ouch, ça fait mal.
Une rencontre avec une tortue plus tard (je n’ai toujours pas trouvé l’objet qui me permettrait d’éviter la collision), me voici sur la plage, mais sans l’information concernant le tunnel, cette fois… C’est parti pour l’exploration de la jungle. Je ramasse un fumigène sur le parcours — décidément, j’ai le chic pour trouver des objets après qu’ils ont eu l’occasion d’être utiles —, vois mon score de vitalité descendre un peu trop bas à mon goût à cause de la flore et de la faune locale (saletés de moustiques !), avant d’arriver enfin en vue de la tour où se trouve ma dernière cible…
J’envisage un temps l’escalade, mais mon personnage n’a pas l’air convaincu que ce soit une bonne idée… Tant pis, je pénètre donc à l’intérieur… Tiens ! mon ami le nāga. Pas de médaillon, donc ? Damn it! (Bis.)
Bien… De toute façon, je sais que je meurs si je prends tout de suite l’escalier, donc je choisis l’autre approche… Tiens, un nouveau choix : je peux de nouveau monter l’escalier, ou m’approcher de la créature…
Intéressant. C’était donc ce qu’il fallait faire pour monter discrètement ? C’est vrai que c’est logique (je vous ai dit que je trouvais la jouabilité de cette aventure excellente ?), j’aurais dû faire confiance au savoir-faire de l’auteur, la dernière fois. Bon, je décide donc de monter plutôt que de risquer de me retrouver de nouveau face à la créature… Et, effectivement, j’arrive à la passer !… mais pas sans empêcher cette satanée bestiole de me mordre au passage, me faisant perdre 4 points de vitalité… et passer ainsi de vie à trépas.
Ae-Cha Meng, je te jure que lorsque je me retrouverai enfin devant toi, tu vas prendre très, très cher…