15/10/2013, 21:25
(Modification du message : 15/10/2013, 21:25 par ashimbabbar.)
(15/10/2013, 10:43)cdang a écrit : Ça dépend beaucoup des peuples et des époques. Les nobles français avaient une sale réputation (faire ses besoins derrière les portes de Versailles, ne pas prendre de bain car l'eau était porteuse de maladies) -- vraie ou fausse, je ne sais pas, je ne suis pas historien.9a, c'était au 17° siècle. Au Moyen Âge, en ville, ceux qui pouvaient se le permettre allaient volontiers aux étuves se baigner dans de grandes cuves, souvent à 3 ou 4… les étuves étaient souvent synonymes de maisons de prostitution de sorte qu'à la Renaissance, entre le Protestantisme d'un côté et la Contre-Réforme de l'autre, elles ont été fermées en masse.D'o des effets assez désastreux sur l'hygiène…
Mais c'était en ville, je ne sais pas combien souvent les chevaliers se lavaient dans leurs châteaux et j'imagine que les paysans ça n'était pas souvent.
À y réfléchir, je crois que César dit que les Gaulois se lavaient souvent ? À vérifier.
(15/10/2013, 10:43)cdang a écrit : Et t'es pris d'une tourista dans ton armure parce que tu viens de débarquer à Jérusalem et que ta flore intestinale n'est pas encore refaite, tu gères comment ?Effectivement, ça n'est pas arrivé à notre héros, ou alors les auturs ont gardé sur la chose un silence pudique ( non qu'il soit allé jusqu'à Jérusalem, mais Saint-Jean d'Acre fera aussi bien )
(15/10/2013, 10:43)cdang a écrit : De manière générale, je trouve qu'on ne met pas assez l'accent sur les odeurs dans les œuvres de fiction (romans, films), alors que c'est un des premiers trucs qui nous "assaille" dans la vraie vie.Ça arrive tout de même; par ailleurs les héros réagissent aux odeurs qui sont pour eux étranges ou exceptionnelles, les odeurs pour eux habituelles ne les marquent pas; donc ( par ex. ) dans le cas de héros médiévaux ils sont peu concernés par ce qui nous arrêterait sur place…
(15/10/2013, 10:43)cdang a écrit : (Désolé, je me suis étalé un peu sur tout et n'importe quoi, mais j'avais envie d'écrire.)Mais il faut écrire quand on en a envie ! Sinon, on finit par choper des tas de trucs désagréables !
" Ashimbabbar m'a donné une dague et une épée et m'a dit
: Transperces-en ton corps; elles furent forgées pour toi."
Poème d'Enheduanna
: Transperces-en ton corps; elles furent forgées pour toi."
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