20/08/2013, 11:07
Après une longue pause, j’ai décidé de profiter du cadre de mes courtes vacances pour retourner en Lupravia. Je démarre de nouveau avec des stats plus que correctes : H10‑E15‑C11. Les premiers combats se passent sans problèmes, et comme cela fait un moment que je n’ai pas replongé dans le bouquin, je ne ressens même pas le léger ennui qui me gagnait à la lecture de ces longs passages lors de mes dernières tentatives.
À Strigoiva, la meute fantôme est bien vite renvoyée d’où elle vient. Cette fois, je décide de couper à travers la forêt. En effet, j’éprouve désormais une méfiance instinctive vis-à-vis de mes dés et je préfère éviter les rencontres pour le moment. La traversée ne me pose nulle difficulté puisque je réussis les tests de chance et d’habileté demandés (je suis curieux de savoir ce qui m’attendait, mais bon). J’arrive à un carrefour que je connais déjà, et je me rends compte alors que j’ai pris un sacré raccourci. Je prends la direction du nord-est, vers Vargenhof, car je m’imagine Wulfenstein au nord et j’ai envie d’aller droit au but. J’achète un peu d’équipement et participe à une chasse infructueuse, où je dois même me battre contre un des chiens de la meute, qui a senti le loup-garou en moi. Je n’avais pas du tout pensé à ça ; je trouve l’idée excellente. C’est vraiment un point fort de ce bouquin : tout est pensé et logique, du moins ce que j’en ai vu.
Puis vient le village et son menaçant château. J’élimine promptement un rat-garou, et me voilà dans la place. Après avoir exploré relativement rapidement diverses pièces (et repéré une erreur de renvoi au passage) et occis les Charlie’s angels locales, me voici devant le maître des lieux. Après palabres, le texte me donne une longue liste d’armes et me demande si je possède l’une d’elles. Gloups, non. Deuxième chance au tirage, il me demande alors si mon épée a subi une certaine modification. Re-gloups, re-non. Je m’attends à finir cette tentative sur un P.F.A. similaire à celui que j’avais rencontré devant la comtesse-vampire… eh bien non ! Je dois juste affronter ma Némésis avec ses stats au maximum (et c’est logique, j’ai bien tué son frère-garou avec de l’acier). Mais comme la transformation m’a bien boosté, je le bats sans trop de mal. C’est même le premier combat un peu difficile depuis un moment.
Une analepse plus tard, vient le tour du démon. Ai-je récupéré des dagues en argent et sais-je comment m’en servir ? Ben non. Pas grave, l’affrontement a quand même lieu et je l’emporte sans coup férir.
Bilan : je me demande si je n’ai pas pris le plus court chemin possible pour arriver à la fin, à tel point que j’ai trouvé que ça manquait de péripéties. Néanmoins, ça reste sans doute le meilleur D.F. auquel j’ai joué. Je le recommencerai lorsque je l’aurai acheté (l’exemplaire que j’ai lu se languissant de son propriétaire légitime), en essayant de réunir les cinq dagues, cette fois. Ça ne va pas être simple, étant donné que je n’en ai pas trouvé une seule au cours de toutes mes tentatives.
Qualités du livre : l’ambiance, classique mais excellente, la jouabilité bien dosée, la pléthore de personnages hauts en couleurs, l’exploration… Point faible : le long passage du début, et la lassitude qu’il finit par engendrer. Un point de sauvegarde après le combat contre l’ours-garou aurait été le bienvenu. On peut en créer un soi-même mais je n’aime pas sortir des règles d’un livre-jeu. Une petite erreur de renvoi repérée, sinon, et ce doit être tout.
À Strigoiva, la meute fantôme est bien vite renvoyée d’où elle vient. Cette fois, je décide de couper à travers la forêt. En effet, j’éprouve désormais une méfiance instinctive vis-à-vis de mes dés et je préfère éviter les rencontres pour le moment. La traversée ne me pose nulle difficulté puisque je réussis les tests de chance et d’habileté demandés (je suis curieux de savoir ce qui m’attendait, mais bon). J’arrive à un carrefour que je connais déjà, et je me rends compte alors que j’ai pris un sacré raccourci. Je prends la direction du nord-est, vers Vargenhof, car je m’imagine Wulfenstein au nord et j’ai envie d’aller droit au but. J’achète un peu d’équipement et participe à une chasse infructueuse, où je dois même me battre contre un des chiens de la meute, qui a senti le loup-garou en moi. Je n’avais pas du tout pensé à ça ; je trouve l’idée excellente. C’est vraiment un point fort de ce bouquin : tout est pensé et logique, du moins ce que j’en ai vu.
Puis vient le village et son menaçant château. J’élimine promptement un rat-garou, et me voilà dans la place. Après avoir exploré relativement rapidement diverses pièces (et repéré une erreur de renvoi au passage) et occis les Charlie’s angels locales, me voici devant le maître des lieux. Après palabres, le texte me donne une longue liste d’armes et me demande si je possède l’une d’elles. Gloups, non. Deuxième chance au tirage, il me demande alors si mon épée a subi une certaine modification. Re-gloups, re-non. Je m’attends à finir cette tentative sur un P.F.A. similaire à celui que j’avais rencontré devant la comtesse-vampire… eh bien non ! Je dois juste affronter ma Némésis avec ses stats au maximum (et c’est logique, j’ai bien tué son frère-garou avec de l’acier). Mais comme la transformation m’a bien boosté, je le bats sans trop de mal. C’est même le premier combat un peu difficile depuis un moment.
Une analepse plus tard, vient le tour du démon. Ai-je récupéré des dagues en argent et sais-je comment m’en servir ? Ben non. Pas grave, l’affrontement a quand même lieu et je l’emporte sans coup férir.
Bilan : je me demande si je n’ai pas pris le plus court chemin possible pour arriver à la fin, à tel point que j’ai trouvé que ça manquait de péripéties. Néanmoins, ça reste sans doute le meilleur D.F. auquel j’ai joué. Je le recommencerai lorsque je l’aurai acheté (l’exemplaire que j’ai lu se languissant de son propriétaire légitime), en essayant de réunir les cinq dagues, cette fois. Ça ne va pas être simple, étant donné que je n’en ai pas trouvé une seule au cours de toutes mes tentatives.
Qualités du livre : l’ambiance, classique mais excellente, la jouabilité bien dosée, la pléthore de personnages hauts en couleurs, l’exploration… Point faible : le long passage du début, et la lassitude qu’il finit par engendrer. Un point de sauvegarde après le combat contre l’ours-garou aurait été le bienvenu. On peut en créer un soi-même mais je n’aime pas sortir des règles d’un livre-jeu. Une petite erreur de renvoi repérée, sinon, et ce doit être tout.