06/01/2013, 18:31
(Modification du message : 06/01/2013, 18:32 par ashimbabbar.)
Bon, je l'ai finie au bout de 4 tentatives. Je confirme mon statut de bourrin de service…
Et c'est seulement en lisant les feedbacks que je viens d'apprendre qu'il y a une scène lesbienne . Bourrin, décidément… Va falloir que j'y retourne.
( incidemment, sauf la première où j'avais été infichu de découvrir les codes j'ai perdu en gérant mal Dioné. Ça n'a rien à voir avec le fait d'incarner un personnage féminin, c'est qu'interagir avec les gens et a fortiori les manipuler ce n'est vraiment pas dans mes aptitudes… si Dioné avait été une ninjate Hamada je suis sûr que je n'aurais pas eu de problèmes )
Tout d’abord, un conseil au lecteur: agrandissez à 150%, vos yeux vous en remercieront.
Cette AVH nous plonge dans un monde futuriste sans âme où l'argent est la seule valeur et qui transforme les individus en objets. C’est d’une ironie supérieure qu’une vague d’indignation ait balayé la cybernétique et autres joyeusetés quand les manipulations de la chair vivante distordent l’être humain autant et plus. [ parenthèse politique ] Le mal est dans la logique capitaliste, pas dans tel ou tel instrument… [ fin de la parenthèse politique ]
Nous incarnons un team, ce qui implique que les actions des deux personnages peuvent nous sauver ou nous condamner… il y en a de l'ambiance, quand par la logique des codes biscornus on se demande si on n'est pas dans un "tu ne le sais pas mais tu es déjà mort…"
Le fait de sauter d'un personnage à l'autre n'affaiblit pas l'identification comme on aurait pu le craindre grâce au background fouillé donné sur eux au début, on se coule dans le point de vue du personnage privilégié à ce moment.
Une aventure très prenante, donc.
Jouer plusieurs personnages qui se séparent entraîne que nous en savons plus long que chacun, mais contrairement à ce que je craignais ça n'influe pas démentiellement sur le jeu
et on peut considérer qu'ils ont répété leur stratégie.
Et c'est seulement en lisant les feedbacks que je viens d'apprendre qu'il y a une scène lesbienne . Bourrin, décidément… Va falloir que j'y retourne.
( incidemment, sauf la première où j'avais été infichu de découvrir les codes j'ai perdu en gérant mal Dioné. Ça n'a rien à voir avec le fait d'incarner un personnage féminin, c'est qu'interagir avec les gens et a fortiori les manipuler ce n'est vraiment pas dans mes aptitudes… si Dioné avait été une ninjate Hamada je suis sûr que je n'aurais pas eu de problèmes )
Tout d’abord, un conseil au lecteur: agrandissez à 150%, vos yeux vous en remercieront.
Cette AVH nous plonge dans un monde futuriste sans âme où l'argent est la seule valeur et qui transforme les individus en objets. C’est d’une ironie supérieure qu’une vague d’indignation ait balayé la cybernétique et autres joyeusetés quand les manipulations de la chair vivante distordent l’être humain autant et plus. [ parenthèse politique ] Le mal est dans la logique capitaliste, pas dans tel ou tel instrument… [ fin de la parenthèse politique ]
Nous incarnons un team, ce qui implique que les actions des deux personnages peuvent nous sauver ou nous condamner… il y en a de l'ambiance, quand par la logique des codes biscornus on se demande si on n'est pas dans un "tu ne le sais pas mais tu es déjà mort…"
Le fait de sauter d'un personnage à l'autre n'affaiblit pas l'identification comme on aurait pu le craindre grâce au background fouillé donné sur eux au début, on se coule dans le point de vue du personnage privilégié à ce moment.
Une aventure très prenante, donc.
Jouer plusieurs personnages qui se séparent entraîne que nous en savons plus long que chacun, mais contrairement à ce que je craignais ça n'influe pas démentiellement sur le jeu
" Ashimbabbar m'a donné une dague et une épée et m'a dit
: Transperces-en ton corps; elles furent forgées pour toi."
Poème d'Enheduanna
: Transperces-en ton corps; elles furent forgées pour toi."
Poème d'Enheduanna