Maaa, la tragédie dans le sens antique, c'est l'Homme soumis à la volonté des dieux, à son destin. Genre un oracle t'annonce un malheur, tu fais tout pour l'éviter, et bin non seulement il arrive quand même, mais en plus à cause de ce que tu as fait...
Par rapport à un LDVEH, la volonté des dieux, c'est ce qui est écrit à l'avance, donc le texte d'un passage obligé. Bon, quand le passage obligé c'est se taper la cloche à l'auberge, on parle pas trop de tragédie. Par contre, quand c'est la mort de quelqu'un à qui l'on tient, là oui.
Pour des auteurs plus modernes comme Samuel Becket, la tragédie c'est plutôt l'absence de dieu, l'Homme face à son destin de mortel, la flippe métaphysique, quoi. Pour le coup, dans les LDVEH, on n'en voit pas trop, surtout qu'il suffit de rouvrir le bouquin pour ressusciter. Un peu chez Tolkien avec les Hommes dont on ne sait pas ce qu'ils deviennent à leur mort, contrairement aux Elfes qui vont faire un tour chez Mandos.
Par rapport à un LDVEH, la volonté des dieux, c'est ce qui est écrit à l'avance, donc le texte d'un passage obligé. Bon, quand le passage obligé c'est se taper la cloche à l'auberge, on parle pas trop de tragédie. Par contre, quand c'est la mort de quelqu'un à qui l'on tient, là oui.
Pour des auteurs plus modernes comme Samuel Becket, la tragédie c'est plutôt l'absence de dieu, l'Homme face à son destin de mortel, la flippe métaphysique, quoi. Pour le coup, dans les LDVEH, on n'en voit pas trop, surtout qu'il suffit de rouvrir le bouquin pour ressusciter. Un peu chez Tolkien avec les Hommes dont on ne sait pas ce qu'ils deviennent à leur mort, contrairement aux Elfes qui vont faire un tour chez Mandos.
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Vous êtes mort.
Vous êtes mort.