29/10/2012, 17:44
Pour ma part je trouve que la justesse de ton est excellente.
Contrairement à VS, j'ai beaucoup apprécié l'atmosphère. A la fois feutrée, avec des moments de "méditation" mais aussi la violence qui du fait de sa relative faible occurence devient d'autant plus marquante. J'ai encore le souvenir de toute la scène du moine possédé. Juste avant on nous prévient que la "mort" est là, on évolue dans un cadre plutôt enchanteur, et on se demande quand le côté bucolique va cesser. D'un coup il cesse, et de quelle manière! Non franchement niveau ambiance c'est le top. Pareil quand j'ai fait un bout de chemin avec ce brave pécore...
J'ai bien aimé l'expression "combat de mélodies", j'ai vu là comme une sorte de parallèle avec les entrainements martiaux des samouraï, comme si chaque être vivant, à son échelle, reproduisait le même schéma du dépassement de soi.
Pour la non-personnalisation du héros, là encore je trouve que c'est typique de l'ambiance. Un samouraï n'a pas d'égo, peu importe qui il est, seul compte le code et l'honneur pour lui. Je pense qu'on pourra le personnaliser au fil des tomes, une fois qu'il aura parcouru le monde extérieur et qu'il pourra donc s'affirmer plus en tant qu'individu, et céder à ce piège. Il ne faut pas oublier qu'il a passé presque toute sa vie dans le monastère, et que donc ce n'est que maintenant, alors qu'il sera confronté à autre chose, à cet "l'extérieur" qu'ilk ne connaissait pas, qu'il pourra être tenté de dévier de la voie toute tracée, lisse et "aseptisée", de l'enseignement qu'on lui a donné. J'ai raté le passage de la "Geisha", mais je suppose que c'est un peu l'idée, il découvre vraiment un truc qui change sa façon de voir les choses^^
J'aime bien aussi qu'il n'y ait rien "d'épique", du moins pas dans le tome 1. Il y a des passages marquants, mais il faut en garder sous le pied pour les 9 volumes suivants. Pour moi le simple fait de pouvoir rencontrer des "légendes vivantes" que sont certains samouraïs suffit à me plonger dans l'ambiance. On a l'impression d'être le dépositaire d'un savoir, qu'on nous juge seul digne de l'être, et que c'est une responsabilité de mériter cette confiance (et pas de s'en enorgueillir).
Pour les combat, j'ai quand même eu la chance de pouvoir retrouver mon total de départ avant la bataille finale, sinon je ne m'en serai jamais sorti.
Je me demandais, grâce à la maîtrise de combat, on peut donc éviter les combats de ki? Si je tire 7 je peux dépenser 1pt de MC pour passer au 8? Où si je tire 7 je suis obligé de passer au ki, même si j'ai des points de MC à dépenser?
Je me demande ce que peut donner un bourrin 50/0 en fait! Je suppose qu'il y aura par la suite des combats uniquement de ki, et que ce n'est pas une bonne idée de ne pas en avoir. Je pense que 13 est un bon chiffre, car la plus grosse technique en consomme 12 si j'ai bonne mémoire, mais ce ne sera pas pour tout de suite...
Contrairement à VS, j'ai beaucoup apprécié l'atmosphère. A la fois feutrée, avec des moments de "méditation" mais aussi la violence qui du fait de sa relative faible occurence devient d'autant plus marquante. J'ai encore le souvenir de toute la scène du moine possédé. Juste avant on nous prévient que la "mort" est là, on évolue dans un cadre plutôt enchanteur, et on se demande quand le côté bucolique va cesser. D'un coup il cesse, et de quelle manière! Non franchement niveau ambiance c'est le top. Pareil quand j'ai fait un bout de chemin avec ce brave pécore...
J'ai bien aimé l'expression "combat de mélodies", j'ai vu là comme une sorte de parallèle avec les entrainements martiaux des samouraï, comme si chaque être vivant, à son échelle, reproduisait le même schéma du dépassement de soi.
Pour la non-personnalisation du héros, là encore je trouve que c'est typique de l'ambiance. Un samouraï n'a pas d'égo, peu importe qui il est, seul compte le code et l'honneur pour lui. Je pense qu'on pourra le personnaliser au fil des tomes, une fois qu'il aura parcouru le monde extérieur et qu'il pourra donc s'affirmer plus en tant qu'individu, et céder à ce piège. Il ne faut pas oublier qu'il a passé presque toute sa vie dans le monastère, et que donc ce n'est que maintenant, alors qu'il sera confronté à autre chose, à cet "l'extérieur" qu'ilk ne connaissait pas, qu'il pourra être tenté de dévier de la voie toute tracée, lisse et "aseptisée", de l'enseignement qu'on lui a donné. J'ai raté le passage de la "Geisha", mais je suppose que c'est un peu l'idée, il découvre vraiment un truc qui change sa façon de voir les choses^^
J'aime bien aussi qu'il n'y ait rien "d'épique", du moins pas dans le tome 1. Il y a des passages marquants, mais il faut en garder sous le pied pour les 9 volumes suivants. Pour moi le simple fait de pouvoir rencontrer des "légendes vivantes" que sont certains samouraïs suffit à me plonger dans l'ambiance. On a l'impression d'être le dépositaire d'un savoir, qu'on nous juge seul digne de l'être, et que c'est une responsabilité de mériter cette confiance (et pas de s'en enorgueillir).
Pour les combat, j'ai quand même eu la chance de pouvoir retrouver mon total de départ avant la bataille finale, sinon je ne m'en serai jamais sorti.
Je me demandais, grâce à la maîtrise de combat, on peut donc éviter les combats de ki? Si je tire 7 je peux dépenser 1pt de MC pour passer au 8? Où si je tire 7 je suis obligé de passer au ki, même si j'ai des points de MC à dépenser?
Je me demande ce que peut donner un bourrin 50/0 en fait! Je suppose qu'il y aura par la suite des combats uniquement de ki, et que ce n'est pas une bonne idée de ne pas en avoir. Je pense que 13 est un bon chiffre, car la plus grosse technique en consomme 12 si j'ai bonne mémoire, mais ce ne sera pas pour tout de suite...