01/04/2012, 09:15
(Modification du message : 01/04/2012, 09:21 par Voyageur Solitaire.)
@ OORGAN : Il se peut que je me sois emmêlé les pinceaux à un moment. Pourtant, je viens de vérifier : Suleïman est bien cité avant d'arriver au 158... A partir du moment où l'on passe par la plage, que l'on sauve les trois hommes ou un seul, son nom apparaît normalement... Tiens-moi au courant.
@ Tholdur : merci pour ce feedback détaillé !
De manière générale :
Je ferai un gros effort côté présentation à l'avenir et je mettrai une feuille d'aventure. Je pense aussi proposer à une personne extérieure de relire mon texte avant de le proposer, un regard extérieur peut être bénéfique.
Pour les références, c'est vrai, je pioche parfois ici et là dans d'autres oeuvres et ça peut se ressentir à certains moments, Gulka est effectivement inspiré de Vine des "Sombres cohortes" (par contre, je pensais pas du tout à "La pierre de la sagesse" pour le passage par les égoûts...). J'avais peur de faire trop proche de "L'île du roi-lézard" en mettant trop de références. Difficile de trouver l'équilibre.
C'est vrai qu'avec un tel titre, on peut s'attendre à un truc du genre "Calypto", assez gore, avec sacrifices, prêtres emplumés et pyramides... En fait, le titre, dans mon idée, fait référence à la différence entre les mercenaires et leurs prisonniers. Les mercenaires sont décrits comme des hommes forts, puissament musclés, avec un maître imposant paré de plumes et d'or, dominant un groupe de pauvres villageois faméliques et opprimés. C'est dans cette optique, esthétique, que je situe le titre : par rapport à ces pauvres villageois, ces puissants guerriers font office de "dieux sauvages" (oui, je sais, c'est un peu tiré par les cheveux).
Mon but principal était de faire quelque chose de sauvage et violent, plus sombre et sanglant, sans temps morts, de m'éloigner du côté "promenade bucolique" de "Retour à Griseguilde" que certains m'avaient reproché. D'où une histoire plus courte, au rythme plus rapide et intense.
C'est vrai, on y retrouve les classiques du style VS : ambiance immersive, univers cohérent, PNJ charismatiques, une touche de féminité (quoique là, on peut complètement passer à côté et faire l'aventure sans connaître Sancha), plusieurs fins possibles, pas mal de choix et un schéma assez classique, fidèle au genre. Peut-être devrais-je essayer d'innover un peu ? Mais je ne suis pas certain d'y trouver le même plaisir et la même aisance d'écriture. A voir...
Pour le système de combat, on en a déjà bien débattu, j'ai voulu essayer autre chose. Bon, c'est pas top, bien qu'il soit possible de l'améliorer. Pour "Jusqu'au bord des cieux", je ne me suis pas encore décidé et vos avis sont les bienvenus.
Effectivement, le marteau est (trés) utile à un certain passage que tu n'as pas fait semble-t-il.
Pour le nombre d'hommes, il semble y avoir une boulette de ma part, d'où l'obligation pour moi d'insister sur la relecture (qui m'apparaît toujours malheureusement comme une corvée et sur laquelle je passe trop vite).
Merci pour ta lecture et ton retour !
@ Tholdur : merci pour ce feedback détaillé !
De manière générale :
Je ferai un gros effort côté présentation à l'avenir et je mettrai une feuille d'aventure. Je pense aussi proposer à une personne extérieure de relire mon texte avant de le proposer, un regard extérieur peut être bénéfique.
Pour les références, c'est vrai, je pioche parfois ici et là dans d'autres oeuvres et ça peut se ressentir à certains moments, Gulka est effectivement inspiré de Vine des "Sombres cohortes" (par contre, je pensais pas du tout à "La pierre de la sagesse" pour le passage par les égoûts...). J'avais peur de faire trop proche de "L'île du roi-lézard" en mettant trop de références. Difficile de trouver l'équilibre.
C'est vrai qu'avec un tel titre, on peut s'attendre à un truc du genre "Calypto", assez gore, avec sacrifices, prêtres emplumés et pyramides... En fait, le titre, dans mon idée, fait référence à la différence entre les mercenaires et leurs prisonniers. Les mercenaires sont décrits comme des hommes forts, puissament musclés, avec un maître imposant paré de plumes et d'or, dominant un groupe de pauvres villageois faméliques et opprimés. C'est dans cette optique, esthétique, que je situe le titre : par rapport à ces pauvres villageois, ces puissants guerriers font office de "dieux sauvages" (oui, je sais, c'est un peu tiré par les cheveux).
Mon but principal était de faire quelque chose de sauvage et violent, plus sombre et sanglant, sans temps morts, de m'éloigner du côté "promenade bucolique" de "Retour à Griseguilde" que certains m'avaient reproché. D'où une histoire plus courte, au rythme plus rapide et intense.
C'est vrai, on y retrouve les classiques du style VS : ambiance immersive, univers cohérent, PNJ charismatiques, une touche de féminité (quoique là, on peut complètement passer à côté et faire l'aventure sans connaître Sancha), plusieurs fins possibles, pas mal de choix et un schéma assez classique, fidèle au genre. Peut-être devrais-je essayer d'innover un peu ? Mais je ne suis pas certain d'y trouver le même plaisir et la même aisance d'écriture. A voir...
Pour le système de combat, on en a déjà bien débattu, j'ai voulu essayer autre chose. Bon, c'est pas top, bien qu'il soit possible de l'améliorer. Pour "Jusqu'au bord des cieux", je ne me suis pas encore décidé et vos avis sont les bienvenus.
Effectivement, le marteau est (trés) utile à un certain passage que tu n'as pas fait semble-t-il.
Pour le nombre d'hommes, il semble y avoir une boulette de ma part, d'où l'obligation pour moi d'insister sur la relecture (qui m'apparaît toujours malheureusement comme une corvée et sur laquelle je passe trop vite).
Merci pour ta lecture et ton retour !
Anywhere out of the world