21/02/2012, 19:30
Il ne m'arrive pas souvent de m'emporter, surtout pour des sujets aussi futiles qu'une émission de TV, mais là franchement je dois avouer que L.Ruquier et C.Barma, dans l'émission "On n'demande qu'à en rire", ont vraiment eu un comportement indigne en censurant un sketche de l'humoriste Artus, au prétexte qu'il présentait un godemichet d'une manière bien trop explicite, vu l'horaire de 18h30 et des enfants qui regardent l'émission.
Pour le principe, L.Ruquier et C.Barma on appuyé sur le "bouton stop" pour mettre fin au sketche, alors qu'il était pratiquement terminé et que tout le monde avait bien rit. Pourtant, ils devaient bien savoir qu'au montage ils pourraient couper le passage litigieux, comme cela a d'ailleurs très justement été fait puisqu'on ne voyait plus vers la fin de gros plan sur Arthus mais juste une vision de la scène ou des membres du jury. Tout serait passé sans problème, avec juste une mention qu'il avaient coupé les gros plans pour éviter le "choquant".
Alors dans ces conditions, pourquoi avoir voulu arrêter le sketche? Surtout que rien dans les propos de l'humoriste n'était choquant, en tout cas d'autres ont dit des choses bien pires avec les fécitations du Jury (le fameux "ODB" pour ne citer que lui).
Ensuite Artus aurait du avoir droit à la note du public, mais il ne l'a pas eu, et pour cause, il aurait eu une bonne note, qui aurait souligné le ridicule de l'intervention de Ruquier et Barma.
Mais surtout, on a eu droit à des propos pour le coup eux vraiment choquants pour des gosses, et qui n'ont pas été coupés au montage alors qu'ils auraient du l'être, de L.Ruquier à propos du gode, et que je préfère donc taire.
Non seulement ils imposent à Artus un sujet casse-gueule qu'il n'a donc pas choisi, mais ils le censurent alors qu'il tolèrent pour eux-même (et ne coupent pas au montage!) des choses bien pires.
Je m'insurge contre deux choses, un cette censure qui n'a pas lieu d'être (comme pour les affiches d'Infidèles). Je fustige cette mentalité de "grenouille de bénitier" qui semble gagner du terrain à grand pas dans notre pays.
Et deux, contre l'hypocrisie de ceux qui sont juge et partie, et font pire que ceux qu'ils "condamnent" sans vouloir assumer leurs propres errements.
On ne s'étonnera pas que je mette un beau bulletin blanc dans l'enveloppe en avril prochain...
Pour le principe, L.Ruquier et C.Barma on appuyé sur le "bouton stop" pour mettre fin au sketche, alors qu'il était pratiquement terminé et que tout le monde avait bien rit. Pourtant, ils devaient bien savoir qu'au montage ils pourraient couper le passage litigieux, comme cela a d'ailleurs très justement été fait puisqu'on ne voyait plus vers la fin de gros plan sur Arthus mais juste une vision de la scène ou des membres du jury. Tout serait passé sans problème, avec juste une mention qu'il avaient coupé les gros plans pour éviter le "choquant".
Alors dans ces conditions, pourquoi avoir voulu arrêter le sketche? Surtout que rien dans les propos de l'humoriste n'était choquant, en tout cas d'autres ont dit des choses bien pires avec les fécitations du Jury (le fameux "ODB" pour ne citer que lui).
Ensuite Artus aurait du avoir droit à la note du public, mais il ne l'a pas eu, et pour cause, il aurait eu une bonne note, qui aurait souligné le ridicule de l'intervention de Ruquier et Barma.
Mais surtout, on a eu droit à des propos pour le coup eux vraiment choquants pour des gosses, et qui n'ont pas été coupés au montage alors qu'ils auraient du l'être, de L.Ruquier à propos du gode, et que je préfère donc taire.
Non seulement ils imposent à Artus un sujet casse-gueule qu'il n'a donc pas choisi, mais ils le censurent alors qu'il tolèrent pour eux-même (et ne coupent pas au montage!) des choses bien pires.
Je m'insurge contre deux choses, un cette censure qui n'a pas lieu d'être (comme pour les affiches d'Infidèles). Je fustige cette mentalité de "grenouille de bénitier" qui semble gagner du terrain à grand pas dans notre pays.
Et deux, contre l'hypocrisie de ceux qui sont juge et partie, et font pire que ceux qu'ils "condamnent" sans vouloir assumer leurs propres errements.
On ne s'étonnera pas que je mette un beau bulletin blanc dans l'enveloppe en avril prochain...