20/01/2007, 13:52
Je pense que vous vous égarez de la base du truc. Pour faire un parallèle constructif, la "structure" de votre CEDVELH doit être déterminée AVANT la rédaction des §.
Retour à la base :
Pour le CEDVELH, la structure doit être aussi déterminée telle les éléments d'une phrase. Cependant, il faut reconnaitre qu'un assemblage de texte pour faire un ensemble au minimum cohérent à besoin de 2-3 petite barrière supplémentaire. Il suffit donc de déterminer dans l'ordre :
- Nb de participant(e)s qui deviendra automatiquement le nbre de § à rédiger.
- De ce nb de § définir l'arborescence, donc les n° de § et leur position dans le déroulement de l'aventure. Ainsi celui qui rédige le §1 doit rédiger un début d'histoire (le pour l'exemple initial des suréalistes), celui qui rédige un § de division, doit gérer les choix dans son §, celui qui rédige un § où se rejoignent des choix est un peu plus libre, car il n'est pas obliger d'en tenir compte, celui qui rédigera le dernier § ecrira la fin de l'aventure. On peut aussi mettre des PFA identifiés.
L'autre problème résidera dans la description. Effectivement si l'héroïne combat un monstre dans un manoir dans le §2 et que le §3 (saul § dispo si monstre tué) décrit l'héroïne dans un lieu complètement différent (genre une clairière dans un marais lol), la cohérence globale en prend un coup, je pense.
Donc la dernière mise au point consiste à savoir comment assurer un minimum de cohérence entre les § sans pour autant pré-scénariser (et donc casser la surprise du délire) le CEDVELH
Si vous avez des idées ou commentaires...
Retour à la base :
Meneldur a écrit :La minute culture de RV1 : qu'est-ce qu'un cadavre exquis ? C'est un jeu inventé par les surréalistes, qui consiste à écrire une phrase à plusieurs en ignorant ce qu'écrivent les autres : le premier écrit un nom sur un papier et le plie pour ne pas que les autres le voient, le deuxième écrit un verbe après le nom et plie encore le papier, le troisième écrit un complément, et ensuite, on déplie le papier et on rigole (ou on pleure de joie si on est un surréaliste) devant le machin insensé qui a surgi.Donc les surréalistes avaient déjà une structure de base, celle de la grammaire : sujet, verbe, complement, etc...
Pour le CEDVELH, la structure doit être aussi déterminée telle les éléments d'une phrase. Cependant, il faut reconnaitre qu'un assemblage de texte pour faire un ensemble au minimum cohérent à besoin de 2-3 petite barrière supplémentaire. Il suffit donc de déterminer dans l'ordre :
- Nb de participant(e)s qui deviendra automatiquement le nbre de § à rédiger.
- De ce nb de § définir l'arborescence, donc les n° de § et leur position dans le déroulement de l'aventure. Ainsi celui qui rédige le §1 doit rédiger un début d'histoire (le pour l'exemple initial des suréalistes), celui qui rédige un § de division, doit gérer les choix dans son §, celui qui rédige un § où se rejoignent des choix est un peu plus libre, car il n'est pas obliger d'en tenir compte, celui qui rédigera le dernier § ecrira la fin de l'aventure. On peut aussi mettre des PFA identifiés.
L'autre problème résidera dans la description. Effectivement si l'héroïne combat un monstre dans un manoir dans le §2 et que le §3 (saul § dispo si monstre tué) décrit l'héroïne dans un lieu complètement différent (genre une clairière dans un marais lol), la cohérence globale en prend un coup, je pense.
Donc la dernière mise au point consiste à savoir comment assurer un minimum de cohérence entre les § sans pour autant pré-scénariser (et donc casser la surprise du délire) le CEDVELH
Si vous avez des idées ou commentaires...

сыграем !